Santé et Politique
L’état de santé de la famille se veut rassurant, ont ajouté les autorités sanitaires.

Le 29 juillet, le NHS (National Health Service), système de santé anglais, a annoncé la fermeture de son unique centre de prise en charge des enfants « en questionnement de genre », le Tavistock Centre.

Aujourd’hui, nous avons 67 millions d’habitants et on a 75,3 millions d’assurés sociaux. On a donc plus de 8 millions de personnes prises en charge en plus du nombre de personnes vivant sur le territoire français. Le problème est là et pas ailleurs.

En désespoir de cause, les parents se sont tournés vers la Cour européenne des droits de l’homme, quelques heures avant l’arrêt. La CEDH a jugé, ce mercredi soir, leur requête irrecevable.

On n’en sait pas encore grand-chose, mais un procureur en procès d’intention et expert en mauvaise foi pourrait s’autoriser un premier décryptage des éléments dont on dispose.

Que pensent aujourd’hui ces familles, qui ont souffert dans leur chair et leur âme des décisions gouvernementales, des regrets du professeur Delfraissy ?

Comment ne pas voir dans cet avis lapidaire une validation politique a posteriori ?
Le fameux Conseil scientifique laisse place à un comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires…

Si les déserts médicaux reviennent dans les médias avec régularité, d’autre professions de santé connaissent la même désaffection, surtout dans le monde hospitalier.

Cette maladie zoonotique qui peut être transmise à l’homme a débarqué en Europe au mois de mai 2022 chez des personnes qui n’avaient pas séjourné en Afrique ; la maladie s’est donc transmise entre êtres humains. Pour l’instant, les principaux concernés sont les hommes homosexuels.
Une demande déjà formulée l’été précédent, les élus évoquant un « déclin mental » corroboré par une série d’oublis et de bourdes.

À partir du 1er août, confinements, couvre-feux, obligations du port du masque, passes sanitaires ne seront plus qu’un lointain et mauvais souvenir.

Le débat sur la réintégration des soignants non vaccinés continue de diviser la classe politique. De nombreux députés des oppositions allant de LFI au RN

Pour ses trois premiers avis, le Conseil scientifique ignorait tout de la pénurie de masques !

Il est encore trop tôt pour savoir si la vaccination forcée contre le coronavirus avec un vaccin relativement peu efficace, et à la durée d’action très limitée (sans parler des effets secondaires encore très mal connus), ne va pas porter un coup supplémentaire à la défiance vis-à-vis des vaccins.

Vu d’Afrique, l’ignorance des réalités locales et l’arrogance, perçues comme telles, sont choquantes,

La France dans sa générosité, ou plus exactement celle des Français assujettis à l’impôt, a mis en place une procédure spéciale d’admissions aux titres de séjour pour soins médicaux.

Dans certaines régions accueillant les estivants, l’équation entre le manque de soignants et l’augmentation des vacanciers s’annonce difficile à résoudre. Il ne faudra pas tomber malade.

La France subit actuellement la 7e vague de Covid. Le 1er juillet, Santé publique France indiquait que « la circulation du SARS-CoV-2 s’est intensifiée sur

Une réécriture en rose. Cela doit être la consigne du moment : positive attitude. Encore une conséquence de cette majorité relative, peut-être…

Cette fois l’exécutif est inquiété par la justice pour la gestion calamiteuse des premiers mois de la pandémie.

Il faut dire que la situation n’est pas bonne pour le futur ex-ministre de la Santé.

Le passe sanitaire aurait de fortes chances d’être rendu obligatoire si la situation sanitaire venait à s’aggraver.
À l’heure où l’épidémie de Covid-19 semble reprendre de l’avant, ce vote présagerait-il un retour à une obligation vaccinale dans les pays européens ?

Il est donc légitime de penser que, sur ce sujet, plusieurs groupes parlementaires pourraient s’entendre lors d’un vote commun, s’unissant pour contrer le passe vaccinal.

La Direction générale de l’offre de soins (DGOS), une entité du ministère de la Santé, s’apprête à faire la fête, le 23 juin prochain. Une petite sauterie gentiment arrosée, la cérémonie des « DGOScars ».

L’hôpital va mal, et même très mal. Comme dans beaucoup de domaines, nous vivions jusque-là sur l’acquis et, maintenant que les coefficients de marées se sont modifiés, nous découvrons avec stupeur l’étendue du désastre.
La situation est en effet dramatique : le personnel est à bout, comme en témoigne cette étude menée par l’Ordre auprès de 60.000 infirmiers, début janvier, et les cas dramatiques survenus faute de prise en charge sont légion.
L’état de santé de la famille se veut rassurant, ont ajouté les autorités sanitaires.

