Réflexions
À la manœuvre dans l’organigramme macronien, Marlène Schiappa est la personnalisation et la prêtresse de cette corruption des valeurs – d’où son maintien au gouvernement.
L’orgue n’est peut-être pas le poumon de l’humanité mais il est sans doute l’âme de notre civilisation européenne et chrétienne.
Une vieille femme, moi et une jeune Black ; la France d’hier, la France d’aujourd’hui et, peut-être, la France de demain.
Et si, dans la guerre des civilisations, le vainqueur était l’Extrême-Orient ?
L’autre jour, sur France Info, j’ai entendu un journaliste parler du chauffeur de bus tué par des « passagers ».
Je ne suis pas naïf, mais il y a des causes, des dénonciations, des analyses qui gagneraient à être moins sûres d’elles. Pour être davantage partagées.
Un débat Boulevard Voltaire, en partenariat avec l’Institut des libertés.
Si la démocratie participative s’intéresse au climat en 2030, pour quelles raisons ne serait-elle pas applicable à des sujets de brûlante actualité ?
Définitivement, cette gauche californienne se répand ici et là sans ambages : elle abandonne, ainsi, la question sociale pour ne se consacrer qu’à des questions d’ordre culturel, éthique, voire religieux.
Le Français moderne, culpabilisé jusqu’au trognon, exige toujours plus fort le droit de faire ses reptations, de se flageller sur la place publique et de demander énergiquement le pardon de ses fautes.
La repentance pour tous nos péchés de Blancs semble le préalable à une grande purification qui devrait précéder la régénération du monde.
Ce mouvement, une fois encore généré par la folie américaine se répand en France jusqu’à l’absurde.
Alors, tant qu’à sauver des vies, si l’on arrêtait d’assassiner les petits Français à naître ? Quitte à redresser l’Europe dans la foulée…
Pour Philippe de Villiers, il est évident que le Nouveau Monde, dont l’apothéose devait être marquée par la création d’un gouvernement mondial, est une idée épuisée…
N’est-ce pas Napoléon qui disait, de ses généraux baragouinant l’alsacien, « Pourvu qu’ils sabrent français ! » ?
La bonne conscience contre le pouvoir, c’est le troc actuellement en cours entre l’homme blanc et les minorités, une arnaque monumentale, la morale des faibles.
Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.
Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel
Robespierre, l’idole de Mélenchon, institua le culte de la déesse Raison. Aujourd’hui, c’est au culte de l’Émotion que l’on se plie…
Ce que révèle l’affaire Floyd, c’est la récupération d’un acte individuel à des fins politiques. Ce que dévoile l’amalgame Traoré, c’est une volonté anarchique de déstabilisation de la société française par une espèce de déterminisme suprémaciste noir.
De CNN à France Télévisions en passant par la BBC, les médias de l’Occident tout entier diffusent des images de rassemblements de milliers de personnes à Washington, Londres, Berlin, Rome, Paris… Sur les écrans, « Black Lives Matter » est écrit, scandé, partout.
Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.
De tout temps, la question de la famille ne repose pas sur le sentiment de l’amour, mais plutôt sur celui de la communauté d’intérêts.
Les petits Blancs de bonne famille peuvent s’agenouiller autant qu’ils veulent : l’insoluble question raciale, qui empoisonne le pays depuis toujours, ne peut qu’évoluer vers toujours plus de tensions, de communautarisme et de décohésion.
La multinationale Microsoft vient de pratiquer des coupes claires dans ses rédactions anglaise et américaine.
Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.
Il y eut même, en Union soviétique, à l’époque de Brejnev, des dirigeants qualifiés de « conservateurs » qui s’opposaient à tout changement du système.
Jean-Marie Bigard, dans tous les cas, de quelque manière qu’on le juge, est bien plus que Bigard.
À la manœuvre dans l’organigramme macronien, Marlène Schiappa est la personnalisation et la prêtresse de cette corruption des valeurs – d’où son maintien au gouvernement.
L’orgue n’est peut-être pas le poumon de l’humanité mais il est sans doute l’âme de notre civilisation européenne et chrétienne.
Une vieille femme, moi et une jeune Black ; la France d’hier, la France d’aujourd’hui et, peut-être, la France de demain.
Et si, dans la guerre des civilisations, le vainqueur était l’Extrême-Orient ?
L’autre jour, sur France Info, j’ai entendu un journaliste parler du chauffeur de bus tué par des « passagers ».
Je ne suis pas naïf, mais il y a des causes, des dénonciations, des analyses qui gagneraient à être moins sûres d’elles. Pour être davantage partagées.
Un débat Boulevard Voltaire, en partenariat avec l’Institut des libertés.
Si la démocratie participative s’intéresse au climat en 2030, pour quelles raisons ne serait-elle pas applicable à des sujets de brûlante actualité ?
Définitivement, cette gauche californienne se répand ici et là sans ambages : elle abandonne, ainsi, la question sociale pour ne se consacrer qu’à des questions d’ordre culturel, éthique, voire religieux.
Le Français moderne, culpabilisé jusqu’au trognon, exige toujours plus fort le droit de faire ses reptations, de se flageller sur la place publique et de demander énergiquement le pardon de ses fautes.
La repentance pour tous nos péchés de Blancs semble le préalable à une grande purification qui devrait précéder la régénération du monde.
Ce mouvement, une fois encore généré par la folie américaine se répand en France jusqu’à l’absurde.
Alors, tant qu’à sauver des vies, si l’on arrêtait d’assassiner les petits Français à naître ? Quitte à redresser l’Europe dans la foulée…
Pour Philippe de Villiers, il est évident que le Nouveau Monde, dont l’apothéose devait être marquée par la création d’un gouvernement mondial, est une idée épuisée…
N’est-ce pas Napoléon qui disait, de ses généraux baragouinant l’alsacien, « Pourvu qu’ils sabrent français ! » ?
La bonne conscience contre le pouvoir, c’est le troc actuellement en cours entre l’homme blanc et les minorités, une arnaque monumentale, la morale des faibles.
Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.
Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel
Robespierre, l’idole de Mélenchon, institua le culte de la déesse Raison. Aujourd’hui, c’est au culte de l’Émotion que l’on se plie…
Ce que révèle l’affaire Floyd, c’est la récupération d’un acte individuel à des fins politiques. Ce que dévoile l’amalgame Traoré, c’est une volonté anarchique de déstabilisation de la société française par une espèce de déterminisme suprémaciste noir.
De CNN à France Télévisions en passant par la BBC, les médias de l’Occident tout entier diffusent des images de rassemblements de milliers de personnes à Washington, Londres, Berlin, Rome, Paris… Sur les écrans, « Black Lives Matter » est écrit, scandé, partout.
Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.
De tout temps, la question de la famille ne repose pas sur le sentiment de l’amour, mais plutôt sur celui de la communauté d’intérêts.
Les petits Blancs de bonne famille peuvent s’agenouiller autant qu’ils veulent : l’insoluble question raciale, qui empoisonne le pays depuis toujours, ne peut qu’évoluer vers toujours plus de tensions, de communautarisme et de décohésion.
La multinationale Microsoft vient de pratiquer des coupes claires dans ses rédactions anglaise et américaine.
Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.
Il y eut même, en Union soviétique, à l’époque de Brejnev, des dirigeants qualifiés de « conservateurs » qui s’opposaient à tout changement du système.
Jean-Marie Bigard, dans tous les cas, de quelque manière qu’on le juge, est bien plus que Bigard.
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