Politique
Une courte majorité, dont l’ensemble des députés soutenant Emmanuel Macron, n’a pas souhaité débattre de la persécution des chrétiens et du cas de la malheureuse Deborah.
Ainsi « le peuple souverain » n’est-il plus souverain de rien, sauf d’une illusion de souveraineté, tandis que la réalité du pouvoir se situe au sein des réseaux d’une sorte de caste mondialisée, mercantile et technicienne, qui rêve de gouvernement mondial.
Le nouveau gouvernement a été nommé vendredi 20 mai après-midi. Un gouvernement, qui pourra être remanié à l’issue des élections législatives, les 12 et 19
Celui qui est actuellement visé par une mise en examen et qui se fait applaudir par les taulards va, au grand dam de nombreux magistrats, parachever la déconstruction de notre système judiciaire.
Le maire de Marignane contre « l’islamisation extrême de la France » Le quotidien La Provence a révélé que le maire de Marignane, Éric Le
Assa Traoré et Ladj Ly gardent donc toutes leurs chances pour 2027.
Ce retour de Macron à son ADN socialiste avec une forte dose Mélenchon est en fait une bonne nouvelle
Un tout dernier clin d’œil : on note l’absence remarquée de Christophe Castaner dans cette fine équipe.
Vous avez signé pour être une ombre anonyme dans une assemblée d’ombres sans pouvoir.
La nouvelle porte-parole ne mâche pas ses mots.
Donc, la France attend. Macron avait pourtant peu de doutes sur l’issue du scrutin. Il aurait pu prendre un peu d’avance sur le dossier, répartir les postes voilà un an puisque tous les sondages le donnaient gagnant du début jusqu’à la fin de cette campagne. Mais non, il n’a rien prévu.
On apprend finalement que Jérôme Peyrat, sentant qu’il n’était peut-être pas tout à fait sur une trajectoire ascendante, a décidé de se retirer de la course à la députation.
On notera le recul du Hezbollah (13 sièges) et de ses alliés, ce qui va l’empêcher d’avoir la majorité au Parlement.
André Gérin, le député-maire honoraire PCF de Vénissieux, ne reconnait plus la gauche engluée dans la NUPES et soumise à l’électoralisme de Mélenchon. Un drame pour celui qui voulait « redonner ses lettres de noblesse à l’idée de Nation et de patriotisme ».
Au cours de sa prise de parole, le dirigeant conservateur a fustigé le « monde occidental « qui « expérimente le programme de grand remplacement »
La nomination d’Élisabeth Borne à Matignon est l’événement de la semaine. Mais celle d’Aurélien Rousseau, son tout nouveau directeur de cabinet, pourrait bien le devenir aussi.
L’encyclopédie s’est vue contrainte de calmer les ardeurs de ses internautes, rappelant, au matin du 17 mai, après des heures de lutte acharnée, qu’être russe n’était pas forcément synonyme d’être en état de péché mortel…
C’est donc ça, le nouveau mandat du nouveau Président pour le nouveau peuple ? Il ressemble pourtant vachement à l’ancien. Le seul changement ?
L’incrimination de pantouflage – faire des allers-retours entre le secteur public et privé, pouvant occasionner des conflits d’intérêts – s’est fait entendre par les détracteurs du ministre.
Élisabeth Borne coche toutes les cases, au point que sa longue expérience des ministères s’accompagne de quelques casseroles. Mais curieusement, on en entend moins parler que de ses diplômes.
Catherine Vautrin est loin de l’image conservatrice dont les progressistes voulaient l’affubler.
On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.
Opération camouflage oblige, l’habitant ne doit pas s’apercevoir que le prétendant député vient de débarquer dans un lieu dont il n’a jamais entendu parler.
Émilie Chalas, députée de l’Isère LREM et conseillère municipale d’opposition à Grenoble, dit sa consternation : « Monsieur le maire, vous faites honte à notre ville », Grenoble est devenue « la risée de la France ».
Si Marine Chiaberto a pu s’échapper, les militants eux, se retrouvent face à une foule d’antifas, munis de barre de fer pour certains et prêts à en découdre.
Abreuvé de notes et de rapports qui pointaient impitoyablement la tiers-mondisation du pays, il s’est heurté à l’idéologie stérilisante du monde macroniste : ne pas stigmatiser, vivre ensemble, richesse dans la diversité.
Le plus drôle, dans cette affaire, c’est que, pour une fois, ils subissent, comme l’arroseur arrosé, e contrecoup des coups qu’ils aiment porter.