Le 29 juillet, le NHS (National Health Service), système de santé anglais, a annoncé la fermeture de son unique centre de prise en charge des enfants « en questionnement de genre », le Tavistock Centre.

Aujourd’hui, nous avons 67 millions d’habitants et on a 75,3 millions d’assurés sociaux. On a donc plus de 8 millions de personnes prises en charge en plus du nombre de personnes vivant sur le territoire français. Le problème est là et pas ailleurs.

En désespoir de cause, les parents se sont tournés vers la Cour européenne des droits de l’homme, quelques heures avant l’arrêt. La CEDH a jugé, ce mercredi soir, leur requête irrecevable.

On n’en sait pas encore grand-chose, mais un procureur en procès d’intention et expert en mauvaise foi pourrait s’autoriser un premier décryptage des éléments dont on dispose.

Que pensent aujourd’hui ces familles, qui ont souffert dans leur chair et leur âme des décisions gouvernementales, des regrets du professeur Delfraissy ?

Comment ne pas voir dans cet avis lapidaire une validation politique a posteriori ?
Le fameux Conseil scientifique laisse place à un comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires…

Si les déserts médicaux reviennent dans les médias avec régularité, d’autre professions de santé connaissent la même désaffection, surtout dans le monde hospitalier.

Cette maladie zoonotique qui peut être transmise à l’homme a débarqué en Europe au mois de mai 2022 chez des personnes qui n’avaient pas séjourné en Afrique ; la maladie s’est donc transmise entre êtres humains. Pour l’instant, les principaux concernés sont les hommes homosexuels.
Une demande déjà formulée l’été précédent, les élus évoquant un « déclin mental » corroboré par une série d’oublis et de bourdes.

À partir du 1er août, confinements, couvre-feux, obligations du port du masque, passes sanitaires ne seront plus qu’un lointain et mauvais souvenir.

Le débat sur la réintégration des soignants non vaccinés continue de diviser la classe politique. De nombreux députés des oppositions allant de LFI au RN

Pour ses trois premiers avis, le Conseil scientifique ignorait tout de la pénurie de masques !

Il est encore trop tôt pour savoir si la vaccination forcée contre le coronavirus avec un vaccin relativement peu efficace, et à la durée d’action très limitée (sans parler des effets secondaires encore très mal connus), ne va pas porter un coup supplémentaire à la défiance vis-à-vis des vaccins.

Vu d’Afrique, l’ignorance des réalités locales et l’arrogance, perçues comme telles, sont choquantes,

La France dans sa générosité, ou plus exactement celle des Français assujettis à l’impôt, a mis en place une procédure spéciale d’admissions aux titres de séjour pour soins médicaux.

Dans certaines régions accueillant les estivants, l’équation entre le manque de soignants et l’augmentation des vacanciers s’annonce difficile à résoudre. Il ne faudra pas tomber malade.

La France subit actuellement la 7e vague de Covid. Le 1er juillet, Santé publique France indiquait que « la circulation du SARS-CoV-2 s’est intensifiée sur

Une réécriture en rose. Cela doit être la consigne du moment : positive attitude. Encore une conséquence de cette majorité relative, peut-être…

Cette fois l’exécutif est inquiété par la justice pour la gestion calamiteuse des premiers mois de la pandémie.

Il faut dire que la situation n’est pas bonne pour le futur ex-ministre de la Santé.

Le passe sanitaire aurait de fortes chances d’être rendu obligatoire si la situation sanitaire venait à s’aggraver.
À l’heure où l’épidémie de Covid-19 semble reprendre de l’avant, ce vote présagerait-il un retour à une obligation vaccinale dans les pays européens ?

Il est donc légitime de penser que, sur ce sujet, plusieurs groupes parlementaires pourraient s’entendre lors d’un vote commun, s’unissant pour contrer le passe vaccinal.

La Direction générale de l’offre de soins (DGOS), une entité du ministère de la Santé, s’apprête à faire la fête, le 23 juin prochain. Une petite sauterie gentiment arrosée, la cérémonie des « DGOScars ».

L’hôpital va mal, et même très mal. Comme dans beaucoup de domaines, nous vivions jusque-là sur l’acquis et, maintenant que les coefficients de marées se sont modifiés, nous découvrons avec stupeur l’étendue du désastre.
La situation est en effet dramatique : le personnel est à bout, comme en témoigne cette étude menée par l’Ordre auprès de 60.000 infirmiers, début janvier, et les cas dramatiques survenus faute de prise en charge sont légion.
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