Réflexions
C’est davantage dans l’approche de la maladie, voire de la mort, que les Orientaux et les Occidentaux se séparent…
Les citoyens sont invités à se sevrer d’un État faussement providentiel envahissant ; les entreprises, à sortir des jupons institutionnels.
La mort pandémique est le symbole de la fin de l’optimisme propre au progressisme moderne.
Le gouvernement a le devoir absolu de protéger la santé, mais aussi la sécurité des Français, et, pour une fois, d’anticiper ce que beaucoup voient venir à grands pas.
Ceux qui marchaient vers un avenir radieux se sentent fiévreux et affaiblis, affaiblis dans leurs certitudes et dans leur arrogance.
Chez nous, dans ma cambrousse francilienne, notre maire a bien écrit dans son bulletin municipal, après les attentats de 2015, que « la lutte contre le barbarisme » était désormais sa priorité.
Il était criminel de maintenir le premier tour de scrutin des élections municipales, il était incivique de ne pas s’y rendre.
Dans une situation d’enfermement forcé, il n’est pas inutile de se reposer sur le ciment de l’identité culturelle du Vieux Continent : la philosophie.
Le traitement économique de la crise du coronavirus constituera un basculement de la mentalité des Français de la même ampleur que la mise en place
Effectivement, comme le dit Macron, « l’ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse », comme on le dit d’un cancer qui progresse. C’est peut-être, justement, l’idéologie du progrès incontrôlé par un État autoproclamé providentiel qui est en cause ?
Le Président Macron a cru devoir utiliser la crainte légitime du virus pour se poser en « père du peuple » face à la catastrophe qui menace.
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Puisqu’en partant de l’hypothèse selon laquelle la chauve-souris n’est pas étrangère à cette affaire, on peut imaginer que ce monde globalisé risque de produire des vampires standardisés…
Comment ne pas mesurer la fragilité de tout ce château de cartes que constitue notre double aliénation productivité/consommation ?
Quel retour ! Celui de l’ordre moral !
Les « illibéraux » d’Europe centrale considèrent, à juste titre, que la démocratie, qui est leur modèle, est menacée par le juridisme libéral, tout comme l’est la nation elle-même…
Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.
Le retour aux racines s’impose.
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
Vous ne pesez pas un pet de lapin face à cette arrogance, ce mépris, cette insolence que l’on nous sert jusqu’à la nausée.
Loin de regretter le passé, la journaliste nous invite à puiser en lui ce savoir-être dont nous sommes héritiers pour y trouver la source d’une nouvelle espérance française.
Sacrée Caroline, qui confond zones de non-droit et La Petite Maison dans la prairie…
Poudre aux yeux, poudre de perlimpinpin et poudre d’escampette sont la nouvelle ligne de blanche du peuple.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Bref, nous voilà confrontés à un bel imbroglio…
En attente de son procès depuis deux ans, Lise est accusée d’avoir assassiné sa meilleure amie de lycée…
Tant qu’il y a matière à déconstruire, tant que les fondements culturels de la société dite patriarcale ne sont pas un champ de ruine…
C’est davantage dans l’approche de la maladie, voire de la mort, que les Orientaux et les Occidentaux se séparent…
Les citoyens sont invités à se sevrer d’un État faussement providentiel envahissant ; les entreprises, à sortir des jupons institutionnels.
La mort pandémique est le symbole de la fin de l’optimisme propre au progressisme moderne.
Le gouvernement a le devoir absolu de protéger la santé, mais aussi la sécurité des Français, et, pour une fois, d’anticiper ce que beaucoup voient venir à grands pas.
Ceux qui marchaient vers un avenir radieux se sentent fiévreux et affaiblis, affaiblis dans leurs certitudes et dans leur arrogance.
Chez nous, dans ma cambrousse francilienne, notre maire a bien écrit dans son bulletin municipal, après les attentats de 2015, que « la lutte contre le barbarisme » était désormais sa priorité.
Il était criminel de maintenir le premier tour de scrutin des élections municipales, il était incivique de ne pas s’y rendre.
Dans une situation d’enfermement forcé, il n’est pas inutile de se reposer sur le ciment de l’identité culturelle du Vieux Continent : la philosophie.
Le traitement économique de la crise du coronavirus constituera un basculement de la mentalité des Français de la même ampleur que la mise en place
Effectivement, comme le dit Macron, « l’ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse », comme on le dit d’un cancer qui progresse. C’est peut-être, justement, l’idéologie du progrès incontrôlé par un État autoproclamé providentiel qui est en cause ?
Le Président Macron a cru devoir utiliser la crainte légitime du virus pour se poser en « père du peuple » face à la catastrophe qui menace.
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Puisqu’en partant de l’hypothèse selon laquelle la chauve-souris n’est pas étrangère à cette affaire, on peut imaginer que ce monde globalisé risque de produire des vampires standardisés…
Comment ne pas mesurer la fragilité de tout ce château de cartes que constitue notre double aliénation productivité/consommation ?
Quel retour ! Celui de l’ordre moral !
Les « illibéraux » d’Europe centrale considèrent, à juste titre, que la démocratie, qui est leur modèle, est menacée par le juridisme libéral, tout comme l’est la nation elle-même…
Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.
Le retour aux racines s’impose.
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
Vous ne pesez pas un pet de lapin face à cette arrogance, ce mépris, cette insolence que l’on nous sert jusqu’à la nausée.
Loin de regretter le passé, la journaliste nous invite à puiser en lui ce savoir-être dont nous sommes héritiers pour y trouver la source d’une nouvelle espérance française.
Sacrée Caroline, qui confond zones de non-droit et La Petite Maison dans la prairie…
Poudre aux yeux, poudre de perlimpinpin et poudre d’escampette sont la nouvelle ligne de blanche du peuple.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Bref, nous voilà confrontés à un bel imbroglio…
En attente de son procès depuis deux ans, Lise est accusée d’avoir assassiné sa meilleure amie de lycée…
Tant qu’il y a matière à déconstruire, tant que les fondements culturels de la société dite patriarcale ne sont pas un champ de ruine…
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées