Réflexions
La médecine, un simple service marchand ? C’est dommage d’en arriver là.
Pour qui ne dispose pas de solides repères psychologiques, affectifs et moraux, le risque est grave de se perdre dans ce cul-de-sac.
Que chacun se nourrisse comme il l’entend, mais qu’on n’exige pas de l’État qu’il institue la perfusion alimentaire comme mode de nutrition naturel.
La liberté fait peur aux progressistes comme aux conservateurs, aux collectivistes comme aux individualistes.
Il arrive aussi qu’on se pique de citer Antonio Gramsci et cela vous pose un intellectuel…
Dans L’Illusion comique, on ne sait si Corneille aurait choisi Macron pour jouer Alcandre le magicien ou le Matamore amoureux.
Au rythme acharné du chantier d’effacement mémoriel sélectif, on ne saura bientôt même plus d’où on vient, ce qui rendra caduque la question de savoir où l’on va.
C’est en s’appropriant la notion de sacré que le concept inspiré « d’État-providence » fait florès depuis le XIXe siècle.
Pris de vertige progressiste sans programme, tantôt ils réfléchissent, tantôt ils parlent ; le problème est qu’ils ne le font jamais au même moment…
Les épisodes honteux dont Alain Finkielkraut a été victime et qui m’ont indigné – je n’étais pas le seul – rendent difficile un regard critique sur lui, ses propos et ses analyses.
Ainsi, derrière l’enthousiasme que suscite la conquête de Mars, ne demeure-t-il pas une logique de la fuite en avant ?
Durant mes quarante années de magistrature, à l’évidence, sans vraiment le vouloir, j’ai cultivé l’art de déplaire et force est de considérer que je n’ai pas trop mal réussi sur ce plan.
L’expression populaire « Faites comme chez vous », déjà hasardeuse entre amis, devient problématique quand il s’agit d’accueillir des immigrés de tous horizons et cultures.
Décapant. Surtout venant d’un homme qui prônait, naguère, cette même alliance pour, aujourd’hui, l’enterrer, mort-née ; tel un père fondateur changé en fossoyeur.
Une confusion malsaine règne autour de la notion de tolérance.
Brandir à l’Arc de Triomphe – haut lieu de la nation française – des drapeaux algériens est un acte politique grave qui interpelle et révolte la très grande majorité des Français !
Quoi de nouveau sous le soleil ? Si : on dirait que la France a oublié cette haute ambition.
Il est vrai que c’est le propre de l’homme que de demander la Lune…
Ces rigolos pas rigolos sont les idiots utiles du capitalisme parasitaire mondial qu’ils disent combattre !
La civilisation européenne, dont nous sommes, a toujours considéré que l’essentiel de la vie résidait dans la profondeur de la pensée, alliée au cœur.
Là est le danger : dans l’immédiateté de la réaction. Se laisser submerger par l’émotion, étouffant toute pensée rationnelle.
Passée de 1 milliard d’individus à 7 milliards en 1 siècle (1910/2010), l’humanité ne doit elle pas, pour la première fois de son histoire, se poser la question de la limitation de cette croissance ?
Le ministre de l’Éducation nationale vient d’annoncer un élargissement du cercle des auteurs enseignés en classe de philosophie.
C’est une grande victoire sur l’adversité, nous dit-on : pour la première fois, une « marche des fiertés » (Gay Pride, en français vernaculaire) s’est
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Serres était, à l’évidence, un optimiste impénitent.
En réalité le progressisme est une méthode et le nationalisme un constat et/ou une conviction.
Adishatz, Pierre, adieu, comme on dit ici…
La médecine, un simple service marchand ? C’est dommage d’en arriver là.
Pour qui ne dispose pas de solides repères psychologiques, affectifs et moraux, le risque est grave de se perdre dans ce cul-de-sac.
Que chacun se nourrisse comme il l’entend, mais qu’on n’exige pas de l’État qu’il institue la perfusion alimentaire comme mode de nutrition naturel.
La liberté fait peur aux progressistes comme aux conservateurs, aux collectivistes comme aux individualistes.
Il arrive aussi qu’on se pique de citer Antonio Gramsci et cela vous pose un intellectuel…
Dans L’Illusion comique, on ne sait si Corneille aurait choisi Macron pour jouer Alcandre le magicien ou le Matamore amoureux.
Au rythme acharné du chantier d’effacement mémoriel sélectif, on ne saura bientôt même plus d’où on vient, ce qui rendra caduque la question de savoir où l’on va.
C’est en s’appropriant la notion de sacré que le concept inspiré « d’État-providence » fait florès depuis le XIXe siècle.
Pris de vertige progressiste sans programme, tantôt ils réfléchissent, tantôt ils parlent ; le problème est qu’ils ne le font jamais au même moment…
Les épisodes honteux dont Alain Finkielkraut a été victime et qui m’ont indigné – je n’étais pas le seul – rendent difficile un regard critique sur lui, ses propos et ses analyses.
Ainsi, derrière l’enthousiasme que suscite la conquête de Mars, ne demeure-t-il pas une logique de la fuite en avant ?
Durant mes quarante années de magistrature, à l’évidence, sans vraiment le vouloir, j’ai cultivé l’art de déplaire et force est de considérer que je n’ai pas trop mal réussi sur ce plan.
L’expression populaire « Faites comme chez vous », déjà hasardeuse entre amis, devient problématique quand il s’agit d’accueillir des immigrés de tous horizons et cultures.
Décapant. Surtout venant d’un homme qui prônait, naguère, cette même alliance pour, aujourd’hui, l’enterrer, mort-née ; tel un père fondateur changé en fossoyeur.
Une confusion malsaine règne autour de la notion de tolérance.
Brandir à l’Arc de Triomphe – haut lieu de la nation française – des drapeaux algériens est un acte politique grave qui interpelle et révolte la très grande majorité des Français !
Quoi de nouveau sous le soleil ? Si : on dirait que la France a oublié cette haute ambition.
Il est vrai que c’est le propre de l’homme que de demander la Lune…
Ces rigolos pas rigolos sont les idiots utiles du capitalisme parasitaire mondial qu’ils disent combattre !
La civilisation européenne, dont nous sommes, a toujours considéré que l’essentiel de la vie résidait dans la profondeur de la pensée, alliée au cœur.
Là est le danger : dans l’immédiateté de la réaction. Se laisser submerger par l’émotion, étouffant toute pensée rationnelle.
Passée de 1 milliard d’individus à 7 milliards en 1 siècle (1910/2010), l’humanité ne doit elle pas, pour la première fois de son histoire, se poser la question de la limitation de cette croissance ?
Le ministre de l’Éducation nationale vient d’annoncer un élargissement du cercle des auteurs enseignés en classe de philosophie.
C’est une grande victoire sur l’adversité, nous dit-on : pour la première fois, une « marche des fiertés » (Gay Pride, en français vernaculaire) s’est
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Serres était, à l’évidence, un optimiste impénitent.
En réalité le progressisme est une méthode et le nationalisme un constat et/ou une conviction.
Adishatz, Pierre, adieu, comme on dit ici…
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