Société
Du Noël blanc d’antan à la tendance green, ils optent pour le rouge.
Il ne vous aura pas échappé, en effet, que le temps d’antenne offert aux syndicalistes les plus radicaux est inversement proportionnel à leur représentativité.
Il n’est pas besoin d’être un journaliste ou un analyste confirmé pour affirmer que, depuis longtemps, le climat civique français n’a jamais été aussi pourri et désespéré.
Non, ne dormez pas tranquilles, braves gens ! Le drame des toxicomanies s’intensifie…
La Dépêche, détenue par le radical de gauche Jean-Michel Baylet, risque les adjectifs « crétin » et « affligeant ». C’est sans doute la peine maximale qui puisse être infligée par un journal de gauche à un groupe de personnes de gauche.
Les auteurs sont souvent non inquiétés, soit que leur aura pousse les dirigeants à ne pas dénoncer les faits, soit qu’ils partent d’eux-mêmes dans d’autres régions ou d’autres clubs sportifs…
Un pays qui ne pense qu’à la retraite est un pays battu, foutu.
Même la Justice prévoit l’effacement du casier judiciaire. Internet, lui, garde tout en réserve.
Le metteur en scène franco-polonais qu’on sait, assez malmené par les médias depuis des décennies, serait-il devenu, à son corps défendant, symbole d’une époque révolue et figure emblématique – expiatoire, voire – de celle en train d’advenir ?
Là encore, Nike n’a fait que répondre à la demande. Une demande insistante…
Avec tout ça, le temps ne fait rien à l’affaire, comme le chantait Brassens…
Un million de manifestants dans la rue, mais le Président Macron « ne sent pas d’inquiétude ».
En moins de trois ans, Macron a achevé de mettre à terre une économie déjà mal en point à son arrivée au pouvoir. Dans quel état serons-nous à la fin de son quinquennat ?
Cette banane conceptuelle est une œuvre de l’Italien Maurizio Cattelan, grande gloire internationale.
Il lui sera beaucoup pardonné d’avoir exprimé l’opinion d’une majorité de Français.
Il serait inconvenant que le pouvoir instrumentalisât la création de ce musée pour faire oublier ses lacunes et ses faiblesses en matière de lutte contre le terrorisme.
Michèle Bernard-Requin, actuellement en soins palliatifs, a, dans un mouvement inouï du cœur et de l’esprit, écrit un splendide adieu où elle célèbre l’hôpital et réclame qu’on lui donne des moyens…
Peut-on sans cesse demander plus d’exemplarité dans l’acceptation des efforts demandés aux travailleurs de ce pays quand on lui donne autant de signe de faiblesse morale et politique ?
Que ceux qui veulent arroser la nouvelle année qui s’annonce à grandes lampées de décoctions d’artichaut et de jus de gland, qu’il ne se gênent pas : ça fera toujours un surcroît de pinard pour les autres !
C’est tout un pays, un peuple qui est pris en otage par, selon le cas, des catégories socioprofessionnelles ou des communautés d’intérêts.
« Enc*** » ; « Va bouffer la b*** à Macron »… Nous sommes vendredi 6 décembre, à 5 h 30 du matin, à La Garenne-Colombes, dans les Hauts-de-Seine.
Chaque année, les crèches de Noël créent la polémique.
Qui dit maman dit bébé. Suçant son pouce et agitant ses petites mains potelées. Il ne sait pas ce qu’il fait, le pauvret, ce serait bien injuste de le gronder. S’attaquer à un bébé, c’est d’une grande cruauté.
Si, maintenant, les disciples de Mahomet se mettent à parrainer les crèches, où va-t-on ?
Proposer de déposer au pied du sapin de Noël La fabrique d’orphelins, de Marie-Hélène Verdier, bien connue de nos lecteurs, c’est peut-être un peu provocateur.
En réaction au dernier attentat de Londres, Nigel Farage, chef du parti eurolucide Brexit, a récemment appelé à l’assouplissement des lois sur les armes à feu…
Qui ne voit que les temps ont changé ?
