Société
À l’heure de tirer des conclusions se pose donc la question de la politique de la ville de demain.
Comme les goélands opportunistes revenus vers la ville, les milliards s’envolent et planent au-dessus de nos têtes.
Il paraît qu’après avoir tant râlé après ces mesures « dignes du Moyen Âge » et ces odieuses atteintes à nos libertés fondamentales, 35 % des Français ne tiennent pas à ressortir de chez eux.
Le 10 mai est la journée commémorative du souvenir de l’esclavage et de son abolition. C’est un héritage de la première loi Taubira, une loi mémorielle de 2001.
Il suffit de demander à tout écolier des banlieues ce qu’est l’esclavage pour entendre le même refrain : c’est un méchant Blanc qui est allé prendre un gentil Noir en Afrique…
Le télétravail, tel le cheval de Troie, porte en lui une refonte inéluctable des relations de travail, et surtout une conception totalement nouvelle du travail lui-même dont la valeur, vertu suprême, peut prendre enfin d’autres directions.
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
Au lendemain de la disparition de Birthe Lejeune, l’épouse du professeur Jérôme Lejeune (1926-1994), son gendre Jean-Marie Le Méné rend hommage à cette « figure
On n’existe qu’avec l’autre, que par l’autre. Altérité que l’injonction du confinement ne manque pas d’oublier.
Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.
Dans l’abondance de poncifs qui nous accablent depuis au moins trois mois, il sauve sa mise et trouve le moyen de demeurer fidèle à sa perception décapante du monde, du mal et de la vie.
L’écologie est la chose au monde la mieux partagée : tous les partis politiques la mettent dans leur programme, soit par conviction, soit par intérêt électoral.
L’un des principes du marxisme-léninisme consiste à surmonter ses propres contradictions politiques. Là, on leur souhaite bien du courage dans l’exercice de trapèze volant dialectique qui s’annonce.
Assistera-t-on à de véritables bagarres pour monter dans un bus ou un métro ?
C’est fou, tout le mal qu’on peut faire à ne vouloir en prendre aucun.
Au fond, l’angoisse du déconfinement, c’est l’angoisse du vide, l’angoisse du retour à la dépossession de soi.
C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Il ne faut pas voir les choses tout en noir, ce qui n’interdit pas non plus de rire jaune.
En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…
La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.
L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.
Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.
Un « Bonjour, Madame ou Mademoiselle », appuyé par un sourire et une déférente inclination de la tête, vaut-il moins qu’une litanie de bises non souhaitées ?
On pète les plombs, aussi, exaspéré par le sans-gêne de la voisine qui fait claquer ses talons sur le plancher…
À l’heure de tirer des conclusions se pose donc la question de la politique de la ville de demain.
Comme les goélands opportunistes revenus vers la ville, les milliards s’envolent et planent au-dessus de nos têtes.
Il paraît qu’après avoir tant râlé après ces mesures « dignes du Moyen Âge » et ces odieuses atteintes à nos libertés fondamentales, 35 % des Français ne tiennent pas à ressortir de chez eux.
Le 10 mai est la journée commémorative du souvenir de l’esclavage et de son abolition. C’est un héritage de la première loi Taubira, une loi mémorielle de 2001.
Il suffit de demander à tout écolier des banlieues ce qu’est l’esclavage pour entendre le même refrain : c’est un méchant Blanc qui est allé prendre un gentil Noir en Afrique…
Le télétravail, tel le cheval de Troie, porte en lui une refonte inéluctable des relations de travail, et surtout une conception totalement nouvelle du travail lui-même dont la valeur, vertu suprême, peut prendre enfin d’autres directions.
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
Au lendemain de la disparition de Birthe Lejeune, l’épouse du professeur Jérôme Lejeune (1926-1994), son gendre Jean-Marie Le Méné rend hommage à cette « figure
On n’existe qu’avec l’autre, que par l’autre. Altérité que l’injonction du confinement ne manque pas d’oublier.
Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.
Dans l’abondance de poncifs qui nous accablent depuis au moins trois mois, il sauve sa mise et trouve le moyen de demeurer fidèle à sa perception décapante du monde, du mal et de la vie.
L’écologie est la chose au monde la mieux partagée : tous les partis politiques la mettent dans leur programme, soit par conviction, soit par intérêt électoral.
L’un des principes du marxisme-léninisme consiste à surmonter ses propres contradictions politiques. Là, on leur souhaite bien du courage dans l’exercice de trapèze volant dialectique qui s’annonce.
Assistera-t-on à de véritables bagarres pour monter dans un bus ou un métro ?
C’est fou, tout le mal qu’on peut faire à ne vouloir en prendre aucun.
Au fond, l’angoisse du déconfinement, c’est l’angoisse du vide, l’angoisse du retour à la dépossession de soi.
C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Il ne faut pas voir les choses tout en noir, ce qui n’interdit pas non plus de rire jaune.
En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…
La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.
L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.
Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.
Un « Bonjour, Madame ou Mademoiselle », appuyé par un sourire et une déférente inclination de la tête, vaut-il moins qu’une litanie de bises non souhaitées ?
On pète les plombs, aussi, exaspéré par le sans-gêne de la voisine qui fait claquer ses talons sur le plancher…