Réflexions
En somme, c’est un penseur à lire et à relire, voire à déchiffrer…
Les prophètes et les saints de tous les temps appelaient tous les hommes haut et clair, en période de crise, à se convertir à Dieu. C’est le meilleur service à rendre aujourd’hui à nos contemporains en souffrance.
Il y a à peine trois mois – autant dire un siècle -, les candidats à la mairie de Paris faisaient assaut d’écologie pour séduire le bobo à roulettes…
À vrai dire, Montebourg a tout pour devenir le Macron d’un souverainisme fréquentable et bon ton.
À Rungis, où un entrepôt frigorifique a été réquisitionné pour décharger les services funéraires, pour que le corps puisse être conservé une semaine, il faut aux familles payer 250 euros…
Si la nation ne se débarrasse pas en priorité de ce parasite mortel qu’est devenu l’État, elle n’a aucune chance de remonter la pente.
Rester au contact des populations locales ne peut que contribuer à réduire le sentiment antifrançais, tant décrié, qui se développe en Afrique.
Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.
Les écologistes en rêvaient, le covid-19 l’a fait !
Une remise en question personnelle qui s’impose à nous individuellement bien avant de vouloir changer le monde.
Pour ma part, tant que cette question de la maternité ne sera pas prise en compte dans la carrière des femmes, je continuerai à dire à mes collègues féministes qu’elles se sont acheté un concept d’égalité en solde pour une bataille irréelle.
En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?
Cette politique de Gribouille aura deux conséquences désastreuses : la mise en sommeil de notre économie et celle de nos libertés.
Avec le virus chinois, l’Histoire se rappelle à notre fragile condition et réitère un enseignement déjà contenu dans les textes antiques, mais se dérobant régulièrement à notre ingrate mémoire : le sens tragique de l’existence.
Tragédie humaine oblige, c’est d’abord « la guerre de chacun contre chacun » qui a été tacitement déclarée.
Signe des temps ou des cieux, cette pandémie nous offre aussi une métaphore éclairante et une chance inédite, certes forcée mais pourquoi pas consentie, de nous libérer des formes d’assuétude de « la vie moderne », aliénante.
Une dizaine de jours plus tard, les services d’urgence et de réanimation de Seine-Saint-Denis se retrouvent surchargés et « il n’y a plus une seule place de réanimation dans le 93 », titre Le Monde, ce 26 mars.
Adossé au mur des réalités, le pouvoir redécouvre que sans constituer, évidemment, la panacée universelle, la frontière demeure fondamentalement au nombre des « gestes barrières » primordiaux du politique.
Au-delà de l’imprévoyance, de l’incompétence, de l’amateurisme de ce pouvoir, c’est bien ce ministère de la Parole qui est le plus insupportable.
Le masque est la vérité politique moderne.
Quelle leçon tirer du civisme constaté en Asie qui nous semble si étranger ? Qu’il faut réhabiliter au plus vite la notion de bien commun…
La France, grande puissance, pays riche, menait une lutte médiévale destinée à ralentir la propagation…
L’affirmer ne sert qu’à nous glorifier à peu de frais et à donner une allure de chefs de guerre à nos chefs d’État.
Il y a vraiment quelque chose d’inquiétant dans cet acharnement des pouvoirs publics à vouloir cloîtrer la population chez elle.
Lundi, la France commémorait le sacrifice d’Arnaud Beltrame lors de l’attaque terroriste de Trèbes. Ce mardi matin, on apprenait qu’en Italie, un prêtre malade du
Devant son impuissance, Peppone a donc franchi la porte de l’église pour demander de l’aide à Don Camillo !
Le Français a désappris à se défendre quelle que soit la menace : cela s’appelle la décadence.
La crise sanitaire signe la mort de la mondialisation, valeur dominante d’une élite qui, toutes tendances confondues, reste obnubilée par un marché sans limite, sans frontière où, là encore, l’objet prévaut sur le sujet, le matériel sur le spirituel.