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…
Une courte majorité, dont l’ensemble des députés soutenant Emmanuel Macron, n’a pas souhaité débattre de la persécution des chrétiens et du cas de la malheureuse Deborah.
Ainsi « le peuple souverain » n’est-il plus souverain de rien, sauf d’une illusion de souveraineté, tandis que la réalité du pouvoir se situe au sein des réseaux d’une sorte de caste mondialisée, mercantile et technicienne, qui rêve de gouvernement mondial.
Le nouveau gouvernement a été nommé vendredi 20 mai après-midi. Un gouvernement, qui pourra être remanié à l’issue des élections législatives, les 12 et 19
Celui qui est actuellement visé par une mise en examen et qui se fait applaudir par les taulards va, au grand dam de nombreux magistrats, parachever la déconstruction de notre système judiciaire.
Le maire de Marignane contre « l’islamisation extrême de la France » Le quotidien La Provence a révélé que le maire de Marignane, Éric Le
Assa Traoré et Ladj Ly gardent donc toutes leurs chances pour 2027.
Ce retour de Macron à son ADN socialiste avec une forte dose Mélenchon est en fait une bonne nouvelle
Un tout dernier clin d’œil : on note l’absence remarquée de Christophe Castaner dans cette fine équipe.
Vous avez signé pour être une ombre anonyme dans une assemblée d’ombres sans pouvoir.
La nouvelle porte-parole ne mâche pas ses mots.
Donc, la France attend. Macron avait pourtant peu de doutes sur l’issue du scrutin. Il aurait pu prendre un peu d’avance sur le dossier, répartir les postes voilà un an puisque tous les sondages le donnaient gagnant du début jusqu’à la fin de cette campagne. Mais non, il n’a rien prévu.
On apprend finalement que Jérôme Peyrat, sentant qu’il n’était peut-être pas tout à fait sur une trajectoire ascendante, a décidé de se retirer de la course à la députation.
On notera le recul du Hezbollah (13 sièges) et de ses alliés, ce qui va l’empêcher d’avoir la majorité au Parlement.
André Gérin, le député-maire honoraire PCF de Vénissieux, ne reconnait plus la gauche engluée dans la NUPES et soumise à l’électoralisme de Mélenchon. Un drame pour celui qui voulait « redonner ses lettres de noblesse à l’idée de Nation et de patriotisme ».
Au cours de sa prise de parole, le dirigeant conservateur a fustigé le « monde occidental « qui « expérimente le programme de grand remplacement »
La nomination d’Élisabeth Borne à Matignon est l’événement de la semaine. Mais celle d’Aurélien Rousseau, son tout nouveau directeur de cabinet, pourrait bien le devenir aussi.
L’encyclopédie s’est vue contrainte de calmer les ardeurs de ses internautes, rappelant, au matin du 17 mai, après des heures de lutte acharnée, qu’être russe n’était pas forcément synonyme d’être en état de péché mortel…
C’est donc ça, le nouveau mandat du nouveau Président pour le nouveau peuple ? Il ressemble pourtant vachement à l’ancien. Le seul changement ?
L’incrimination de pantouflage – faire des allers-retours entre le secteur public et privé, pouvant occasionner des conflits d’intérêts – s’est fait entendre par les détracteurs du ministre.
Élisabeth Borne coche toutes les cases, au point que sa longue expérience des ministères s’accompagne de quelques casseroles. Mais curieusement, on en entend moins parler que de ses diplômes.
Catherine Vautrin est loin de l’image conservatrice dont les progressistes voulaient l’affubler.
On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.
Opération camouflage oblige, l’habitant ne doit pas s’apercevoir que le prétendant député vient de débarquer dans un lieu dont il n’a jamais entendu parler.
Émilie Chalas, députée de l’Isère LREM et conseillère municipale d’opposition à Grenoble, dit sa consternation : « Monsieur le maire, vous faites honte à notre ville », Grenoble est devenue « la risée de la France ».
Si Marine Chiaberto a pu s’échapper, les militants eux, se retrouvent face à une foule d’antifas, munis de barre de fer pour certains et prêts à en découdre.
Abreuvé de notes et de rapports qui pointaient impitoyablement la tiers-mondisation du pays, il s’est heurté à l’idéologie stérilisante du monde macroniste : ne pas stigmatiser, vivre ensemble, richesse dans la diversité.
Le plus drôle, dans cette affaire, c’est que, pour une fois, ils subissent, comme l’arroseur arrosé, e contrecoup des coups qu’ils aiment porter.
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…