Politique
Et les langues de commencer à se délier, la victoire garantie sur facture prenant peu à peu l’allure d’un possible chèque en bois.
16.000 emplois pour les cinq années qui viennent seraient menacés dans cette filière à cause du poids des taxes locales, des charges et de la fiscalité.
« Peut bien faire, mais a gâché ses talents », telle est l’appréciation qui pourrait vous caractériser à l’issue de ce quinquennat.
Nous devons porter au pouvoir un être pétri par l’amour charnel de la nation, peu importent ses insuffisances techniques.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Les médias dominants, qui sont de grands sensibles, jouent depuis ce mercredi matin à se faire peur avec un possible second tour Le Pen-Mélenchon.
Mardi avait lieu un colloque organisé par les députés français Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani, désireux de faire entendre une autre voix sur ce conflit.
On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues.
Le jury se demande en fin de soirée si les effets de manche visuels de certains candidats ne seraient pas là pour pallier une absence de contenu…
La présidentielle, qui prend heureusement bientôt fin, a l’art de grossir et de caricaturer des comportements peu éthiques, mais pas forcément illégaux.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Réduire le problème à une question de places disponibles ou de personnel en nombre insuffisant serait une erreur.
Il le regrette, mais se pliera à la loi de non-cumul.
Son but : choisir un prête-nom et se venger d’un peuple qui le déteste.
La Corée du Nord occupe une place étrange dans le traitement médiatique, notamment français.
Simple comme une démocratie directe, ce système de vote est utilisé pour l’élection présidentielle dans beaucoup de pays.
Calculs d’arrière-basse-cour, projections politiciennes à deux balles.
La situation politique à gauche, en vue de cette consultation électorale, a largement évolué.
Ce début de printemps est florissant : voici qu’en mars 2017 sont apparus l’île et le peuple de Guyane.
… alors ceux qui votent pour lui sont des salauds ! »
La face du monde, assurément, va s’en trouver changée.
Christian Estrosi, après avoir reçu Emmanuel Macron à Marseille, aurait été vu avec Jean-Paul Delevoye, président de la commission d’investiture d’En Marche.
Bien plus qu’une coutume de départ à la Attila, il s’agit d’une coutume bien plus ancienne de guerre entre peuples du Moyen-Orient…
Cette campagne présidentielle, tant décriée pour sa médiocrité, aura tout de même un mérite : celui d’avoir mieux fait apparaître les forces en présence.
C’est faire à de tels individus un honneur bien étrange, cher Jean-Luc Mélenchon, que de proclamer aujourd’hui qu’ils étaient la France.
La responsabilité du gouvernement de l’époque, soit le gouvernement de Vichy, est celle d’un État et non de la France millénaire.
La France s’est bâtie au fil des siècles sur une tradition unitaire reléguant les particularismes dans la sphère privée.
L’OMS n’hésite pas à monter dans le train si politiquement correct du « changement » climatique…
Et les langues de commencer à se délier, la victoire garantie sur facture prenant peu à peu l’allure d’un possible chèque en bois.
16.000 emplois pour les cinq années qui viennent seraient menacés dans cette filière à cause du poids des taxes locales, des charges et de la fiscalité.
« Peut bien faire, mais a gâché ses talents », telle est l’appréciation qui pourrait vous caractériser à l’issue de ce quinquennat.
Nous devons porter au pouvoir un être pétri par l’amour charnel de la nation, peu importent ses insuffisances techniques.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Les médias dominants, qui sont de grands sensibles, jouent depuis ce mercredi matin à se faire peur avec un possible second tour Le Pen-Mélenchon.
Mardi avait lieu un colloque organisé par les députés français Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani, désireux de faire entendre une autre voix sur ce conflit.
On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues.
Le jury se demande en fin de soirée si les effets de manche visuels de certains candidats ne seraient pas là pour pallier une absence de contenu…
La présidentielle, qui prend heureusement bientôt fin, a l’art de grossir et de caricaturer des comportements peu éthiques, mais pas forcément illégaux.
N’est-ce pas « normal », quand on s’amuse à faire de la mauvaise cuisine avec son Macron et à lancer des boules puantes depuis des mois ?
Réduire le problème à une question de places disponibles ou de personnel en nombre insuffisant serait une erreur.
Il le regrette, mais se pliera à la loi de non-cumul.
Son but : choisir un prête-nom et se venger d’un peuple qui le déteste.
La Corée du Nord occupe une place étrange dans le traitement médiatique, notamment français.
Simple comme une démocratie directe, ce système de vote est utilisé pour l’élection présidentielle dans beaucoup de pays.
Calculs d’arrière-basse-cour, projections politiciennes à deux balles.
La situation politique à gauche, en vue de cette consultation électorale, a largement évolué.
Ce début de printemps est florissant : voici qu’en mars 2017 sont apparus l’île et le peuple de Guyane.
… alors ceux qui votent pour lui sont des salauds ! »
La face du monde, assurément, va s’en trouver changée.
Christian Estrosi, après avoir reçu Emmanuel Macron à Marseille, aurait été vu avec Jean-Paul Delevoye, président de la commission d’investiture d’En Marche.
Bien plus qu’une coutume de départ à la Attila, il s’agit d’une coutume bien plus ancienne de guerre entre peuples du Moyen-Orient…
Cette campagne présidentielle, tant décriée pour sa médiocrité, aura tout de même un mérite : celui d’avoir mieux fait apparaître les forces en présence.
C’est faire à de tels individus un honneur bien étrange, cher Jean-Luc Mélenchon, que de proclamer aujourd’hui qu’ils étaient la France.
La responsabilité du gouvernement de l’époque, soit le gouvernement de Vichy, est celle d’un État et non de la France millénaire.
La France s’est bâtie au fil des siècles sur une tradition unitaire reléguant les particularismes dans la sphère privée.
L’OMS n’hésite pas à monter dans le train si politiquement correct du « changement » climatique…
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