Social

En l’espace de cinq jours, on vient d’apprendre que le pouvoir médite trois nouveaux mauvais coups envers les seniors.

Que s’est-il donc passé, au cours de ces dernières années, pour que le droit de manifester se transforme peu à peu en droit de détruire et de casser ?

Quant à la baisse des indemnisations des cadres supérieurs, ce n’est, ni plus ni moins, qu’une honteuse spoliation, car les cotisations chômage sont en principe une assurance !

Donc, plus question d’aider ces « salauds de vieux riches ».

Les politiques publiques des dernières décennies ont décidé qu’elles voulaient aider l’enfant, mais en tuant la famille.

Jean-Paul Delevoye et le gouvernement mentent par omission, quand ils présentent cette réforme.

Le gouvernement répond « transition, accompagnement, compensation ». On sait ce que cela signifie, et personne n’y croit.

Et on retrouve l’éternelle polémique : les plus pauvres qui ne travaillent pas recevraient des coups de pouce invisibles (cantine et transports gratuits) que n’ont pas les travailleurs pauvres, d’où un sentiment grandissant d’injustice en partie à l’origine de la révolte des gilets jaunes.

L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits.

Ignorer ou vouloir ignorer que financement des retraites rime avec natalité dynamique et donc politique familiale énergique, c’est fuir la réalité.

Le Président serait donc bien inspiré de changer de stratégie pour installer le colossal menhir des retraites…

Que l’on parle de la réforme des retraites ou de celle de l’assurance chômage, la Macronie ne craint aucune grogne.

En l’espace de cinq jours, on vient d’apprendre que le pouvoir médite trois nouveaux mauvais coups envers les seniors.

Que s’est-il donc passé, au cours de ces dernières années, pour que le droit de manifester se transforme peu à peu en droit de détruire et de casser ?

Quant à la baisse des indemnisations des cadres supérieurs, ce n’est, ni plus ni moins, qu’une honteuse spoliation, car les cotisations chômage sont en principe une assurance !

Donc, plus question d’aider ces « salauds de vieux riches ».

Les politiques publiques des dernières décennies ont décidé qu’elles voulaient aider l’enfant, mais en tuant la famille.

Jean-Paul Delevoye et le gouvernement mentent par omission, quand ils présentent cette réforme.

Le gouvernement répond « transition, accompagnement, compensation ». On sait ce que cela signifie, et personne n’y croit.

Et on retrouve l’éternelle polémique : les plus pauvres qui ne travaillent pas recevraient des coups de pouce invisibles (cantine et transports gratuits) que n’ont pas les travailleurs pauvres, d’où un sentiment grandissant d’injustice en partie à l’origine de la révolte des gilets jaunes.

L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits.

Ignorer ou vouloir ignorer que financement des retraites rime avec natalité dynamique et donc politique familiale énergique, c’est fuir la réalité.

Le Président serait donc bien inspiré de changer de stratégie pour installer le colossal menhir des retraites…

Que l’on parle de la réforme des retraites ou de celle de l’assurance chômage, la Macronie ne craint aucune grogne.
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