Société
Que les casseurs cassent, le contribuable paiera… c’est ça, la politique ! Alors, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

La rentrée, donc, a été l’occasion pour le ministre de condamner sur Twitter l’absence des pères aux réunions.

Le club des mal-pensants vient de s’enrichir d’un nouveau membre en la personne du docteur Bertrand de Rochambeau.

On imagine que le degré d’attache avec la France de Mamoudou Gassama a été vérifié.
Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique, envisage de légiférer pour limiter l’addiction aux réseaux sociaux.

La robe n’est-elle pas un allié objectif du violeur en lui permettant de trousser facilement sa proie ?

Boulevard Voltaire est allé à la rencontre d’un criminologue, Xavier Raufer, et d’un psychiatre, Nicolas Dhuicq, pour croiser leurs analyses – sans concession ni idéologie
Celles qui s’expriment revendiquent en effet l’exercice d’un métier, librement choisi et assumé de façon indépendante.

C’est bien simple : à l’entendre, ce sont les musulmans « qui ont fait la France »…

La malbouffe tue ces gamins plus sûrement que la faim.

Parce que l’été 2018 a été chaud ? Parce que Hulot a démissionné ? Pour produire moins de gaz carbonique ?

Mais ce ne sont pas les catholiques rigoureux qui planteront les clous pour cette crucifixion.

Regarder le coucher de soleil sur les tours de Notre-Dame en pissant face à la Seine, c’est pas le bonheur, ça ?
À quoi donc est réduite la vie, ce mystère insondable, lorsqu’elle n’est vue qu’au travers d’un prisme matérialiste, esthétique, sexuel ?

Dans le temple du « Y’a qu’à », les prêcheurs se bousculent.

S’agissant des pompiers, dernier drame qui nous occupe ici, les chiffres de 2016 révèlent une hausse des agressions de 17,6 % par rapport à 2015.

Ils font peur, les chasseurs. Peur aux politiques, peur aux citoyens qui posent culotte dans les forêts de Sologne, peur aux cueilleurs de champignons et peur à la RATP.

Qu’ils surjouent l’indignation ou pas, les musulmans sincères peuvent être légitimement blessés par des caricatures…

Parfois, souvent même, je me demande comment nous avons pu survivre jusqu’à ce jour !

D’un point de vue économique et financier, les utilisateurs de camping-cars ne contribuent pas, ou peu – en tout cas, moins que les autres visiteurs -, à l’économie des régions qu’ils traversent.

Nos havres familiers reculent.

Imaginez une seule seconde que des mosquées ou des synagogues soient la cible d’actes de malveillance.

Sauf à considérer que le célibat d’une femme ou sa vie en couple avec une autre femme relève de la pathologie, où est la maladie qui justifierait d’une prise en charge d’une telle PMA par la collectivité ?
…dans l’immense majorité des cas, et hors militantisme frénétique, l’euthanasie est un questionnement de gens en bonne santé.

Jadis, le travail le plus important se faisait pendant la matinée…

…c’est sans doute ainsi que l’on doit désormais appeler la baisse du pouvoir d’achat, notamment pour les familles et les retraités.

Décidément, à poil devient une manie ! Mais, cette fois, avec un cheval. On progresse.
Pour Boulevard Voltaire, Nicolas Dhuicq commente l’actualité : la rencontre Salvini-Orbán et la crise migratoire en Europe. En second lieu, il analyse les dérives d’un
Que les casseurs cassent, le contribuable paiera… c’est ça, la politique ! Alors, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

La rentrée, donc, a été l’occasion pour le ministre de condamner sur Twitter l’absence des pères aux réunions.

Le club des mal-pensants vient de s’enrichir d’un nouveau membre en la personne du docteur Bertrand de Rochambeau.

On imagine que le degré d’attache avec la France de Mamoudou Gassama a été vérifié.
Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique, envisage de légiférer pour limiter l’addiction aux réseaux sociaux.

La robe n’est-elle pas un allié objectif du violeur en lui permettant de trousser facilement sa proie ?

Boulevard Voltaire est allé à la rencontre d’un criminologue, Xavier Raufer, et d’un psychiatre, Nicolas Dhuicq, pour croiser leurs analyses – sans concession ni idéologie
Celles qui s’expriment revendiquent en effet l’exercice d’un métier, librement choisi et assumé de façon indépendante.

C’est bien simple : à l’entendre, ce sont les musulmans « qui ont fait la France »…

La malbouffe tue ces gamins plus sûrement que la faim.

Parce que l’été 2018 a été chaud ? Parce que Hulot a démissionné ? Pour produire moins de gaz carbonique ?

Mais ce ne sont pas les catholiques rigoureux qui planteront les clous pour cette crucifixion.

Regarder le coucher de soleil sur les tours de Notre-Dame en pissant face à la Seine, c’est pas le bonheur, ça ?
À quoi donc est réduite la vie, ce mystère insondable, lorsqu’elle n’est vue qu’au travers d’un prisme matérialiste, esthétique, sexuel ?

Dans le temple du « Y’a qu’à », les prêcheurs se bousculent.

S’agissant des pompiers, dernier drame qui nous occupe ici, les chiffres de 2016 révèlent une hausse des agressions de 17,6 % par rapport à 2015.

Ils font peur, les chasseurs. Peur aux politiques, peur aux citoyens qui posent culotte dans les forêts de Sologne, peur aux cueilleurs de champignons et peur à la RATP.

Qu’ils surjouent l’indignation ou pas, les musulmans sincères peuvent être légitimement blessés par des caricatures…

Parfois, souvent même, je me demande comment nous avons pu survivre jusqu’à ce jour !

D’un point de vue économique et financier, les utilisateurs de camping-cars ne contribuent pas, ou peu – en tout cas, moins que les autres visiteurs -, à l’économie des régions qu’ils traversent.

Nos havres familiers reculent.

Imaginez une seule seconde que des mosquées ou des synagogues soient la cible d’actes de malveillance.

Sauf à considérer que le célibat d’une femme ou sa vie en couple avec une autre femme relève de la pathologie, où est la maladie qui justifierait d’une prise en charge d’une telle PMA par la collectivité ?
…dans l’immense majorité des cas, et hors militantisme frénétique, l’euthanasie est un questionnement de gens en bonne santé.

Jadis, le travail le plus important se faisait pendant la matinée…

…c’est sans doute ainsi que l’on doit désormais appeler la baisse du pouvoir d’achat, notamment pour les familles et les retraités.

Décidément, à poil devient une manie ! Mais, cette fois, avec un cheval. On progresse.
Pour Boulevard Voltaire, Nicolas Dhuicq commente l’actualité : la rencontre Salvini-Orbán et la crise migratoire en Europe. En second lieu, il analyse les dérives d’un
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