Politique
Mince ! Si un candidat pas trop mauvais monte une liste LREM centre gauche, centre droit, et que je garde l’étiquette LR ou UDI, je suis foutu, je saute !
Il serait bon que la France « des territoires », comme ils disent, se mobilise et se rende visible.
Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
Quel que soit le résultat effectif de la bataille, il suffit de claironner assez fort que c’est une victoire pour que ce soit une victoire.
Est-on en train d’assister à la résurgence du courant « opportuniste » ?
Si quinze femmes vont avorter à sept mois, il faudra faire une loi ?
Opportunistes, girouettes : ils ne seront ni les premiers ni les derniers.
Mais à quel degré d’aveuglement a pu sombrer le public catholique…
En réalité le progressisme est une méthode et le nationalisme un constat et/ou une conviction.
Car il s’agit bien d’élire une personne à la tête d’un grand pays, détenteur de la force nucléaire et de la première armée d’Europe occidentale.
Les bottes en caoutchouc de Trump, la percussion de Farage, le franc-parler de Salvini : l’animal coche toutes les cases.
Les dossiers noirs du pouvoir actuel sont accablants. Toutes les oppositions doivent se réunir pour se concentrer sur eux au lieu de se disperser.
Plutôt que de définir ce qu’est la droite, ceux qui ne se reconnaissent pas dans les idées de gauche doivent bâtir leur propre corpus et éviter de s’engager dans des impasses.
Une certaine droite vient de mourir sous nos yeux amusés.
Pour Boulevard Voltaire, le député Sébastien Chenu réagit à la démission de Valérie Pécresse du parti Les Républicains et analyse le paysage politique actuel, organisé,
Le député européen Thierry Mariani réagit au départ massif des élus du parti Les Républicains, à la suite de la débâcle électorale, lors des européennes.
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Les Britanniques, qui pratiquent le bipartisme depuis trois siècles, le savent : le rôle de l’opposition est de s’opposer. À qui ? Au pouvoir, et rien qu’à lui. Ignorer le reste, RN compris.
Valérie Pécresse a annoncé son départ des LR. Nicolas Tardy-Joubert, conseiller régional d’Île-de-France, réagit au micro de Boulevard Voltaire. Valérie Pécresse a annoncé qu’elle quittait
Juste un petit détail : construire une maison sur une faille sismique, c’est pas un peu risqué ? Mais bon, c’est vous qui voyez…
Le début de cette semaine aura été marqué par l’intervention de Marion Maréchal, sortie de son silence, et la démission de Laurent Wauquiez, conséquence de
Son intervention fut remarquable tant sur la forme que sur le fond.
À force d’être ni ni, de n’être ni eurosceptique ni eurobéate, la droite des Républicains coule, permet à Macron de faire passer sa défaite relative en victoire.
Certes, le populisme doit être régulé par la raison et la responsabilité, au risque de ne devenir qu’une réaction épidermique et compulsive, mais une ligne libérale conservatrice aurait un effet repoussoir…
Emmanuel Macron peut jubiler. Et, paraît-il, avec la modestie qui est la sienne, il ne s’en prive pas : tout se passe comme il l’avait prévu.
C’est sans doute en raison d’un manque d’intuition qu’il a envisagé de refaire le coup de Sarkozy auprès des électeurs du Rassemblement national, avec le succès que l’on sait désormais.
À peine élu Président, Chirac confia Matignon à Juppé, qui oublia la fracture sociale pour payer les factures et redresser les comptes, régler aussi ceux de quelques-uns.
Et dire que cela fut, un jour, le parti gaulliste…
Mince ! Si un candidat pas trop mauvais monte une liste LREM centre gauche, centre droit, et que je garde l’étiquette LR ou UDI, je suis foutu, je saute !
Il serait bon que la France « des territoires », comme ils disent, se mobilise et se rende visible.
Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
Quel que soit le résultat effectif de la bataille, il suffit de claironner assez fort que c’est une victoire pour que ce soit une victoire.
Est-on en train d’assister à la résurgence du courant « opportuniste » ?
Si quinze femmes vont avorter à sept mois, il faudra faire une loi ?
Opportunistes, girouettes : ils ne seront ni les premiers ni les derniers.
Mais à quel degré d’aveuglement a pu sombrer le public catholique…
En réalité le progressisme est une méthode et le nationalisme un constat et/ou une conviction.
Car il s’agit bien d’élire une personne à la tête d’un grand pays, détenteur de la force nucléaire et de la première armée d’Europe occidentale.
Les bottes en caoutchouc de Trump, la percussion de Farage, le franc-parler de Salvini : l’animal coche toutes les cases.
Les dossiers noirs du pouvoir actuel sont accablants. Toutes les oppositions doivent se réunir pour se concentrer sur eux au lieu de se disperser.
Plutôt que de définir ce qu’est la droite, ceux qui ne se reconnaissent pas dans les idées de gauche doivent bâtir leur propre corpus et éviter de s’engager dans des impasses.
Une certaine droite vient de mourir sous nos yeux amusés.
Pour Boulevard Voltaire, le député Sébastien Chenu réagit à la démission de Valérie Pécresse du parti Les Républicains et analyse le paysage politique actuel, organisé,
Le député européen Thierry Mariani réagit au départ massif des élus du parti Les Républicains, à la suite de la débâcle électorale, lors des européennes.
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Les Britanniques, qui pratiquent le bipartisme depuis trois siècles, le savent : le rôle de l’opposition est de s’opposer. À qui ? Au pouvoir, et rien qu’à lui. Ignorer le reste, RN compris.
Valérie Pécresse a annoncé son départ des LR. Nicolas Tardy-Joubert, conseiller régional d’Île-de-France, réagit au micro de Boulevard Voltaire. Valérie Pécresse a annoncé qu’elle quittait
Juste un petit détail : construire une maison sur une faille sismique, c’est pas un peu risqué ? Mais bon, c’est vous qui voyez…
Le début de cette semaine aura été marqué par l’intervention de Marion Maréchal, sortie de son silence, et la démission de Laurent Wauquiez, conséquence de
Son intervention fut remarquable tant sur la forme que sur le fond.
À force d’être ni ni, de n’être ni eurosceptique ni eurobéate, la droite des Républicains coule, permet à Macron de faire passer sa défaite relative en victoire.
Certes, le populisme doit être régulé par la raison et la responsabilité, au risque de ne devenir qu’une réaction épidermique et compulsive, mais une ligne libérale conservatrice aurait un effet repoussoir…
Emmanuel Macron peut jubiler. Et, paraît-il, avec la modestie qui est la sienne, il ne s’en prive pas : tout se passe comme il l’avait prévu.
C’est sans doute en raison d’un manque d’intuition qu’il a envisagé de refaire le coup de Sarkozy auprès des électeurs du Rassemblement national, avec le succès que l’on sait désormais.
À peine élu Président, Chirac confia Matignon à Juppé, qui oublia la fracture sociale pour payer les factures et redresser les comptes, régler aussi ceux de quelques-uns.
Et dire que cela fut, un jour, le parti gaulliste…