Politique
Il est à craindre que Jean-Luc Mélenchon, tel un vulgaire macroniste, ait rajouté un peu de sel sur les plaies béantes de notre pays.
Celui qui apparaissait dans les médias dépourvu de montures a joué la carte de la possible confusion. Sur un malentendu, Emmanuel Macron peut le nommer à un poste quelconque.
La France insoumise a largement contribué à la réélection d’Emmanuel Macron, transformant sa posture « insoumise » en raisonnables arrangements de soumission.
L’air de Jacques Brel me hante, ne cherchez pas pourquoi. « T’as voulu voir Vierzon et on a vu Vierzon. T’as voulu voir Vesoul et on a vu Vesoul… » On a voulu Macron, et on a eu Macron.
Le score réalisé par Emmanuel Macron au soir de ce second tour est plus que jamais la concrétisation de la fracture béante qui divise la France en deux.
Il est réélu grâce à une majorité hétéroclite de rencontres, animée par des objectifs antagonistes que le fameux « en même temps macronien » ne pourra pas concilier !
Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.
En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…
On ne fera pas que mourir sur commande et travailler jusqu’à 65 ans, sous Macron II…
La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.
La campagne pour l’élection présidentielle est désormais derrière nous. Ce sondage a été clôturé. Voici les résultats. 2704 lecteurs ont répondu au sondage.
Qui alors élire pour assumer cette charge lourde par son peu de poids politique ?
Taha Bouhafs a été condamné « pour injure publique à raison de l’origine », en septembre dernier…
Réagissant au soutien actif de plusieurs cadres LR à la réélection d’Emmanuel Macron, le député de Vaucluse Julien Aubert livre à Boulevard Voltaire son analyse
L’évêque de Bayonne revient, pour Boulevard Voltaire, sur le quinquennat d’Emmanuel Macron, mais également sur les prises de position de certains membres du clergé en
Dans cette grande démocratie libérale où les opinions et les médias sont si libres, faisons le compte des médias qui ne sont pas violemment hostiles à la candidate de deuxième tour.
Le seul à avoir saisi l’essentiel, c’est Gérald Darmanin. Il commentait en ces termes, jeudi matin, sur Europe 1, le débat de la veille : « On a vu le choix entre deux types de France. » Tout est là.
Le candidat à sa réélection Emmanuel Macron a affirmé des choses fausses, soit par erreur, soit par mensonge volontaire, pour dissimuler des faits dérangeants.
De quoi l’impunité dont bénéficient ces « milices antifas » est-elle le nom, quand le pouvoir use d’une célérité foudroyante à condamner et dissoudre les Zouaves ou Génération identitaire ?
À la surprise générale, Gérald Darmanin reprend le thème cher à Éric Zemmour de l’intégration par les prénoms.
Dans un monde idéal, les défenseurs de la souveraineté française auraient vocation à s’entendre. Nous en sommes loin.
Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.
L’époque, la conjoncture, peut-être même le destin, nous amènent, une fois encore, à cette grande confrontation entre deux visions, entre deux peuples, entre César et Pompée, entre Le Pen et Macron.
Emmanuel Macron ne sait rien de la vie quotidienne des Français. Il ne connaît pas les marchés où le français est une langue étrangère et le hijab la tenue de rigueur.
Avec ses 15,6 millions, ce débat enregistre la plus faible part d’audience des duels d’entre-deux-tours.
Sur la banquette du débat, dans le wagon les menant au deuxième tour, il s’étalait, avec l’aisance verbale qu’on lui connaît, et prenait, désinvolte, toute la place.
C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.
Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.
Il est à craindre que Jean-Luc Mélenchon, tel un vulgaire macroniste, ait rajouté un peu de sel sur les plaies béantes de notre pays.
Celui qui apparaissait dans les médias dépourvu de montures a joué la carte de la possible confusion. Sur un malentendu, Emmanuel Macron peut le nommer à un poste quelconque.
La France insoumise a largement contribué à la réélection d’Emmanuel Macron, transformant sa posture « insoumise » en raisonnables arrangements de soumission.
L’air de Jacques Brel me hante, ne cherchez pas pourquoi. « T’as voulu voir Vierzon et on a vu Vierzon. T’as voulu voir Vesoul et on a vu Vesoul… » On a voulu Macron, et on a eu Macron.
Le score réalisé par Emmanuel Macron au soir de ce second tour est plus que jamais la concrétisation de la fracture béante qui divise la France en deux.
Il est réélu grâce à une majorité hétéroclite de rencontres, animée par des objectifs antagonistes que le fameux « en même temps macronien » ne pourra pas concilier !
Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.
En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…
On ne fera pas que mourir sur commande et travailler jusqu’à 65 ans, sous Macron II…
La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.
La campagne pour l’élection présidentielle est désormais derrière nous. Ce sondage a été clôturé. Voici les résultats. 2704 lecteurs ont répondu au sondage.
Qui alors élire pour assumer cette charge lourde par son peu de poids politique ?
Taha Bouhafs a été condamné « pour injure publique à raison de l’origine », en septembre dernier…
Réagissant au soutien actif de plusieurs cadres LR à la réélection d’Emmanuel Macron, le député de Vaucluse Julien Aubert livre à Boulevard Voltaire son analyse
L’évêque de Bayonne revient, pour Boulevard Voltaire, sur le quinquennat d’Emmanuel Macron, mais également sur les prises de position de certains membres du clergé en
Dans cette grande démocratie libérale où les opinions et les médias sont si libres, faisons le compte des médias qui ne sont pas violemment hostiles à la candidate de deuxième tour.
Le seul à avoir saisi l’essentiel, c’est Gérald Darmanin. Il commentait en ces termes, jeudi matin, sur Europe 1, le débat de la veille : « On a vu le choix entre deux types de France. » Tout est là.
Le candidat à sa réélection Emmanuel Macron a affirmé des choses fausses, soit par erreur, soit par mensonge volontaire, pour dissimuler des faits dérangeants.
De quoi l’impunité dont bénéficient ces « milices antifas » est-elle le nom, quand le pouvoir use d’une célérité foudroyante à condamner et dissoudre les Zouaves ou Génération identitaire ?
À la surprise générale, Gérald Darmanin reprend le thème cher à Éric Zemmour de l’intégration par les prénoms.
Dans un monde idéal, les défenseurs de la souveraineté française auraient vocation à s’entendre. Nous en sommes loin.
Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.
L’époque, la conjoncture, peut-être même le destin, nous amènent, une fois encore, à cette grande confrontation entre deux visions, entre deux peuples, entre César et Pompée, entre Le Pen et Macron.
Emmanuel Macron ne sait rien de la vie quotidienne des Français. Il ne connaît pas les marchés où le français est une langue étrangère et le hijab la tenue de rigueur.
Avec ses 15,6 millions, ce débat enregistre la plus faible part d’audience des duels d’entre-deux-tours.
Sur la banquette du débat, dans le wagon les menant au deuxième tour, il s’étalait, avec l’aisance verbale qu’on lui connaît, et prenait, désinvolte, toute la place.
C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.
Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.