Politique
Il est monnaie courante et de bon ton de s’opposer au Rassemblement national, même quand cela est interdit par la loi.
Interrogé sur le sujet du jour, l’élection pas impossible, à défaut d’être plausible, de Marine Le Pen aux plus hautes fonctions, c’est un déchaînement, une vague, un torrent.
A quelques jours du second tour, Guilhem Carayon explique pourquoi il ne votera pas Emmanuel Macron, précise que « bien-sûr, Marine Le Pen est républicaine » et tire le constat du premier tour : « Les idées de droite sont majoritaires dans le pays, mais dispersées ».
On peut présumer que le vote des musulmans se reportera sans difficulté sur Macron dans la mesure où, en 2017, ils avaient été 92 % à se prononcer en sa faveur.
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
Partant du postulat selon lequel « la France est encore une grande puissance », Marine Le Pen veut retourner aux « valeurs traditionnelles de la diplomatie française »
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
C’est peut-être dans cet électorat de braves gens, opposants à la dictature sanitaire, que l’on traite de nazis, d’idiots, de sans-dents, c’est peut-être dans ce qui constitue le cœur de la France, la vraie.
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
L’appel, lancé le 12 avril par Nicolas Sarkozy à voter Emmanuel Macron au second tour, ne s’inscrit pas dans la banalité, désormais traditionnelle, « à faire barrage à l’extrême droite ».
L’antilepénisme commence décidément à connaître un sérieux coup de mou. À la place d’Emmanuel Macron, on commencerait à se faire du souci…
Marine Le Pen n’est pas sans savoir que la démographie d’un pays garantit sa pérennité, notamment économique.
Pour qui ont voté les 70.000 détenus que compte la France, dont 22 % à 24,5 % d’étrangers.
Là encore, loin des discours lénifiants des bonnes âmes, il faut se rendre à cette évidence : « Entre les Corses et les immigrés, ce n’est pas le grand amour. » Bien sûr, le fait qu’Yvan Colonna ait été assassiné par un djihadiste n’est pas de nature à huiler les relations entre communautés et la lâcheté du gouvernement, dans cette histoire, n’aura fait qu’envenimer les choses.
Si les thèmes consacrés au pouvoir d’achat et au grand déclassement peuvent fédérer insoumis et patriotes, il reste que la lutte contre l’immigration massive et le Grand Remplacement ne sont pas compatibles avec l’islamo-gauchisme de Jean-Luc Mélenchon.
La poutre va donc continuer à travailler et le second tour du 24 avril constituera une nouvelle étape de la recomposition politique. Certainement pas la dernière.
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
Pour apprendre au bon peuple à mettre un masque sur le nez, Véran ou Attal suffisaient. Pour apprendre au bon peuple à obéir aux consignes de vote, il faut du lourd. Du vieux soldat.
L’homme choisit la difficulté. Le vote à 10.000 euros.
La sagesse est, pour moi, de m’abstenir. Je fais confiance aux citoyens qui voteront en leur âme et conscience. Cela s’appelle la démocratie.
Les catholiques penchent désormais nettement à droite. Reportage de Geoffroy Antoine.
Emmanuel Macron est comptable d’un bilan quinquennal désastreux. Il a renforcé l’immigration incontrôlée, les crimes et délits en pagaille et la précarité galopante.
Ce qui est vraiment surprenant, c’est que l’électorat d’Emmanuel Macron se soit élargi d’un premier tour à l’autre sur cinq ans, alors que les élections ayant eu lieu depuis 2017 ont montré qu’il s’érodait.
Ce sont les mêmes qui, au nom de « la lutte contre le fascisme », ont tout au long de la campagne agressé les militants du RN et de Reconquête
Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.
Les échanges prennent alors une tournure surréaliste, tant la communication présidentielle achoppe à ses limites quand elle est confrontée à la réalité.
Une décision, donc, qui n’apparaît pas seulement comme un vote de barrage mais également comme un choix de conviction.
