Santé et Politique
Emmanuel Macron vient de s’exprimer lors d’une allocution télévisée sur le coronavirus. Plusieurs mesures ont été annoncées : maintien des élections municipales, fermetures des établissements
Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.
La totalité du territoire italien a été mise en quarantaine pour lutter contre l’expansion de l’épidémie de coronavirus. Témoignage d’Arthur Herlin, qui vit et travaille
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Un tour d’horizon passionnant avec Charles Gave sur la crise économique, du coronavirus au krach boursier, en passant par l’euro, la Chine, usine du monde,
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Faute de mesures et faute de la moindre anticipation, c’est donc la panique qui s’installe sur tout le territoire.
Le premier cas avéré vient d’être signalé à Abidjan, capitale de la Côte d’Ivoire, carrefour africain et international important…
La gestion mal maîtrisée de la crise sanitaire comme de la communication gouvernementale a créé la panique…
Frank Riester connaît, aujourd’hui, sa semaine de gloire.
La contamination guettait, il fallait fournir un parachute à l’éructant et lui montrer la porte.
Boulevard Voltaire a retrouvé l’empêcheur de tourner en rond…
Nous vivons actuellement la même hystérie médiatique que celle qui a entouré l’épidémie de grippe H1N1, il y a dix ans.
Ce virus n’est-il pas une des armes utiles de dame Nature pour défendre notre planète malade et remettre l’homme à sa place ?
Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?
Faut-il donc s’attendre, en France, à son extension à grande échelle ?
Donc, le masque chirurgical, qui ne protégeait soi-disant pas les individus en bonne santé, est officiellement devenu protecteur.
Présentoirs dévalisés, rayons dévastés.
Le chef de l’État bouleverse son agenda pour « se consacrer sur la gestion de la crise » du coronavirus : il va, enfin, faire l’unanimité autour de sa personne !
On ne sait plus trop où donner de la respiration !
Subitement, l’homme retrouve sa simple condition de mortel, sa vulnérabilité face à la nature.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
La source miraculeuse de la grotte qui a guéri 70 personnes incurables est soudain devenue, par décision épiscopale, un dangereux réservoir à coronavirus SARS-CoV-2 qu’il fallait à tout prix fermer.
Les hôpitaux manquent de l’indispensable, infirmiers et solution hydroalcoolique, par exemple.
Ma confiance dans les « autorités » remonte ce matin. Je viens en effet d’entendre qu’Emmanuel Macron a dit qu’on n’en a pas fini avec le coronavirus.
L’épidémie de niaiserie n’en finit donc plus de causer les ravages qu’on sait. Et il n’y a pas de vaccin contre ça.
Mardi soir, c’était une nouvelle soirée de mobilisation pour les anti-PMA qui se sont retrouvés, une nouvelle fois, à quelques mètres seulement de l’Élysée pour
Emmanuel Macron vient de s’exprimer lors d’une allocution télévisée sur le coronavirus. Plusieurs mesures ont été annoncées : maintien des élections municipales, fermetures des établissements
Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.
La totalité du territoire italien a été mise en quarantaine pour lutter contre l’expansion de l’épidémie de coronavirus. Témoignage d’Arthur Herlin, qui vit et travaille
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Un tour d’horizon passionnant avec Charles Gave sur la crise économique, du coronavirus au krach boursier, en passant par l’euro, la Chine, usine du monde,
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Faute de mesures et faute de la moindre anticipation, c’est donc la panique qui s’installe sur tout le territoire.
Le premier cas avéré vient d’être signalé à Abidjan, capitale de la Côte d’Ivoire, carrefour africain et international important…
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Ce virus n’est-il pas une des armes utiles de dame Nature pour défendre notre planète malade et remettre l’homme à sa place ?
Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?
Faut-il donc s’attendre, en France, à son extension à grande échelle ?
Donc, le masque chirurgical, qui ne protégeait soi-disant pas les individus en bonne santé, est officiellement devenu protecteur.
Présentoirs dévalisés, rayons dévastés.
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On ne sait plus trop où donner de la respiration !
Subitement, l’homme retrouve sa simple condition de mortel, sa vulnérabilité face à la nature.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
La source miraculeuse de la grotte qui a guéri 70 personnes incurables est soudain devenue, par décision épiscopale, un dangereux réservoir à coronavirus SARS-CoV-2 qu’il fallait à tout prix fermer.
Les hôpitaux manquent de l’indispensable, infirmiers et solution hydroalcoolique, par exemple.
Ma confiance dans les « autorités » remonte ce matin. Je viens en effet d’entendre qu’Emmanuel Macron a dit qu’on n’en a pas fini avec le coronavirus.
L’épidémie de niaiserie n’en finit donc plus de causer les ravages qu’on sait. Et il n’y a pas de vaccin contre ça.
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