Dans l’Éducation nationale, le mot est un cache-misère…
Du Noël blanc d’antan à la tendance green, ils optent pour le rouge.
Il ne vous aura pas échappé, en effet, que le temps d’antenne offert aux syndicalistes les plus radicaux est inversement proportionnel à leur représentativité.
Il n’est pas besoin d’être un journaliste ou un analyste confirmé pour affirmer que, depuis longtemps, le climat civique français n’a jamais été aussi pourri et désespéré.
Non, ne dormez pas tranquilles, braves gens ! Le drame des toxicomanies s’intensifie…
La Dépêche, détenue par le radical de gauche Jean-Michel Baylet, risque les adjectifs « crétin » et « affligeant ». C’est sans doute la peine maximale qui puisse être infligée par un journal de gauche à un groupe de personnes de gauche.
Les auteurs sont souvent non inquiétés, soit que leur aura pousse les dirigeants à ne pas dénoncer les faits, soit qu’ils partent d’eux-mêmes dans d’autres régions ou d’autres clubs sportifs…
Un pays qui ne pense qu’à la retraite est un pays battu, foutu.
Même la Justice prévoit l’effacement du casier judiciaire. Internet, lui, garde tout en réserve.
Le metteur en scène franco-polonais qu’on sait, assez malmené par les médias depuis des décennies, serait-il devenu, à son corps défendant, symbole d’une époque révolue et figure emblématique – expiatoire, voire – de celle en train d’advenir ?
Là encore, Nike n’a fait que répondre à la demande. Une demande insistante…
Avec tout ça, le temps ne fait rien à l’affaire, comme le chantait Brassens…
Un million de manifestants dans la rue, mais le Président Macron « ne sent pas d’inquiétude ».
En moins de trois ans, Macron a achevé de mettre à terre une économie déjà mal en point à son arrivée au pouvoir. Dans quel état serons-nous à la fin de son quinquennat ?
Cette banane conceptuelle est une œuvre de l’Italien Maurizio Cattelan, grande gloire internationale.
Il lui sera beaucoup pardonné d’avoir exprimé l’opinion d’une majorité de Français.
Il serait inconvenant que le pouvoir instrumentalisât la création de ce musée pour faire oublier ses lacunes et ses faiblesses en matière de lutte contre le terrorisme.
Michèle Bernard-Requin, actuellement en soins palliatifs, a, dans un mouvement inouï du cœur et de l’esprit, écrit un splendide adieu où elle célèbre l’hôpital et réclame qu’on lui donne des moyens…
Peut-on sans cesse demander plus d’exemplarité dans l’acceptation des efforts demandés aux travailleurs de ce pays quand on lui donne autant de signe de faiblesse morale et politique ?
Que ceux qui veulent arroser la nouvelle année qui s’annonce à grandes lampées de décoctions d’artichaut et de jus de gland, qu’il ne se gênent pas : ça fera toujours un surcroît de pinard pour les autres !
C’est tout un pays, un peuple qui est pris en otage par, selon le cas, des catégories socioprofessionnelles ou des communautés d’intérêts.
« Enc*** » ; « Va bouffer la b*** à Macron »… Nous sommes vendredi 6 décembre, à 5 h 30 du matin, à La Garenne-Colombes, dans les Hauts-de-Seine.
Chaque année, les crèches de Noël créent la polémique.
Qui dit maman dit bébé. Suçant son pouce et agitant ses petites mains potelées. Il ne sait pas ce qu’il fait, le pauvret, ce serait bien injuste de le gronder. S’attaquer à un bébé, c’est d’une grande cruauté.
Si, maintenant, les disciples de Mahomet se mettent à parrainer les crèches, où va-t-on ?
Proposer de déposer au pied du sapin de Noël La fabrique d’orphelins, de Marie-Hélène Verdier, bien connue de nos lecteurs, c’est peut-être un peu provocateur.
En réaction au dernier attentat de Londres, Nigel Farage, chef du parti eurolucide Brexit, a récemment appelé à l’assouplissement des lois sur les armes à feu…
Qui ne voit que les temps ont changé ?
Dans l’Éducation nationale, le mot est un cache-misère…
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