En somme, c’est un penseur à lire et à relire, voire à déchiffrer…
Les prophètes et les saints de tous les temps appelaient tous les hommes haut et clair, en période de crise, à se convertir à Dieu. C’est le meilleur service à rendre aujourd’hui à nos contemporains en souffrance.
Il y a à peine trois mois – autant dire un siècle -, les candidats à la mairie de Paris faisaient assaut d’écologie pour séduire le bobo à roulettes…
À vrai dire, Montebourg a tout pour devenir le Macron d’un souverainisme fréquentable et bon ton.
À Rungis, où un entrepôt frigorifique a été réquisitionné pour décharger les services funéraires, pour que le corps puisse être conservé une semaine, il faut aux familles payer 250 euros…
Si la nation ne se débarrasse pas en priorité de ce parasite mortel qu’est devenu l’État, elle n’a aucune chance de remonter la pente.
Rester au contact des populations locales ne peut que contribuer à réduire le sentiment antifrançais, tant décrié, qui se développe en Afrique.
Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.
Les écologistes en rêvaient, le covid-19 l’a fait !
Une remise en question personnelle qui s’impose à nous individuellement bien avant de vouloir changer le monde.
Pour ma part, tant que cette question de la maternité ne sera pas prise en compte dans la carrière des femmes, je continuerai à dire à mes collègues féministes qu’elles se sont acheté un concept d’égalité en solde pour une bataille irréelle.
En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?
Cette politique de Gribouille aura deux conséquences désastreuses : la mise en sommeil de notre économie et celle de nos libertés.
Avec le virus chinois, l’Histoire se rappelle à notre fragile condition et réitère un enseignement déjà contenu dans les textes antiques, mais se dérobant régulièrement à notre ingrate mémoire : le sens tragique de l’existence.
Tragédie humaine oblige, c’est d’abord « la guerre de chacun contre chacun » qui a été tacitement déclarée.
Signe des temps ou des cieux, cette pandémie nous offre aussi une métaphore éclairante et une chance inédite, certes forcée mais pourquoi pas consentie, de nous libérer des formes d’assuétude de « la vie moderne », aliénante.
Une dizaine de jours plus tard, les services d’urgence et de réanimation de Seine-Saint-Denis se retrouvent surchargés et « il n’y a plus une seule place de réanimation dans le 93 », titre Le Monde, ce 26 mars.
Adossé au mur des réalités, le pouvoir redécouvre que sans constituer, évidemment, la panacée universelle, la frontière demeure fondamentalement au nombre des « gestes barrières » primordiaux du politique.
Au-delà de l’imprévoyance, de l’incompétence, de l’amateurisme de ce pouvoir, c’est bien ce ministère de la Parole qui est le plus insupportable.
Le masque est la vérité politique moderne.
Quelle leçon tirer du civisme constaté en Asie qui nous semble si étranger ? Qu’il faut réhabiliter au plus vite la notion de bien commun…
La France, grande puissance, pays riche, menait une lutte médiévale destinée à ralentir la propagation…
L’affirmer ne sert qu’à nous glorifier à peu de frais et à donner une allure de chefs de guerre à nos chefs d’État.
Il y a vraiment quelque chose d’inquiétant dans cet acharnement des pouvoirs publics à vouloir cloîtrer la population chez elle.
Lundi, la France commémorait le sacrifice d’Arnaud Beltrame lors de l’attaque terroriste de Trèbes. Ce mardi matin, on apprenait qu’en Italie, un prêtre malade du
Devant son impuissance, Peppone a donc franchi la porte de l’église pour demander de l’aide à Don Camillo !
Le Français a désappris à se défendre quelle que soit la menace : cela s’appelle la décadence.
La crise sanitaire signe la mort de la mondialisation, valeur dominante d’une élite qui, toutes tendances confondues, reste obnubilée par un marché sans limite, sans frontière où, là encore, l’objet prévaut sur le sujet, le matériel sur le spirituel.
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