Politique
« Si je suis président, Jordan sera vice-président et, derrière, il y aura un équilibre entre ses soutiens et les miens. »
Le 27 octobre, lors des questions au gouvernement, Pascal Arrighi, député gaulliste de Corse (et futur député du Front national), tonne dans son accent chantant : « La semaine dernière, un personnage aujourd’hui discrédité a affirmé que j’étais un assassin ! ».
On imagine bien des soldats français, revenus d’opération, obligés d’emmener en randonnée de petites frappes abruties par le chichon…
Une belle inversion des rôles basée sur une rhétorique classique de l’extrême gauche qui transforme les délinquants en victimes et les policiers en coupables.
Certains estiment que son ralliement à Emmanuel Macron fut motivé par son ambition personnelle.
L’insouciance ? Celle du quotidien, bien sûr ! Vous savez, cette légèreté du coeur que l’on ressent, dans notre pays où la liberté est une valeur cardinale…
Mitterrand raconte lui-même la dimension psychologique du piège, la mise en condition de la future victime par Pesquet. Il y a dans ce texte une musique, une plainte, une rage, une intelligence déployée.
Fidèles à leur image de pastèque, le but ultime des Verts est bien de mettre à bas la société de croissance et son démon capitaliste.
Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.
Là aussi, l’écriture est belle, mais les faits manquent. Trop intelligent, trop ambitieux, François Mitterrand, pour se laisser prendre ? Françoise Giroud remonte elle aussi le rocher de Sisyphe. L’image de Mitterrand est au plus bas.
Une fois de plus, une proposition EELV aboutirait donc à l’inverse du but recherché, comme la fermeture des centrales nucléaires a entraîné la remise en route des centrales à charbon.
Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.
LFI est heureuse de ses 75 députés, mais Clémentine Autain n’est pas si rassurée : elle craint que ne plane sur les assemblées l’ange de la dissolution.
Celui qui renvoyait dos à dos les extrêmes de gauche comme de droite semble avoir fait siennes certaines réalités.
Jean Cau, qui couvre l’affaire, retourne voir le sénateur. Il trouve l’homme terré rue Guynemer, « dans un petit bureau aux fenêtres fermées ». « Voulez-vous que je vous explique ? », demande Mitterrand.
La perte d’autorité, qui gangrène toutes les institutions françaises, s’est propagée dans les relations internationales, où Macron joue le Matamore mais a perdu tout réel crédit.
Pourquoi diable Mitterrand n’a-t-il rien dit ? Pourquoi n’a-t-il pas prévenu la police des risques d’attentat qui pesaient sur lui ?
Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.
On ne peut pas changer d’avis tout le temps sur des sujets comme la souveraineté énergétique, la décarbonation de notre énergie, qui engagent la France pour le siècle et qui, concernant la prolifération des éoliennes, empoisonnent la vie des Français…
La France de Macron, servilement atlantiste, est caricaturale dans sa soumission. L’Ukraine n’est qu’un énième exemple.
On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.
« Vous avez devant vous, Messieurs, un homme las des attaques dont il fait une fois de plus l’objet »
La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?
Ce que les Français attendent de vous aujourd’hui n’est pas que vous les incitiez à de nouveaux et incessants sacrifices.
Jean Castex recasé, désormais, dans la série des reclassements de l’été et SAV en tout genre, on n’attend plus que celui d’Amélie de Montchalin et de Christophe Castaner.
Gloire aux radiateurs restés tièdes ! Gloire aux thermostats réglés sur 15 !
Ce 22 octobre, jour de la parution de Rivarol, les journalistes sont prévenus dès le matin par un mystérieux correspondant anonyme : Robert Pesquet s’adressera à la presse le jour même, dans les locaux de son avocat.
