Réflexions
La spiritualité, là est le danger pour un monde de consommation, de distractions, de réseaux sociaux, où l’enseignement s’effondre et où l’on compte là-dessus pour tenir les masses.
L’État a récupéré la catastrophe pour en faire un instrument de son autorité et de son rôle de sauveur suprême.
Le principe de précaution est l’expression la plus subreptice d’une culture universelle de l’angoisse. La vacuité du savant.
En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
« Ne pas subir » disait le Maréchal de Lattre. N’est ce pas un spectacle de soumission que nous donnons à nos enfants ?
À force de regarder passer les trains, même les vaches finissent par se rendre compte que les horaires des chemins de fer ont changé.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades…
De quoi tout cela va-t-il accoucher ? Peut-être d’une souris ou d’un monstre, ou, finalement, une fois les fantasmes et les doux délires dépassés et apaisés, de rien du tout.
La peur est devenue un moyen de gestion des masses.
Une sélection de huit répondeurs, tous plus joviaux les uns que les autres – ne manque plus que celui de l’horloge parlante –, à appeler en cas de grande détresse et propres à évacuer le stress de nos compatriotes.
La bureaucratie : un pouvoir banal, un pouvoir qu’aucune élection ne fera disparaître.
Timidement pratiquée jusque-là, avec moins de 10.000 actes par semaine, ce sont près de 500.000 téléconsultations qui ont été facturées à l’assurance maladie entre le 23 et le 29 mars.
Il est heureux que nous nous réapproprions nos vies en prenant le temps d’analyser ce qui est essentiel pour nous.
L’intervention du président de la République a confirmé que rien n’est clair.
Aucun autre événement n’a réussi à stopper brusquement et de façon radicale la machine capitaliste globale…
Ce petit mot, on ne l’a pas vu venir, on l’a pris de haut, un peu comme un chat dans la gorge : ça gratouillait, mais pas de quoi s’alarmer.
Et si telle était notre situation ? Informés mais idiots… Jusqu’à quand ?
En Belgique, chaque matin, le service public fédéral Santé égrène macabrement ses piteuses statistiques…
Grégory Roose réagit à la dernière allocution d’Emmanuel Macron et à la gestion de la crise du Covid-19 en France. Il analyse également la manière
Les héritiers de Verdun et de la Résistance ne devraient pas sombrer dans la désespérance et la panique mais préparer résolument le retour à meilleure fortune.
Il y aura, sans doute, des mouvements sociaux, beaucoup de personnes modestes se sentiront oubliées ou abandonnées, ce ne sera pas toutefois une réplique de la Grande Peur de 1789.
Et, en même temps, que peut-on y faire…
In fine, dans une planète mondialisée tant économico-socialement que culturellement, tout le monde finit par faire la même chose.
Le 15 avril 2019, la cathédrale Notre-Dame de Paris était en proie aux flammes. Un an après, tout n’a pas encore été dit, entendu, répondu sur les circonstances et le sens de ce drame.
La question est là : doit-on être au service de la science ou au service des malades ? Raoult a choisi la deuxième option.
Comme le remarquait Georges Clemenceau, il est aisé de mentir en temps de guerre.
Il y a un an, quelques jours avant Pâques, la cathédrale Notre-Dame de Paris, symbole de l’union profonde de la France et du catholicisme, brûlait. Peut-être était-ce là le signe d’un pays qui abandonne une identité avant tout spirituelle ?
La spiritualité, là est le danger pour un monde de consommation, de distractions, de réseaux sociaux, où l’enseignement s’effondre et où l’on compte là-dessus pour tenir les masses.
L’État a récupéré la catastrophe pour en faire un instrument de son autorité et de son rôle de sauveur suprême.
Le principe de précaution est l’expression la plus subreptice d’une culture universelle de l’angoisse. La vacuité du savant.
En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
« Ne pas subir » disait le Maréchal de Lattre. N’est ce pas un spectacle de soumission que nous donnons à nos enfants ?
À force de regarder passer les trains, même les vaches finissent par se rendre compte que les horaires des chemins de fer ont changé.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades…
De quoi tout cela va-t-il accoucher ? Peut-être d’une souris ou d’un monstre, ou, finalement, une fois les fantasmes et les doux délires dépassés et apaisés, de rien du tout.
La peur est devenue un moyen de gestion des masses.
Une sélection de huit répondeurs, tous plus joviaux les uns que les autres – ne manque plus que celui de l’horloge parlante –, à appeler en cas de grande détresse et propres à évacuer le stress de nos compatriotes.
La bureaucratie : un pouvoir banal, un pouvoir qu’aucune élection ne fera disparaître.
Timidement pratiquée jusque-là, avec moins de 10.000 actes par semaine, ce sont près de 500.000 téléconsultations qui ont été facturées à l’assurance maladie entre le 23 et le 29 mars.
Il est heureux que nous nous réapproprions nos vies en prenant le temps d’analyser ce qui est essentiel pour nous.
L’intervention du président de la République a confirmé que rien n’est clair.
Aucun autre événement n’a réussi à stopper brusquement et de façon radicale la machine capitaliste globale…
Ce petit mot, on ne l’a pas vu venir, on l’a pris de haut, un peu comme un chat dans la gorge : ça gratouillait, mais pas de quoi s’alarmer.
Et si telle était notre situation ? Informés mais idiots… Jusqu’à quand ?
En Belgique, chaque matin, le service public fédéral Santé égrène macabrement ses piteuses statistiques…
Grégory Roose réagit à la dernière allocution d’Emmanuel Macron et à la gestion de la crise du Covid-19 en France. Il analyse également la manière
Les héritiers de Verdun et de la Résistance ne devraient pas sombrer dans la désespérance et la panique mais préparer résolument le retour à meilleure fortune.
Il y aura, sans doute, des mouvements sociaux, beaucoup de personnes modestes se sentiront oubliées ou abandonnées, ce ne sera pas toutefois une réplique de la Grande Peur de 1789.
Et, en même temps, que peut-on y faire…
In fine, dans une planète mondialisée tant économico-socialement que culturellement, tout le monde finit par faire la même chose.
Le 15 avril 2019, la cathédrale Notre-Dame de Paris était en proie aux flammes. Un an après, tout n’a pas encore été dit, entendu, répondu sur les circonstances et le sens de ce drame.
La question est là : doit-on être au service de la science ou au service des malades ? Raoult a choisi la deuxième option.
Comme le remarquait Georges Clemenceau, il est aisé de mentir en temps de guerre.
Il y a un an, quelques jours avant Pâques, la cathédrale Notre-Dame de Paris, symbole de l’union profonde de la France et du catholicisme, brûlait. Peut-être était-ce là le signe d’un pays qui abandonne une identité avant tout spirituelle ?
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