Société
On n’existe qu’avec l’autre, que par l’autre. Altérité que l’injonction du confinement ne manque pas d’oublier.
Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.
Dans l’abondance de poncifs qui nous accablent depuis au moins trois mois, il sauve sa mise et trouve le moyen de demeurer fidèle à sa perception décapante du monde, du mal et de la vie.
L’écologie est la chose au monde la mieux partagée : tous les partis politiques la mettent dans leur programme, soit par conviction, soit par intérêt électoral.
L’un des principes du marxisme-léninisme consiste à surmonter ses propres contradictions politiques. Là, on leur souhaite bien du courage dans l’exercice de trapèze volant dialectique qui s’annonce.
Assistera-t-on à de véritables bagarres pour monter dans un bus ou un métro ?
C’est fou, tout le mal qu’on peut faire à ne vouloir en prendre aucun.
Au fond, l’angoisse du déconfinement, c’est l’angoisse du vide, l’angoisse du retour à la dépossession de soi.
C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Il ne faut pas voir les choses tout en noir, ce qui n’interdit pas non plus de rire jaune.
En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…
La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.
L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.
Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.
Un « Bonjour, Madame ou Mademoiselle », appuyé par un sourire et une déférente inclination de la tête, vaut-il moins qu’une litanie de bises non souhaitées ?
On pète les plombs, aussi, exaspéré par le sans-gêne de la voisine qui fait claquer ses talons sur le plancher…
Ils ne sont pas payés en retour de leurs bons et loyaux services et, à la moindre incartade, se retrouvent cloués au pilori, livrés à la vindicte de médias qui se délectent de la situation.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades…
Après avoir annoncé abolir la flagellation, l’Arabie saoudite renonce, depuis dimanche, semble-t-il, à condamner ses mineurs à la peine capitale…
Confinés avec des enfants collés aux écrans, privés de muguet, de messes, de masques ou de tests, mais aussi de la possibilité de travailler ou d’enterrer leurs morts dans de bonnes conditions, puissent les Français ne jamais oublier…
Nous sommes devenus un pays de pleurnichards. Il ne faudrait pas que la guerre, la vraie, nous tombe dessus…
Qui est le plus responsable : le lion qui dévore dans la cage ou le dompteur défaillant ?
Faut-il admettre qu’une infime minorité est en effet irrécupérable…
L’argent magique n’existe pas. Comme il ne pourra pas être prélevé sur une activité exsangue ni sur des contribuables essorés et paupérisés, il sera emprunté aux générations futures – encore elles.
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Tardy-Joubert, élu en région parisienne, revient sur les récentes émeutes dans les les banlieues.
La France a été généreuse et bonne fille avec ses immigrés.
On n’existe qu’avec l’autre, que par l’autre. Altérité que l’injonction du confinement ne manque pas d’oublier.
Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.
Dans l’abondance de poncifs qui nous accablent depuis au moins trois mois, il sauve sa mise et trouve le moyen de demeurer fidèle à sa perception décapante du monde, du mal et de la vie.
L’écologie est la chose au monde la mieux partagée : tous les partis politiques la mettent dans leur programme, soit par conviction, soit par intérêt électoral.
L’un des principes du marxisme-léninisme consiste à surmonter ses propres contradictions politiques. Là, on leur souhaite bien du courage dans l’exercice de trapèze volant dialectique qui s’annonce.
Assistera-t-on à de véritables bagarres pour monter dans un bus ou un métro ?
C’est fou, tout le mal qu’on peut faire à ne vouloir en prendre aucun.
Au fond, l’angoisse du déconfinement, c’est l’angoisse du vide, l’angoisse du retour à la dépossession de soi.
C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Il ne faut pas voir les choses tout en noir, ce qui n’interdit pas non plus de rire jaune.
En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…
La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.
L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.
Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.
Un « Bonjour, Madame ou Mademoiselle », appuyé par un sourire et une déférente inclination de la tête, vaut-il moins qu’une litanie de bises non souhaitées ?
On pète les plombs, aussi, exaspéré par le sans-gêne de la voisine qui fait claquer ses talons sur le plancher…
Ils ne sont pas payés en retour de leurs bons et loyaux services et, à la moindre incartade, se retrouvent cloués au pilori, livrés à la vindicte de médias qui se délectent de la situation.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades…
Après avoir annoncé abolir la flagellation, l’Arabie saoudite renonce, depuis dimanche, semble-t-il, à condamner ses mineurs à la peine capitale…
Confinés avec des enfants collés aux écrans, privés de muguet, de messes, de masques ou de tests, mais aussi de la possibilité de travailler ou d’enterrer leurs morts dans de bonnes conditions, puissent les Français ne jamais oublier…
Nous sommes devenus un pays de pleurnichards. Il ne faudrait pas que la guerre, la vraie, nous tombe dessus…
Qui est le plus responsable : le lion qui dévore dans la cage ou le dompteur défaillant ?
Faut-il admettre qu’une infime minorité est en effet irrécupérable…
L’argent magique n’existe pas. Comme il ne pourra pas être prélevé sur une activité exsangue ni sur des contribuables essorés et paupérisés, il sera emprunté aux générations futures – encore elles.
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Tardy-Joubert, élu en région parisienne, revient sur les récentes émeutes dans les les banlieues.
La France a été généreuse et bonne fille avec ses immigrés.