Politique
Le Président Macron a donné aux Français et à l’Europe, en ce 27 juillet, un visage inattendu.
Pourquoi nos hommes politiques sont-ils si naïfs ?
Emmanuel Macron a déjà perdu dix points de popularité en l’espace d’à peine un petit mois. L’état de grâce n’aura donc duré qu’un temps.
Harlem Désir paraît manifestement plus doué pour la gestion de ses petites affaires personnelles que de celles de ses amis politiques…
Emmanuelle Ménard, député de l’Hérault, a pris la parole ces derniers jours lors du débat sur le projet de loi relatif à la moralisation de la vie politique.
Le parti Les Républicains lance une consultation durant l’été auprès de ses militants pour les interroger et s’interroger lui-même sur son avenir.
L’actuel ministre de l’Intérieur Marco Minniti n’a pu que les confirmer lors d’une interrogation parlementaire sur le sujet.
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…
Le débat à l’Assemblée nationale ne méritait pas, pour des dispositions dont personne ne conteste l’intérêt public, d’être si mal dirigé et présidé.
La toute dernière version du Guide de la Citoyenneté Canadienne (guide d’étude) vient d’être passée au tamis du politiquement correct.
Les frondeurs dénoncent enfin « un manque de démocratie interne » et la faible part accordée au terrain.
Loin des pleurnicheries Charlie de Hollande, il a reconnu le « martyre » du père Hamel.
Après la révolte des Bonnets rouges, celle des Gauloises bleues ?
Mercredi matin, Robert Ménard a organisé une cérémonie commémorative pour le père Hamel. À Béziers, une promenade au pied de la cathédrale porte son nom.
Domrémy n’est qu’un sursis. Saint-Denis est déjà une réalité. Voire un cauchemar.
Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
La rue bientôt, aussi. Comme dirait l’autre, ça va castagner !
Dormez tranquilles, citoyens, le gouvernement veille sur vous.
Pour défendre du haut de la tribune le projet de loi, Mme Bergé n’y est pas allée avec le dos de sa petite cuillère en vermeil.
Évidemment, chez les marcheurs, ça commence à râler, à douter et même, paraît-il, à fronder.
Comme si le pouvoir suprême par lui-même était condamné à son propre déclin…
Pour qui veut comprendre le monde contemporain, les concepts schmittiens, soit pour être réfutés, soit pour être défendus, ne peuvent pas être ignorés.
Le week-end dernier s’est tenu le séminaire du Front national sur la refondation du mouvement.
Il y a belle lurette qu’hommes et femmes politiques se parlent et négocient par d’autres canaux que ceux des tweets.
L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Les tensions redoublent, non seulement à Caracas, mais aussi dans tout le pays qui est, depuis le 1er avril, en situation de guérilla permanente.
Le Président Macron a donné aux Français et à l’Europe, en ce 27 juillet, un visage inattendu.
Pourquoi nos hommes politiques sont-ils si naïfs ?
Emmanuel Macron a déjà perdu dix points de popularité en l’espace d’à peine un petit mois. L’état de grâce n’aura donc duré qu’un temps.
Harlem Désir paraît manifestement plus doué pour la gestion de ses petites affaires personnelles que de celles de ses amis politiques…
Emmanuelle Ménard, député de l’Hérault, a pris la parole ces derniers jours lors du débat sur le projet de loi relatif à la moralisation de la vie politique.
Le parti Les Républicains lance une consultation durant l’été auprès de ses militants pour les interroger et s’interroger lui-même sur son avenir.
L’actuel ministre de l’Intérieur Marco Minniti n’a pu que les confirmer lors d’une interrogation parlementaire sur le sujet.
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…
Le débat à l’Assemblée nationale ne méritait pas, pour des dispositions dont personne ne conteste l’intérêt public, d’être si mal dirigé et présidé.
La toute dernière version du Guide de la Citoyenneté Canadienne (guide d’étude) vient d’être passée au tamis du politiquement correct.
Les frondeurs dénoncent enfin « un manque de démocratie interne » et la faible part accordée au terrain.
Loin des pleurnicheries Charlie de Hollande, il a reconnu le « martyre » du père Hamel.
Après la révolte des Bonnets rouges, celle des Gauloises bleues ?
Mercredi matin, Robert Ménard a organisé une cérémonie commémorative pour le père Hamel. À Béziers, une promenade au pied de la cathédrale porte son nom.
Domrémy n’est qu’un sursis. Saint-Denis est déjà une réalité. Voire un cauchemar.
Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
La rue bientôt, aussi. Comme dirait l’autre, ça va castagner !
Dormez tranquilles, citoyens, le gouvernement veille sur vous.
Pour défendre du haut de la tribune le projet de loi, Mme Bergé n’y est pas allée avec le dos de sa petite cuillère en vermeil.
Évidemment, chez les marcheurs, ça commence à râler, à douter et même, paraît-il, à fronder.
Comme si le pouvoir suprême par lui-même était condamné à son propre déclin…
Pour qui veut comprendre le monde contemporain, les concepts schmittiens, soit pour être réfutés, soit pour être défendus, ne peuvent pas être ignorés.
Le week-end dernier s’est tenu le séminaire du Front national sur la refondation du mouvement.
Il y a belle lurette qu’hommes et femmes politiques se parlent et négocient par d’autres canaux que ceux des tweets.
L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Les tensions redoublent, non seulement à Caracas, mais aussi dans tout le pays qui est, depuis le 1er avril, en situation de guérilla permanente.