Santé et Politique
En cherchant bien, on peut apprendre quelques cas rares détectés dans ces lointains territoires, ce qui laisserait supposer que les mouvements d’entrée et sortie de personnes y sont rares…
Dire qu’on en a trop, et trop mal, fait – surtout en France –, au prix d’une casse économique qu’on pressent dramatique, est une idée défendable.
Une panique de cette nature était-elle pensable, il y a cinquante ans ?
Au micro de Boulevard Voltaire, le docteur Bertrand Legrand témoigne de son quotidien de médecin libéral, ayant parmi ses patients des cas de Covid-19. Il
À l’heure où l’on s’inquiète de l’avenir de la planète et de la biodiversité, voilà une belle façon de gâcher du papier et donc des arbres.
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Dupont-Aignan réagit à l’intervention d’Édouard Philippe annonçant les modalités du plan de déconfinement, qui débutera le 11 mai prochain.
Difficile de savoir qui est le plus responsable, de l’administration ou de nos gouvernants. Mais quelle est la légitimité de politiques qui ne savent ni anticiper les besoins ni vérifier ce que fait leur administration ?
Hélas, ces monolithes pesants handicapent plus qu’ils n’aident. On attendait de la flexibilité et de la hauteur, on se retrouve avec un bloc de béton non armé.
Discrète dans sa vie, il était écrit qu’elle demeurerait discrète jusque dans sa mort.
Reprenons nos vies en main !
Un pays dont les citoyens sont susceptibles d’être suivis à la trace par une puce électronique ou sommés de rendre compte de leur emploi du temps, un tel pays est-il encore une démocratie ?
Ce n’est pas exactement ainsi qu’on se forge un peuple de samouraïs.
C’est quoi, ce foutoir ?
Le retour de frontières nationales semble inéluctable.
Le sénateur Sébastien Meurant donne un entretien très complet à Boulevard Voltaire : gestion de la crise par le gouvernement et sa succession de mensonges,
Nous avons eu droit à ce que nous avons tous plus ou moins mal vécu : les nouvelles sensationnelles, les débats entre « spécialistes » le plus souvent incultes sur les plateaux télévisés de certains médias, les directives diverses et variées de nos pauvres politiciens…
C’est fou, quand on tire le fil, le nombre de libertés assez superflues.
Une majorité d’entre nous, compte tenu de la gestion catastrophique de cette crise sanitaire, n’est certainement pas prête à revivre un épisode aussi délirant.
Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…
Une seule certitude : ce qui a été déjà accordé est acquis et ne sera pas utilisé pour sa finalité, ni jamais remboursé.
Rappelons qu’en France, et depuis longtemps, tabac et alcool sont responsables, quotidiennement, de plus de 300 décès ; un chiffre de l’ordre de grandeur de la létalité du Covid-19 en sa phase aiguë.
Et un grand nombre de faillites, dans l’hôtellerie, la restauration, le commerce de proximité, l’artisanat, va faire exploser le niveau du chômage en France…
Comment de tels stocks ont-ils pu être constitués en période de réquisition sans que les services de l’État en aient été informés ?
La spiritualité, là est le danger pour un monde de consommation, de distractions, de réseaux sociaux, où l’enseignement s’effondre et où l’on compte là-dessus pour tenir les masses.
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a partagé ce jeudi sur Twitter le lien d’un site dédié à la lutte contre les fausses informations (les fake news).
C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
En cherchant bien, on peut apprendre quelques cas rares détectés dans ces lointains territoires, ce qui laisserait supposer que les mouvements d’entrée et sortie de personnes y sont rares…
Dire qu’on en a trop, et trop mal, fait – surtout en France –, au prix d’une casse économique qu’on pressent dramatique, est une idée défendable.
Une panique de cette nature était-elle pensable, il y a cinquante ans ?
Au micro de Boulevard Voltaire, le docteur Bertrand Legrand témoigne de son quotidien de médecin libéral, ayant parmi ses patients des cas de Covid-19. Il
À l’heure où l’on s’inquiète de l’avenir de la planète et de la biodiversité, voilà une belle façon de gâcher du papier et donc des arbres.
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Dupont-Aignan réagit à l’intervention d’Édouard Philippe annonçant les modalités du plan de déconfinement, qui débutera le 11 mai prochain.
Difficile de savoir qui est le plus responsable, de l’administration ou de nos gouvernants. Mais quelle est la légitimité de politiques qui ne savent ni anticiper les besoins ni vérifier ce que fait leur administration ?
Hélas, ces monolithes pesants handicapent plus qu’ils n’aident. On attendait de la flexibilité et de la hauteur, on se retrouve avec un bloc de béton non armé.
Discrète dans sa vie, il était écrit qu’elle demeurerait discrète jusque dans sa mort.
Reprenons nos vies en main !
Un pays dont les citoyens sont susceptibles d’être suivis à la trace par une puce électronique ou sommés de rendre compte de leur emploi du temps, un tel pays est-il encore une démocratie ?
Ce n’est pas exactement ainsi qu’on se forge un peuple de samouraïs.
C’est quoi, ce foutoir ?
Le retour de frontières nationales semble inéluctable.
Le sénateur Sébastien Meurant donne un entretien très complet à Boulevard Voltaire : gestion de la crise par le gouvernement et sa succession de mensonges,
Nous avons eu droit à ce que nous avons tous plus ou moins mal vécu : les nouvelles sensationnelles, les débats entre « spécialistes » le plus souvent incultes sur les plateaux télévisés de certains médias, les directives diverses et variées de nos pauvres politiciens…
C’est fou, quand on tire le fil, le nombre de libertés assez superflues.
Une majorité d’entre nous, compte tenu de la gestion catastrophique de cette crise sanitaire, n’est certainement pas prête à revivre un épisode aussi délirant.
Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…
Une seule certitude : ce qui a été déjà accordé est acquis et ne sera pas utilisé pour sa finalité, ni jamais remboursé.
Rappelons qu’en France, et depuis longtemps, tabac et alcool sont responsables, quotidiennement, de plus de 300 décès ; un chiffre de l’ordre de grandeur de la létalité du Covid-19 en sa phase aiguë.
Et un grand nombre de faillites, dans l’hôtellerie, la restauration, le commerce de proximité, l’artisanat, va faire exploser le niveau du chômage en France…
Comment de tels stocks ont-ils pu être constitués en période de réquisition sans que les services de l’État en aient été informés ?
La spiritualité, là est le danger pour un monde de consommation, de distractions, de réseaux sociaux, où l’enseignement s’effondre et où l’on compte là-dessus pour tenir les masses.
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a partagé ce jeudi sur Twitter le lien d’un site dédié à la lutte contre les fausses informations (les fake news).
C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
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