Santé et Politique
Une bonne surprise est toujours possible, mais on peut craindre que ces raouts prôneront, entre autres, des mesures aussi peu sympathiques que liberticides…
La HAS va mener une concertation publique d’un mois avant de donner sa réponse définitive fin mars.
Selon le rapport médical publié par son médecin le 16 février, il est « apte » et même « vigoureux ».
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin
Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.
Certaines économies auraient pu être réalisées si notre société n’avait pas cédé à toutes les sirènes libertaires et sociétales…
La Haute Autorité de Santé (HAS) s’apprête à formuler de nouvelles recommandations vaccinales.
Il arrive que l’interminable attente dans les couloirs des urgences vire au drame.
Différentes enquêtes ont montré que 6 à 10 % des patients ne se présentent pas à leur rendez-vous médical.
En 2020, 2.446 signalements de tension d’approvisionnement ont été rapportés à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), alors qu’on en dénombrait moins de 600 trois ans plus tôt .
Comme le laissait présager la présence du logo sur la présentation, le cours dispensé s’apparente alors davantage à un colloque militant qu’à une formation scientifique.
Une colère qui s’ajoute à l’embrasement général qui semble monter dans le pays, avant le retour des gilets jaunes prévu ce samedi.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
L’ARS (agence régionale de santé) de Nouvelle-Aquitaine, à propos de la fermeture de services d’urgence en Dordogne, a répondu : « Ce n’est pas la situation habituelle mais peut-être la situation de l’avenir. »
Pour la deuxième fois depuis le début du mois de décembre, les médecins généralistes libéraux sont appelés à fermer leurs cabinets à partir du lundi 26 décembre et jusqu’au 2 janvier.
Ce chapitre à visée sanitaire de la loi sur l’immigration que le gouvernement va soumettre au Parlement en 2023 ne doit pas masquer les vrais problèmes liés à l’immigration qui ne semblent pas devoir être résolus de manière durable par ce énième texte.
En réalité, l’immigration a déjà un poids colossal dans les effectifs de santé en France.
Il faut espérer qu’on pourra effectuer des études sérieuses pour éviter (si possible) ces erreurs lors d’une prochaine épidémie.
On peut se demander pourquoi, depuis quelques semaines, les pharmaciens ont du mal à remplir leurs étagères.
Un tiers de communication, un bon tiers de contre-vérités, un gros tiers d’autosatisfaction et un petit tiers de mesurettes. Oui, ça fait quatre tiers…
Si ça, ce n’est pas de la prévoyance… Alors, on dit merci qui ?
« Ils ne veulent pas nous réintégrer pour ne pas perdre la face », affirme-t-on du côté des soignants suspendus.
Rassure-toi, pauvre malade, tout-est-prévu ! Tu seras prévenu trois jours avant.
En réalité, l’enjeu que représente la réintégration des soignants est uniquement politique.
Cette question sera débattue le 24 novembre lors d’une discussion en séance publique à l’Assemblée nationale. Peut-on s’attendre à un nouveau rebondissement ?
François Braun a ajouté que ce n’était « pas avec la réintégration des soignants qu’on résoudra[it] les problèmes de l’hôpital ».
Dans le cas du vaccin contre le Covid, dont on ne connaissait pas les effets secondaires lors de sa mise sur le marché, on peut se demander si la politique sanitaire pour lutter contre ce virus fut un choix très judicieux.
Ce plan d’action permettra peut-être de calmer (un peu) la grogne des soignants, mais ne résoudra pas les problèmes de fond…
Une bonne surprise est toujours possible, mais on peut craindre que ces raouts prôneront, entre autres, des mesures aussi peu sympathiques que liberticides…
La HAS va mener une concertation publique d’un mois avant de donner sa réponse définitive fin mars.
Selon le rapport médical publié par son médecin le 16 février, il est « apte » et même « vigoureux ».
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin
Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.
Certaines économies auraient pu être réalisées si notre société n’avait pas cédé à toutes les sirènes libertaires et sociétales…
La Haute Autorité de Santé (HAS) s’apprête à formuler de nouvelles recommandations vaccinales.
Il arrive que l’interminable attente dans les couloirs des urgences vire au drame.
Différentes enquêtes ont montré que 6 à 10 % des patients ne se présentent pas à leur rendez-vous médical.
En 2020, 2.446 signalements de tension d’approvisionnement ont été rapportés à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), alors qu’on en dénombrait moins de 600 trois ans plus tôt .
Comme le laissait présager la présence du logo sur la présentation, le cours dispensé s’apparente alors davantage à un colloque militant qu’à une formation scientifique.
Une colère qui s’ajoute à l’embrasement général qui semble monter dans le pays, avant le retour des gilets jaunes prévu ce samedi.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
L’ARS (agence régionale de santé) de Nouvelle-Aquitaine, à propos de la fermeture de services d’urgence en Dordogne, a répondu : « Ce n’est pas la situation habituelle mais peut-être la situation de l’avenir. »
Pour la deuxième fois depuis le début du mois de décembre, les médecins généralistes libéraux sont appelés à fermer leurs cabinets à partir du lundi 26 décembre et jusqu’au 2 janvier.
Ce chapitre à visée sanitaire de la loi sur l’immigration que le gouvernement va soumettre au Parlement en 2023 ne doit pas masquer les vrais problèmes liés à l’immigration qui ne semblent pas devoir être résolus de manière durable par ce énième texte.
En réalité, l’immigration a déjà un poids colossal dans les effectifs de santé en France.
Il faut espérer qu’on pourra effectuer des études sérieuses pour éviter (si possible) ces erreurs lors d’une prochaine épidémie.
On peut se demander pourquoi, depuis quelques semaines, les pharmaciens ont du mal à remplir leurs étagères.
Un tiers de communication, un bon tiers de contre-vérités, un gros tiers d’autosatisfaction et un petit tiers de mesurettes. Oui, ça fait quatre tiers…
Si ça, ce n’est pas de la prévoyance… Alors, on dit merci qui ?
« Ils ne veulent pas nous réintégrer pour ne pas perdre la face », affirme-t-on du côté des soignants suspendus.
Rassure-toi, pauvre malade, tout-est-prévu ! Tu seras prévenu trois jours avant.
En réalité, l’enjeu que représente la réintégration des soignants est uniquement politique.
Cette question sera débattue le 24 novembre lors d’une discussion en séance publique à l’Assemblée nationale. Peut-on s’attendre à un nouveau rebondissement ?
François Braun a ajouté que ce n’était « pas avec la réintégration des soignants qu’on résoudra[it] les problèmes de l’hôpital ».
Dans le cas du vaccin contre le Covid, dont on ne connaissait pas les effets secondaires lors de sa mise sur le marché, on peut se demander si la politique sanitaire pour lutter contre ce virus fut un choix très judicieux.
Ce plan d’action permettra peut-être de calmer (un peu) la grogne des soignants, mais ne résoudra pas les problèmes de fond…
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