Pour Hervé Juvin, ce conflit est mondial et préfigure l’émergence d’un monde nouveau, un monde où les Etats-Unis perdron
« Si je suis président, Jordan sera vice-président et, derrière, il y aura un équilibre entre ses soutiens et les miens. »
Le 27 octobre, lors des questions au gouvernement, Pascal Arrighi, député gaulliste de Corse (et futur député du Front national), tonne dans son accent chantant : « La semaine dernière, un personnage aujourd’hui discrédité a affirmé que j’étais un assassin ! ».
On imagine bien des soldats français, revenus d’opération, obligés d’emmener en randonnée de petites frappes abruties par le chichon…
Une belle inversion des rôles basée sur une rhétorique classique de l’extrême gauche qui transforme les délinquants en victimes et les policiers en coupables.
Certains estiment que son ralliement à Emmanuel Macron fut motivé par son ambition personnelle.
L’insouciance ? Celle du quotidien, bien sûr ! Vous savez, cette légèreté du coeur que l’on ressent, dans notre pays où la liberté est une valeur cardinale…
Mitterrand raconte lui-même la dimension psychologique du piège, la mise en condition de la future victime par Pesquet. Il y a dans ce texte une musique, une plainte, une rage, une intelligence déployée.
Fidèles à leur image de pastèque, le but ultime des Verts est bien de mettre à bas la société de croissance et son démon capitaliste.
Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.
Là aussi, l’écriture est belle, mais les faits manquent. Trop intelligent, trop ambitieux, François Mitterrand, pour se laisser prendre ? Françoise Giroud remonte elle aussi le rocher de Sisyphe. L’image de Mitterrand est au plus bas.
Une fois de plus, une proposition EELV aboutirait donc à l’inverse du but recherché, comme la fermeture des centrales nucléaires a entraîné la remise en route des centrales à charbon.
Dans cette affaire, la seule position honorable de la France consisterait évidemment à tout mettre en œuvre pour qu’enfin cesse ce conflit fratricide.
LFI est heureuse de ses 75 députés, mais Clémentine Autain n’est pas si rassurée : elle craint que ne plane sur les assemblées l’ange de la dissolution.
Celui qui renvoyait dos à dos les extrêmes de gauche comme de droite semble avoir fait siennes certaines réalités.
Jean Cau, qui couvre l’affaire, retourne voir le sénateur. Il trouve l’homme terré rue Guynemer, « dans un petit bureau aux fenêtres fermées ». « Voulez-vous que je vous explique ? », demande Mitterrand.
La perte d’autorité, qui gangrène toutes les institutions françaises, s’est propagée dans les relations internationales, où Macron joue le Matamore mais a perdu tout réel crédit.
Pourquoi diable Mitterrand n’a-t-il rien dit ? Pourquoi n’a-t-il pas prévenu la police des risques d’attentat qui pesaient sur lui ?
Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.
On ne peut pas changer d’avis tout le temps sur des sujets comme la souveraineté énergétique, la décarbonation de notre énergie, qui engagent la France pour le siècle et qui, concernant la prolifération des éoliennes, empoisonnent la vie des Français…
La France de Macron, servilement atlantiste, est caricaturale dans sa soumission. L’Ukraine n’est qu’un énième exemple.
On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.
« Vous avez devant vous, Messieurs, un homme las des attaques dont il fait une fois de plus l’objet »
La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?
Ce que les Français attendent de vous aujourd’hui n’est pas que vous les incitiez à de nouveaux et incessants sacrifices.
Jean Castex recasé, désormais, dans la série des reclassements de l’été et SAV en tout genre, on n’attend plus que celui d’Amélie de Montchalin et de Christophe Castaner.
Gloire aux radiateurs restés tièdes ! Gloire aux thermostats réglés sur 15 !
Ce 22 octobre, jour de la parution de Rivarol, les journalistes sont prévenus dès le matin par un mystérieux correspondant anonyme : Robert Pesquet s’adressera à la presse le jour même, dans les locaux de son avocat.
Pour Hervé Juvin, ce conflit est mondial et préfigure l’émergence d’un monde nouveau, un monde où les Etats-Unis perdron