Réflexions
« Une nation qui perd son identité et devient minoritaire chez elle est vouée à se désintégrer ».
Libération vient de publier la tribune d’un professeur français à l’université de Los Angeles.
« Maintenant je sais ! » chantait Jean Gabin. « Je sais qu’on ne sait jamais ».
On n’analyse jamais assez la différence existant, en démocratie, entre la légalité et la légitimité…
Le parallélisme des incriminations entre terroristes et hommes politiques démocratiquement élus a créé le scandale.
Cette note laisse-t-elle présager une nouvelle chasse aux sorcières ?
Ce qu’il faut, c’est de la bonté. Mais, n’en déplaise à M. Attal, les sentiments ne s’enseignent pas.
L’amalgame réducteur si souvent fait entre la patrie française et la République est choquant.
La société est tout autant victime que les victimes elles-mêmes.
On ne saurait trop le recommander à Emmanuel Macron dont la « pensée complexe » pourrait n’être qu’un signe de confusion
Il y a un vaste tsunami, allant de l’Ouest vers l’Est, qui emporte tout sur son passage : cultures, traditions…
Les limites sont des interdits que l’on impose, les repères sont des mains courantes que l’on explique.
Que nous reste-t-il, aujourd’hui ? Peu qui nous mette sur un pied d’égalité avec les puissants de ce monde.
Nous nous croyons encore au XVIIIe siècle, quand nous comptions beaucoup.
La crise du bien commun a eu des conséquences importantes en favorisant l’individualisme et la polarisation politique
La notion de bien commun a souvent été confondue avec celle de l’intérêt général…
Dmytro Kotsiubailo sera révéré comme un saint quand Maxime Blasco et les siens sont déjà oubliés, comptés pour pertes et profits de la République française Ve en sursis et privée d’idéal.
Cette attitude amène à s’interroger sur ces artistes et intellectuels « engagés » dont les indignations sélectives sont proportionnelles à leur aveuglement idéologique.
Mais pourquoi reproche-t-on aux Occidentaux d’avoir encore trop d’enfants quand ils en ont bien moins que les pays d’origine de nos migrants ?
La submersion migratoire est le résultat, si ce n’est de la disparition, de la porosité des frontières, en attendant que les immigrés illégaux soient définitivement rebaptisés réfugiés climatiques.
Pour cela, il ne faudra pas craindre d’affronter l’UE, la CEDH, la réprobation internationale, le camp du bien. Pour cela, il faut de la volonté politique et du temps.
Faut-il prendre le risque de décevoir la Seine-Saint-Denis en critiquant trop ouvertement un régime et un pays musulman ?
Nous continuons à ressentir les conséquences de ce changement de paradigme qui, en tentant de s’affranchir de la loi du père et donc de l’institution de la limite, provoque une genèse à l’envers.
« L’individu est handicapé en se retrouvant face à une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe » (J. Edgar Hoover, directeur du
Le préjugé de l’égalitarisme a supplanté le savoir émancipateur.
« Une nation qui perd son identité et devient minoritaire chez elle est vouée à se désintégrer ».
Libération vient de publier la tribune d’un professeur français à l’université de Los Angeles.
« Maintenant je sais ! » chantait Jean Gabin. « Je sais qu’on ne sait jamais ».
On n’analyse jamais assez la différence existant, en démocratie, entre la légalité et la légitimité…
Le parallélisme des incriminations entre terroristes et hommes politiques démocratiquement élus a créé le scandale.
Cette note laisse-t-elle présager une nouvelle chasse aux sorcières ?
Ce qu’il faut, c’est de la bonté. Mais, n’en déplaise à M. Attal, les sentiments ne s’enseignent pas.
L’amalgame réducteur si souvent fait entre la patrie française et la République est choquant.
La société est tout autant victime que les victimes elles-mêmes.
On ne saurait trop le recommander à Emmanuel Macron dont la « pensée complexe » pourrait n’être qu’un signe de confusion
Il y a un vaste tsunami, allant de l’Ouest vers l’Est, qui emporte tout sur son passage : cultures, traditions…
Les limites sont des interdits que l’on impose, les repères sont des mains courantes que l’on explique.
Que nous reste-t-il, aujourd’hui ? Peu qui nous mette sur un pied d’égalité avec les puissants de ce monde.
Nous nous croyons encore au XVIIIe siècle, quand nous comptions beaucoup.
La crise du bien commun a eu des conséquences importantes en favorisant l’individualisme et la polarisation politique
La notion de bien commun a souvent été confondue avec celle de l’intérêt général…
Dmytro Kotsiubailo sera révéré comme un saint quand Maxime Blasco et les siens sont déjà oubliés, comptés pour pertes et profits de la République française Ve en sursis et privée d’idéal.
Cette attitude amène à s’interroger sur ces artistes et intellectuels « engagés » dont les indignations sélectives sont proportionnelles à leur aveuglement idéologique.
Mais pourquoi reproche-t-on aux Occidentaux d’avoir encore trop d’enfants quand ils en ont bien moins que les pays d’origine de nos migrants ?
La submersion migratoire est le résultat, si ce n’est de la disparition, de la porosité des frontières, en attendant que les immigrés illégaux soient définitivement rebaptisés réfugiés climatiques.
Pour cela, il ne faudra pas craindre d’affronter l’UE, la CEDH, la réprobation internationale, le camp du bien. Pour cela, il faut de la volonté politique et du temps.
Faut-il prendre le risque de décevoir la Seine-Saint-Denis en critiquant trop ouvertement un régime et un pays musulman ?
Nous continuons à ressentir les conséquences de ce changement de paradigme qui, en tentant de s’affranchir de la loi du père et donc de l’institution de la limite, provoque une genèse à l’envers.
« L’individu est handicapé en se retrouvant face à une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe » (J. Edgar Hoover, directeur du
Le préjugé de l’égalitarisme a supplanté le savoir émancipateur.