C’est le candidat qui gère le chrono, comme le président les horloges…
Il est monnaie courante et de bon ton de s’opposer au Rassemblement national, même quand cela est interdit par la loi.
Interrogé sur le sujet du jour, l’élection pas impossible, à défaut d’être plausible, de Marine Le Pen aux plus hautes fonctions, c’est un déchaînement, une vague, un torrent.
A quelques jours du second tour, Guilhem Carayon explique pourquoi il ne votera pas Emmanuel Macron, précise que « bien-sûr, Marine Le Pen est républicaine » et tire le constat du premier tour : « Les idées de droite sont majoritaires dans le pays, mais dispersées ».
On peut présumer que le vote des musulmans se reportera sans difficulté sur Macron dans la mesure où, en 2017, ils avaient été 92 % à se prononcer en sa faveur.
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
Partant du postulat selon lequel « la France est encore une grande puissance », Marine Le Pen veut retourner aux « valeurs traditionnelles de la diplomatie française »
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
C’est peut-être dans cet électorat de braves gens, opposants à la dictature sanitaire, que l’on traite de nazis, d’idiots, de sans-dents, c’est peut-être dans ce qui constitue le cœur de la France, la vraie.
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
L’appel, lancé le 12 avril par Nicolas Sarkozy à voter Emmanuel Macron au second tour, ne s’inscrit pas dans la banalité, désormais traditionnelle, « à faire barrage à l’extrême droite ».
L’antilepénisme commence décidément à connaître un sérieux coup de mou. À la place d’Emmanuel Macron, on commencerait à se faire du souci…
Marine Le Pen n’est pas sans savoir que la démographie d’un pays garantit sa pérennité, notamment économique.
Pour qui ont voté les 70.000 détenus que compte la France, dont 22 % à 24,5 % d’étrangers.
Là encore, loin des discours lénifiants des bonnes âmes, il faut se rendre à cette évidence : « Entre les Corses et les immigrés, ce n’est pas le grand amour. » Bien sûr, le fait qu’Yvan Colonna ait été assassiné par un djihadiste n’est pas de nature à huiler les relations entre communautés et la lâcheté du gouvernement, dans cette histoire, n’aura fait qu’envenimer les choses.
Si les thèmes consacrés au pouvoir d’achat et au grand déclassement peuvent fédérer insoumis et patriotes, il reste que la lutte contre l’immigration massive et le Grand Remplacement ne sont pas compatibles avec l’islamo-gauchisme de Jean-Luc Mélenchon.
La poutre va donc continuer à travailler et le second tour du 24 avril constituera une nouvelle étape de la recomposition politique. Certainement pas la dernière.
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
Pour apprendre au bon peuple à mettre un masque sur le nez, Véran ou Attal suffisaient. Pour apprendre au bon peuple à obéir aux consignes de vote, il faut du lourd. Du vieux soldat.
L’homme choisit la difficulté. Le vote à 10.000 euros.
La sagesse est, pour moi, de m’abstenir. Je fais confiance aux citoyens qui voteront en leur âme et conscience. Cela s’appelle la démocratie.
Les catholiques penchent désormais nettement à droite. Reportage de Geoffroy Antoine.
Emmanuel Macron est comptable d’un bilan quinquennal désastreux. Il a renforcé l’immigration incontrôlée, les crimes et délits en pagaille et la précarité galopante.
Ce qui est vraiment surprenant, c’est que l’électorat d’Emmanuel Macron se soit élargi d’un premier tour à l’autre sur cinq ans, alors que les élections ayant eu lieu depuis 2017 ont montré qu’il s’érodait.
Ce sont les mêmes qui, au nom de « la lutte contre le fascisme », ont tout au long de la campagne agressé les militants du RN et de Reconquête
Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.
Les échanges prennent alors une tournure surréaliste, tant la communication présidentielle achoppe à ses limites quand elle est confrontée à la réalité.
Une décision, donc, qui n’apparaît pas seulement comme un vote de barrage mais également comme un choix de conviction.
C’est le candidat qui gère le chrono, comme le président les horloges…