Politique
La gauche rate une nouvelle fois l’occasion de revenir sur le devant de la scène sociale en laissant délibérément son cortège se faire empoisonner par des antifas casseurs et violents.
Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.
Pour l’heure, l’avertissement d’Emmanuel Macron provoque les moqueries de l’opposition : « chiche » ,s’amuse Marine Le Pen.
Tout ce bruit parce qu’un parti conservateur national a remporté les élections en s’alliant avec un parti régionaliste et la droite classique.
En attendant ces annonces, les propriétaires de chiens à poils longs rasent les murs, les éleveurs de chats angora ferment boutique. Bruno Le Maire peut passer à tout moment et rafler les animaux à la toison la plus foisonnante.
Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.
Agnès Pannier-Runacher déroule les éléments de langage comme d’autres déroulent du câble.
Ce n’est pas pour rien qu’à gauche, on est souvent écolo, on recycle les vieux anathèmes et on fait dans la reductio ad Mussolinium renouvelable.
Au train où ces gens s’épurent les uns les autres, on sera bientôt dans Dix Petits Nègres…
Telle la vigie Baba condamnée à bégayer l’arrivée des Gaulois d’Astérix, la NUPES n’en finit plus de hurler au retour d’un fascisme décliné à toutes les sauces.
Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.
Dimanche matin, à Bruz, près de Rennes, des familles ont eu très peur, retranchées dans une ferme assiégée par 200 antifas armés de cocktails Molotov.
Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…
Le coût politique semble bien réel pour le Président puisque l’alternative qui se dessine est assez simple : Macron va-t-il enterrer sa réforme des retraites (ou le contraire) ?
On pourrait finir par ne plus prendre garde aux propos d’Ursula von der Leyen. Ce serait dommage.
Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.
Grand reporter, Régis Le Sommier revient sur les différents référendums organisés dans les oblasts ukrainiens passés sous contrôle russe.
Les Français sont peut-être inconsciemment en manque de leurs rois, parce qu’un peuple ne peut pas avoir vécu durant mille trois cents ans en monarchie sans qu’il en reste quelque chose.
Le militant soulève l’épineux problème de la violence conjugale ponctuelle. Le cas de l’épouse qui a voté Zemmour ou Marine Le Pen doit être examiné..
Une promesse de stabilité, un discours classique de droite, réformiste et pragmatique apte à séduire une grande partie du patronat italien.
On connaissait l’implacabilité des tribunaux médiatiques. Voici celui des féministes.
La natalité, c’est l’avenir de notre pays : la vie des familles, les emplois, les retraites. C’est la vie d’un pays.
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
On ne peut pas mélanger combats féministes et défense de l’islam politique. Louis Boyard ne veut pas le comprendre.
Il ne nous reste plus qu’à souhaiter au ministre de l’Intérieur que ses déclaration soient rapidement suivies d’effet, sous peine d’enterrer définitivement sa crédibilité plus que vacillante auprès des Français.
Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !
La gauche rate une nouvelle fois l’occasion de revenir sur le devant de la scène sociale en laissant délibérément son cortège se faire empoisonner par des antifas casseurs et violents.
Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.
Pour l’heure, l’avertissement d’Emmanuel Macron provoque les moqueries de l’opposition : « chiche » ,s’amuse Marine Le Pen.
Tout ce bruit parce qu’un parti conservateur national a remporté les élections en s’alliant avec un parti régionaliste et la droite classique.
En attendant ces annonces, les propriétaires de chiens à poils longs rasent les murs, les éleveurs de chats angora ferment boutique. Bruno Le Maire peut passer à tout moment et rafler les animaux à la toison la plus foisonnante.
Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.
Agnès Pannier-Runacher déroule les éléments de langage comme d’autres déroulent du câble.
Ce n’est pas pour rien qu’à gauche, on est souvent écolo, on recycle les vieux anathèmes et on fait dans la reductio ad Mussolinium renouvelable.
Au train où ces gens s’épurent les uns les autres, on sera bientôt dans Dix Petits Nègres…
Telle la vigie Baba condamnée à bégayer l’arrivée des Gaulois d’Astérix, la NUPES n’en finit plus de hurler au retour d’un fascisme décliné à toutes les sauces.
Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.
Dimanche matin, à Bruz, près de Rennes, des familles ont eu très peur, retranchées dans une ferme assiégée par 200 antifas armés de cocktails Molotov.
Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…
Le coût politique semble bien réel pour le Président puisque l’alternative qui se dessine est assez simple : Macron va-t-il enterrer sa réforme des retraites (ou le contraire) ?
On pourrait finir par ne plus prendre garde aux propos d’Ursula von der Leyen. Ce serait dommage.
Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.
Grand reporter, Régis Le Sommier revient sur les différents référendums organisés dans les oblasts ukrainiens passés sous contrôle russe.
Les Français sont peut-être inconsciemment en manque de leurs rois, parce qu’un peuple ne peut pas avoir vécu durant mille trois cents ans en monarchie sans qu’il en reste quelque chose.
Le militant soulève l’épineux problème de la violence conjugale ponctuelle. Le cas de l’épouse qui a voté Zemmour ou Marine Le Pen doit être examiné..
Une promesse de stabilité, un discours classique de droite, réformiste et pragmatique apte à séduire une grande partie du patronat italien.
On connaissait l’implacabilité des tribunaux médiatiques. Voici celui des féministes.
La natalité, c’est l’avenir de notre pays : la vie des familles, les emplois, les retraites. C’est la vie d’un pays.
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
On ne peut pas mélanger combats féministes et défense de l’islam politique. Louis Boyard ne veut pas le comprendre.
Il ne nous reste plus qu’à souhaiter au ministre de l’Intérieur que ses déclaration soient rapidement suivies d’effet, sous peine d’enterrer définitivement sa crédibilité plus que vacillante auprès des Français.
Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !