Politique

Mieux vaudrait enseigner aux élèves, le plus objectivement possible, tous les faits historiques…

Une arme comme le vote ne doit-elle pas, elle aussi, être, comme toutes les autres armes, réglementée ?

Marine Le Pen a montré une grande empathie à l’égard de ces ouvriers français, sacrifiés sur l’autel des profits.
Nicolas Dhuicq refuse de voter pour Emmanuel Macron : les idées de celui-ci sont destructrices pour la nation.

La lente agonie, ponctuée de soubresauts grotesques, de ces partis naguère donnés pour être de gouvernement est un émerveillement de chaque instant.
Votre bulletin de vote le 7 mai pourrait faire avancer les choses. Offrez-vous ce frisson car il est sans danger.

Les médias étrangers n’ont guère différé de leurs homologues français dans le traitement de l’information.
Trop de monde sur le coup. Ça se bouscule, ça joue des coudes. « Je l’ai dit le premier ! » « Non, c’est moi, j’étais là avant ! »

Le paysage politique qu’offre la France ce matin est pitoyable. 24 % des électeurs ont donc été fascinés par un joueur de flûte.
Emmanuel Macron a tout d’une marionnette aux ficelles bien tirées et, derrière le décor de carton-pâte, les magouilles continuent…

Après avoir interdit au Président sortant de se représenter, voilà que les Français sont prêts à élire son clone…
La hantise du Front national et de Marine Le Pen va conduire certains à voter Emmanuel Macron. Pour ceux-là, tout me semble perdu.
Les bourgeois ont du mal à se bouger, et le peuple a toujours fait les révolutions dont ils tirèrent profit.
Il est urgent de reconstruire la vraie droite et d’éjecter les Sarkozy, Juppé, NKM, Chatel, Estrosi, Baroin, Accoyer, Woerth et autres guignols.

Le président Maduro continue de s’arc-bouter sur son pouvoir.

On ne confie pas la maison France à n’importe qui. Sa rivale a deux semaines pour faire la lumière sur lui.
Le système, comme il est désormais coutume de l’appeler avec un brin de simplisme, est à bout de souffle.
Certains esprits mal intentionnés – souvent issus de son propre camp – y verront une sorte de reculade ou de reniement de ces fameux « fondamentaux » du FN.

L’élection a ses raisons que la raison ne connaît pas.
Robert Ménard a été condamné mardi à 2.000 euros d’amende (sans compter dommages et intérêts et frais de justice) pour « provocation à la haine et la discrimination ».
Les syndicats policiers proclament leur allégeance au système.

Christine Boutin préconise d’utiliser le vote révolutionnaire pour stopper la marionnette de la globalisation.
Trente ans que ça dure, mais voilà, tout s’use, même la guerre contre le Front national.

Que nous proposent ces candidats ? En ce qui concerne Emmanuel Macron, c’est grosso-modo la continuité de la politique de François Hollande.
L’économie, c’est important, la bataille pour l’emploi, c’est essentiel mais ce n’est pas tout. D’autres périls nous menacent…

On peut s’interroger sur le sens des responsabilités de beaucoup des électeurs d’aujourd’hui.

Je me suis trompé. J’ai surestimé la capacité de résistance des Français. J’ai sous-estimé le poids des médias.
Après avoir passé ces dernières années à combattre la politique de François Hollande, laisser le pays entre les mains de son poulain me semble impossible.

Mieux vaudrait enseigner aux élèves, le plus objectivement possible, tous les faits historiques…

Une arme comme le vote ne doit-elle pas, elle aussi, être, comme toutes les autres armes, réglementée ?

Marine Le Pen a montré une grande empathie à l’égard de ces ouvriers français, sacrifiés sur l’autel des profits.
Nicolas Dhuicq refuse de voter pour Emmanuel Macron : les idées de celui-ci sont destructrices pour la nation.

La lente agonie, ponctuée de soubresauts grotesques, de ces partis naguère donnés pour être de gouvernement est un émerveillement de chaque instant.
Votre bulletin de vote le 7 mai pourrait faire avancer les choses. Offrez-vous ce frisson car il est sans danger.

Les médias étrangers n’ont guère différé de leurs homologues français dans le traitement de l’information.
Trop de monde sur le coup. Ça se bouscule, ça joue des coudes. « Je l’ai dit le premier ! » « Non, c’est moi, j’étais là avant ! »

Le paysage politique qu’offre la France ce matin est pitoyable. 24 % des électeurs ont donc été fascinés par un joueur de flûte.
Emmanuel Macron a tout d’une marionnette aux ficelles bien tirées et, derrière le décor de carton-pâte, les magouilles continuent…

Après avoir interdit au Président sortant de se représenter, voilà que les Français sont prêts à élire son clone…
La hantise du Front national et de Marine Le Pen va conduire certains à voter Emmanuel Macron. Pour ceux-là, tout me semble perdu.
Les bourgeois ont du mal à se bouger, et le peuple a toujours fait les révolutions dont ils tirèrent profit.
Il est urgent de reconstruire la vraie droite et d’éjecter les Sarkozy, Juppé, NKM, Chatel, Estrosi, Baroin, Accoyer, Woerth et autres guignols.

Le président Maduro continue de s’arc-bouter sur son pouvoir.

On ne confie pas la maison France à n’importe qui. Sa rivale a deux semaines pour faire la lumière sur lui.
Le système, comme il est désormais coutume de l’appeler avec un brin de simplisme, est à bout de souffle.
Certains esprits mal intentionnés – souvent issus de son propre camp – y verront une sorte de reculade ou de reniement de ces fameux « fondamentaux » du FN.

L’élection a ses raisons que la raison ne connaît pas.
Robert Ménard a été condamné mardi à 2.000 euros d’amende (sans compter dommages et intérêts et frais de justice) pour « provocation à la haine et la discrimination ».
Les syndicats policiers proclament leur allégeance au système.

Christine Boutin préconise d’utiliser le vote révolutionnaire pour stopper la marionnette de la globalisation.
Trente ans que ça dure, mais voilà, tout s’use, même la guerre contre le Front national.

Que nous proposent ces candidats ? En ce qui concerne Emmanuel Macron, c’est grosso-modo la continuité de la politique de François Hollande.
L’économie, c’est important, la bataille pour l’emploi, c’est essentiel mais ce n’est pas tout. D’autres périls nous menacent…

On peut s’interroger sur le sens des responsabilités de beaucoup des électeurs d’aujourd’hui.

Je me suis trompé. J’ai surestimé la capacité de résistance des Français. J’ai sous-estimé le poids des médias.
Après avoir passé ces dernières années à combattre la politique de François Hollande, laisser le pays entre les mains de son poulain me semble impossible.
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