Politique
Olivier Véran a affirmé que tout était anticipé : le préfet de paris, sous l’égide du ministre de l’Intérieur, est « parfaitement à la tâche ».
Eric Ciotti défend une ligne « de droite assumée », « refusant le politiquement correct » et un discours ferme sur la sécurité et l’immigration.
Un tiers de communication, un bon tiers de contre-vérités, un gros tiers d’autosatisfaction et un petit tiers de mesurettes. Oui, ça fait quatre tiers…
Pour celui qui a été trois fois candidat à la présidence de la République, la situation est telle, actuellement, que « la France ne peut attendre 2027 »
Il faut dire que ça ne pouvait pas attendre.
Ce n’est pas la première fois qu’une sanction collective est prise pour les actes d’une poignée de malfaisants.
On pourrait rappeler les pressions physiques, le climat d’intimidation, pour ne pas parler des agressions, que toute la mouvance islamo-gauchiste déploie dans les universités françaises.
« Beaucoup rêvaient de faire annuler mon élection, le Conseil constitutionnel en a jugé autrement. Je reste donc à l’Assemblée nationale ! »
Faut-il donc sortir de l’Assemblée nationale pour régler ce problème ?
Il apparaît nécessaire de créer une commission interparlementaire chargée de juger le délit d’opinion ou de langage du parlementaire.
Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.
Le roi est nu. Il est donc grand temps qu’il se confectionne un bel habit. Va pour celui de Super Résistant !
Pourtant, le Français de 2022 peut toujours emprunter l’avenue Lénine ou les rues Staline et Maurice-Thorez.
Les deux chevaux de bataille du RN resteraient à l’écurie ?
Le lundi Ciotti est zemmourien, le mardi chiraquien, le mercredi il ne sait plus trop où il est.
Se proclamer « citoyen du monde » est chose facile pour qui évolue de son loft new-yorkais à son riad de Rabat, de son appartement londonien à son compte en Suisse.
Après Nicolas Sarkozy, la dame de Matignon a exprimé le souhait de rencontrer le monument de la boulette : l’incompressible François Hollande. Lui seul sait comment aggraver une situation.
Malgré son peu de goût pour le milieu policier, on peut dire que David Guiraud a été pris en flagrant délit…
Un contre-feu, donc, pour tenter d’expliquer que si les Français devaient être amenés à se chauffer et s’éclairer à la bougie cet hiver, ce n’est en tout cas pas la faute à ce gouvernement et à ceux qui le composent.
Un an pile après le meeting de Villepinte où Éric Zemmour officialisait la création du mouvement Reconquête!, plus de 4.000 militants se sont réunis ce dimanche au Palais des Sports à Paris pour souffler la bougie.
Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…
« Ces personnes veulent que leurs progénitures sachent lire, écrire et compter, au lieu d’apprendre qu’un petit garçon peut devenir une petite fille et vice-versa », affirme Antoine Ardant.
« Pas de panique », donc. Tu m’en diras tant. Le peuple ne peut pourtant pas faire autrement que de paniquer…
Comme le disait Bardella lui-même lors du grand débat des valeurs, « nous n’avons avec Reconquête que des divergences de court et moyen terme ».
Loin devant Macron et Borne, qui s’enfoncent un peu plus encore dans cette enquête YouGov pour Le HuffPost.
Ce que l’on retiendra sans aucun doute de ce bilan, ce sont les fiascos qui s’accumulent depuis des mois. Le signal envoyé au monde entier est grave.
Revenu ce jeudi dans l’Hémicycle, Grégoire de Fournas se confie au micro de Marc Eynaud et Jordan Florentin sur les conditions de ce retour et sur la polémique dans laquelle il s’est retrouvé embarqué.
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.
Olivier Véran a affirmé que tout était anticipé : le préfet de paris, sous l’égide du ministre de l’Intérieur, est « parfaitement à la tâche ».
Eric Ciotti défend une ligne « de droite assumée », « refusant le politiquement correct » et un discours ferme sur la sécurité et l’immigration.
Un tiers de communication, un bon tiers de contre-vérités, un gros tiers d’autosatisfaction et un petit tiers de mesurettes. Oui, ça fait quatre tiers…
Pour celui qui a été trois fois candidat à la présidence de la République, la situation est telle, actuellement, que « la France ne peut attendre 2027 »
Il faut dire que ça ne pouvait pas attendre.
Ce n’est pas la première fois qu’une sanction collective est prise pour les actes d’une poignée de malfaisants.
On pourrait rappeler les pressions physiques, le climat d’intimidation, pour ne pas parler des agressions, que toute la mouvance islamo-gauchiste déploie dans les universités françaises.
« Beaucoup rêvaient de faire annuler mon élection, le Conseil constitutionnel en a jugé autrement. Je reste donc à l’Assemblée nationale ! »
Faut-il donc sortir de l’Assemblée nationale pour régler ce problème ?
Il apparaît nécessaire de créer une commission interparlementaire chargée de juger le délit d’opinion ou de langage du parlementaire.
Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.
Le roi est nu. Il est donc grand temps qu’il se confectionne un bel habit. Va pour celui de Super Résistant !
Pourtant, le Français de 2022 peut toujours emprunter l’avenue Lénine ou les rues Staline et Maurice-Thorez.
Les deux chevaux de bataille du RN resteraient à l’écurie ?
Le lundi Ciotti est zemmourien, le mardi chiraquien, le mercredi il ne sait plus trop où il est.
Se proclamer « citoyen du monde » est chose facile pour qui évolue de son loft new-yorkais à son riad de Rabat, de son appartement londonien à son compte en Suisse.
Après Nicolas Sarkozy, la dame de Matignon a exprimé le souhait de rencontrer le monument de la boulette : l’incompressible François Hollande. Lui seul sait comment aggraver une situation.
Malgré son peu de goût pour le milieu policier, on peut dire que David Guiraud a été pris en flagrant délit…
Un contre-feu, donc, pour tenter d’expliquer que si les Français devaient être amenés à se chauffer et s’éclairer à la bougie cet hiver, ce n’est en tout cas pas la faute à ce gouvernement et à ceux qui le composent.
Un an pile après le meeting de Villepinte où Éric Zemmour officialisait la création du mouvement Reconquête!, plus de 4.000 militants se sont réunis ce dimanche au Palais des Sports à Paris pour souffler la bougie.
Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…
« Ces personnes veulent que leurs progénitures sachent lire, écrire et compter, au lieu d’apprendre qu’un petit garçon peut devenir une petite fille et vice-versa », affirme Antoine Ardant.
« Pas de panique », donc. Tu m’en diras tant. Le peuple ne peut pourtant pas faire autrement que de paniquer…
Comme le disait Bardella lui-même lors du grand débat des valeurs, « nous n’avons avec Reconquête que des divergences de court et moyen terme ».
Loin devant Macron et Borne, qui s’enfoncent un peu plus encore dans cette enquête YouGov pour Le HuffPost.
Ce que l’on retiendra sans aucun doute de ce bilan, ce sont les fiascos qui s’accumulent depuis des mois. Le signal envoyé au monde entier est grave.
Revenu ce jeudi dans l’Hémicycle, Grégoire de Fournas se confie au micro de Marc Eynaud et Jordan Florentin sur les conditions de ce retour et sur la polémique dans laquelle il s’est retrouvé embarqué.
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.