Politique
Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?
La France dans sa générosité, ou plus exactement celle des Français assujettis à l’impôt, a mis en place une procédure spéciale d’admissions aux titres de séjour pour soins médicaux.
Le Japon est aujourd’hui une société assez consensuelle et je ne perçois pas quelles peuvent être les motivations de l’auteur de ce crime.
Farida Hamadi accuse LFI de menaces et surtout de l’avoir utilisée comme rabatteuse des voix des musulmans dans les quartiers nord, cela avant de la jeter comme une malpropre.
Être passé du journal télévisé de France 2 à la chaîne d’information LCI semble avoir libéré David Pujadas qui, désormais, rivalise d’audace.
Un milliard d’euros par an entre 2017 et 2020, c’est la somme allouée par la Commission européenne à des cabinets de conseils privés et à des consultants externes.
En l’état, Boris Johnson a-t-il encore un avenir politique ? On l’a vu trébucher, tomber et se relever tant de fois qu’il est encore bien tôt pour l’enterrer de son vivant…
Provocation ? Ces quelques mots prononcés par Mathilde Panot, élue LFI du Val-de-Marne et présidente du groupe extrémiste, ont suffi pour déclencher un mini-tollé politico-médiatique.
Face à cette situation, chaque parti politique essaye d’exister au Parlement en proposant des solutions court terme diverses et variées. Aucune de ces solutions n’est destinée à résoudre l’équation actuelle sur le fond mais à colmater à grands frais une situation qui pourrait devenir explosive à la rentrée.
C’est parti pour un « en même temps » géant, une forme de voyage dans la gigantesque bulle où évoluent nos macronistes.
Nicolas Dupont-Aignan réagit au discours de politique générale d’Élisabeth Borne, ce mercredi 6 juillet, à l’Assemblée nationale. L’occasion d’évoquer avec lui la question du rapatriement
En attendant, il n’est pas sûr qu’il faille montrer de tels spectacles aux enfants.
S’il revient aux « affectataires », c’est-à-dire les curés, de décider, il n’en demeure pas moins que ce qui se déroule dans les églises doit être « adapté au lieu sacré », selon l’évêque de Tulle.
Le politologue Guillaume Bigot analyse à notre micro le remaniement opéré par Emmanuel Macron et Élisabeth Borne. Des changements à la marge pour un cap inchangé, sinon absent !
La distinction pédante entre ennemi et adversaire n’a pas vraiment lieu d’être en politique, sauf à considérer que, décidément, nous sommes devenus le pays des accommodements.
Ce serait oublier que des milliards d’euros sont déversés sur ces « quartiers » depuis des décennies, alors qu’on en fait nettement moins pour la Creuse ou le Morvan.
Les Insoumis n’en sortent donc plus. Les cris poussés pour exiger les départs de Gérald Darmanin et Damien Abad, accusés de violences sexuelles, ne masquent plus les turpitudes du parti de Jean-Luc Mélenchon.
Emmanuel Macron décide une nouvelle fois d’imposer aux Français des situations dont ils ne veulent pas.
La voici donc nommée secrétaire d’État, chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative après une traversée du désert, version bac à sable…
Le remaniement illustre une fois de plus la déchirure qui détruit l’ancien parti de Sarkozy.
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Alors qu’il vient de reconnaître qu’il avait menti dans l’affaire du Stade de France, il a été non seulement maintenu dans les mêmes fonctions, mais même promu.
Et de promettre que les représentants de la NUPES conduiront, à l’Assemblée nationale, le « combat contre les violences policières ». Voilà Darmanin prévenu, et Macron avec lui.
« Nous sommes élus tout sauf par hasard. Notre progression a été constante à force de travail. »
Une majorité de circonstance s’est reconstituée au sein de chaque commission pour écarter le Rassemblement national des postes clés, alors même qu’il est le deuxième groupe de l’Assemblée nationale.
Tout cela est consternant mais, fait rassurant (ou pas), la fonction présidentielle paraît soudain à la portée de n’importe quel bateleur.
Merci à la droite la plus bête du monde !
Au Parlement bruxellois, les députés ont voté contre l’obligation d’étourdissement avant l’abattage, faisant fi du bien-être animal, mais surtout se soumettant au cahier des charges de l’islamisme.
Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?
La France dans sa générosité, ou plus exactement celle des Français assujettis à l’impôt, a mis en place une procédure spéciale d’admissions aux titres de séjour pour soins médicaux.
Le Japon est aujourd’hui une société assez consensuelle et je ne perçois pas quelles peuvent être les motivations de l’auteur de ce crime.
Farida Hamadi accuse LFI de menaces et surtout de l’avoir utilisée comme rabatteuse des voix des musulmans dans les quartiers nord, cela avant de la jeter comme une malpropre.
Être passé du journal télévisé de France 2 à la chaîne d’information LCI semble avoir libéré David Pujadas qui, désormais, rivalise d’audace.
Un milliard d’euros par an entre 2017 et 2020, c’est la somme allouée par la Commission européenne à des cabinets de conseils privés et à des consultants externes.
En l’état, Boris Johnson a-t-il encore un avenir politique ? On l’a vu trébucher, tomber et se relever tant de fois qu’il est encore bien tôt pour l’enterrer de son vivant…
Provocation ? Ces quelques mots prononcés par Mathilde Panot, élue LFI du Val-de-Marne et présidente du groupe extrémiste, ont suffi pour déclencher un mini-tollé politico-médiatique.
Face à cette situation, chaque parti politique essaye d’exister au Parlement en proposant des solutions court terme diverses et variées. Aucune de ces solutions n’est destinée à résoudre l’équation actuelle sur le fond mais à colmater à grands frais une situation qui pourrait devenir explosive à la rentrée.
C’est parti pour un « en même temps » géant, une forme de voyage dans la gigantesque bulle où évoluent nos macronistes.
Nicolas Dupont-Aignan réagit au discours de politique générale d’Élisabeth Borne, ce mercredi 6 juillet, à l’Assemblée nationale. L’occasion d’évoquer avec lui la question du rapatriement
En attendant, il n’est pas sûr qu’il faille montrer de tels spectacles aux enfants.
S’il revient aux « affectataires », c’est-à-dire les curés, de décider, il n’en demeure pas moins que ce qui se déroule dans les églises doit être « adapté au lieu sacré », selon l’évêque de Tulle.
Le politologue Guillaume Bigot analyse à notre micro le remaniement opéré par Emmanuel Macron et Élisabeth Borne. Des changements à la marge pour un cap inchangé, sinon absent !
La distinction pédante entre ennemi et adversaire n’a pas vraiment lieu d’être en politique, sauf à considérer que, décidément, nous sommes devenus le pays des accommodements.
Ce serait oublier que des milliards d’euros sont déversés sur ces « quartiers » depuis des décennies, alors qu’on en fait nettement moins pour la Creuse ou le Morvan.
Les Insoumis n’en sortent donc plus. Les cris poussés pour exiger les départs de Gérald Darmanin et Damien Abad, accusés de violences sexuelles, ne masquent plus les turpitudes du parti de Jean-Luc Mélenchon.
Emmanuel Macron décide une nouvelle fois d’imposer aux Français des situations dont ils ne veulent pas.
La voici donc nommée secrétaire d’État, chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative après une traversée du désert, version bac à sable…
Le remaniement illustre une fois de plus la déchirure qui détruit l’ancien parti de Sarkozy.
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Alors qu’il vient de reconnaître qu’il avait menti dans l’affaire du Stade de France, il a été non seulement maintenu dans les mêmes fonctions, mais même promu.
Et de promettre que les représentants de la NUPES conduiront, à l’Assemblée nationale, le « combat contre les violences policières ». Voilà Darmanin prévenu, et Macron avec lui.
« Nous sommes élus tout sauf par hasard. Notre progression a été constante à force de travail. »
Une majorité de circonstance s’est reconstituée au sein de chaque commission pour écarter le Rassemblement national des postes clés, alors même qu’il est le deuxième groupe de l’Assemblée nationale.
Tout cela est consternant mais, fait rassurant (ou pas), la fonction présidentielle paraît soudain à la portée de n’importe quel bateleur.
Merci à la droite la plus bête du monde !
Au Parlement bruxellois, les députés ont voté contre l’obligation d’étourdissement avant l’abattage, faisant fi du bien-être animal, mais surtout se soumettant au cahier des charges de l’islamisme.