Politique
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
Il fallait voir comme François Hollande était à ses petits soins, lundi matin, sous l’Arc de Triomphe…
Le problème est de savoir quels électeurs, et donc quels élus, aux législatives vont marcher avec lui…
Qui dit Macron dimanche dit manifs dès lundi… On prend les mêmes et on recommence. Casseurs, zadistes, la haine vociférée place de la République.
La perpétuation de la présidence de François Hollande à travers son successeur appelle une remise à plat des forces d’opposition.
La polémique concernant les liens entre ONG et trafiquants d’êtres humains ne désenfle pas malgré les dénégations des associations et du monde politique.
Comment expliquer qu’un candidat aussi jeune et aux prétentions réformistes ait à ce point été plébiscité par une France plutôt conservatrice par nature ?
Je crains, hélas, qu’aucune leçon ne soit tirée de ce fiasco.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Pour Robert Ménard, l’échec cuisant du Front national à l’élection présidentielle tient avant tout à ses propres erreurs.
Dans un entretien au Figaro de septembre 2015, notre nouveau président de la République lui-même a prédit la fin de l’euro d’ici dix ans.
Il y a soixante-sept ans, la déclaration Schuman marqua le premier jour de la construction européenne.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.
Encore six semaines et on saura si ce Président disposera pour son action d’une majorité cohérente et structurée ou s’il devra composer.
Les analyses sur la « France des oubliés » doivent être affinées, corrigées et mieux appréhendées.
Il est stérile de dépenser son énergie à viser un pouvoir que nous n’atteindrons jamais.
Le plafond de verre du FN est passé de 30 à 40 %. Mais pour gagner les élections, il faut plus de 50 % des voix.
La France est à cran. Elle est divisée. Une grande partie des Français ne se parlent plus, ne se comprennent plus.
Le gouvernement finissant a publié une circulaire autorisant le tirage au sort pour l’inscription en première année de certaines formations universitaires.
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
Ils ont roulé les Français dans la farine. Les bobos des grandes villes et leur puissance de feu médiatique ont écrasé la France périphérique.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
La vie politique française vient d’entamer un nouveau cycle : la gauche traditionnelle et la droite classique, c’est fini.
Est-ce une déroute, une défaite, un échec relatif ? Ou un nouveau pas vers une victoire future ?
À cinq semaines des élections législatives anticipées, les Conservateurs britanniques ont le vent en poupe.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
Il fallait voir comme François Hollande était à ses petits soins, lundi matin, sous l’Arc de Triomphe…
Le problème est de savoir quels électeurs, et donc quels élus, aux législatives vont marcher avec lui…
Qui dit Macron dimanche dit manifs dès lundi… On prend les mêmes et on recommence. Casseurs, zadistes, la haine vociférée place de la République.
La perpétuation de la présidence de François Hollande à travers son successeur appelle une remise à plat des forces d’opposition.
La polémique concernant les liens entre ONG et trafiquants d’êtres humains ne désenfle pas malgré les dénégations des associations et du monde politique.
Comment expliquer qu’un candidat aussi jeune et aux prétentions réformistes ait à ce point été plébiscité par une France plutôt conservatrice par nature ?
Je crains, hélas, qu’aucune leçon ne soit tirée de ce fiasco.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Pour Robert Ménard, l’échec cuisant du Front national à l’élection présidentielle tient avant tout à ses propres erreurs.
Dans un entretien au Figaro de septembre 2015, notre nouveau président de la République lui-même a prédit la fin de l’euro d’ici dix ans.
Il y a soixante-sept ans, la déclaration Schuman marqua le premier jour de la construction européenne.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.
Encore six semaines et on saura si ce Président disposera pour son action d’une majorité cohérente et structurée ou s’il devra composer.
Les analyses sur la « France des oubliés » doivent être affinées, corrigées et mieux appréhendées.
Il est stérile de dépenser son énergie à viser un pouvoir que nous n’atteindrons jamais.
Le plafond de verre du FN est passé de 30 à 40 %. Mais pour gagner les élections, il faut plus de 50 % des voix.
La France est à cran. Elle est divisée. Une grande partie des Français ne se parlent plus, ne se comprennent plus.
Le gouvernement finissant a publié une circulaire autorisant le tirage au sort pour l’inscription en première année de certaines formations universitaires.
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
Ils ont roulé les Français dans la farine. Les bobos des grandes villes et leur puissance de feu médiatique ont écrasé la France périphérique.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
La vie politique française vient d’entamer un nouveau cycle : la gauche traditionnelle et la droite classique, c’est fini.
Est-ce une déroute, une défaite, un échec relatif ? Ou un nouveau pas vers une victoire future ?
À cinq semaines des élections législatives anticipées, les Conservateurs britanniques ont le vent en poupe.