Société
L’acte auquel L’Obs prépare les esprits ouvre la porte vers une nouvelle barbarie.
L’affaire Linky est exemplaire des blocages dans lesquels la société française s’englue.
Le fondateur du Puy du Fou s’insurge contre « l’arrêté liberticide » du Ministère de la culture qui, « sous la pression de la CGT-Spectacle », menace l’existence même du Puy du Fou.
En n’accordant de statut qu’aux gens qui comprennent vite et bien, la société technologique n’a rien prévu pour les imbéciles.
Il ne faut jamais se réjouir trop vite.
La frontière entre le vandalisme protestataire et le terrorisme peut être ténue.
Ce ne sont pas les supporters qu’il faut rééduquer. C’est la société toute entière à qui il faut donner une vision plus haute, plus noble. Et ce n’est pas le football qui y changera grand-chose.
C’est de lui qu’est la phrase : « traitez vos adversaires de fascistes, pendant qu’ils se justifieront, vous pourrez leur porter de nouveaux coups. »
On projette la création du « tribunal criminel » qui composé seulement de magistrats jugera les crimes punis jusqu’à vingt ans.
Comme il est mineur, son patronyme, on ne le connaîtra pas. Son prénom non plus, d’ailleurs.
Plus rien ne devrait nous étonner ni même nous scandaliser dans une société qui depuis des décennies cultive le culte de la médiocrité.
Pour se faire mousser, certaines personnalités peu scrupuleuses bidonnent leur CV et s’attribuent généreusement des diplômes ou des titres qu’elles n’ont jamais obtenus ni mérités.
Dans l’histoire du Venezuela et des pays d’Amérique du Sud, l’armée s’est parfois comportée en agent du changement lorsque les choses allaient mal et que les dirigeants n’étaient plus en mesure de servir leur peuple.
Le président de la République a réaffirmé sa volonté de faire construire de nouvelles places de prison.
En cette Journée de la femme, l’UNEF a sorti une campagne de presse visant à demander la fin de l’omerta sur les violences faites aux femmes.
Ce samedi, sous l’impulsion de Christian Vanneste, a lieu l’université d’hiver de la Droite libre, une association de réflexion à la fois patriote, libérale et conservatrice.
Gobee.bike jette l’éponge et abandonne son activité en France. Les raisons principales invoquées par la mediasphère : « Des dégradations, de la casse et de la malveillance de la part de certains usagers. »
Il ne s’agit plus seulement d’accepter le différent, le marginal (voire l’obscène), mais de le glorifier. Nous sommes entrés dans une société de l’anormal (qui n’a pas de norme).

Sur la scène de Bobino, ce sont les trois dames Bachelot, Schiappa et El Khomri qui récitaient Les Monologues du vagin.
Gabrielle Cluzel estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien.
Désormais, de Simone de Beauvoir à Caroline De Haas, le féminisme est un féminisme bourgeois.
Mais pourquoi n’y a-t-il pas de candidates transgenres à l’élection de Miss France ? La question taraude Daphné Bürki, l’animatrice d’Europe 1 – la radio qui ne rate jamais une occasion de perdre encore un peu plus d’auditeurs.
Pas la peine de se donner bonne conscience à l’occasion d’une journée par an. Nous pourrions nous contenter de remettre à la une leurs plus récentes contributions. Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
Quelques tentatives de sauvegarde contre la prolifération d’emprunts lexicaux à l’anglais avaient été lancées naguère, avec le résultat que l’on constate.
Faire plaisir aux femmes, c’est bien, faire plaisir à tous, c’est mieux !
Le député LREM Adrien Morenas vient de publier dans les colonnes du Monde une tribune justifiant l’installation des compteurs Linky. Son adversaire politique dans le Vaucluse Hervé de Lépinau l’accuse d’être totalement sorti de son rôle.
Jean-Paul Gaultier a plaidé pour que des personnes transgenres participent au concours de Miss France. Geneviève de Fontenay réagit vivement au micro de Boulevard Voltaire.
Le ministre de la Culture a annoncé un plan pour l’éducation aux médias, en trois volets.
L’acte auquel L’Obs prépare les esprits ouvre la porte vers une nouvelle barbarie.
L’affaire Linky est exemplaire des blocages dans lesquels la société française s’englue.
Le fondateur du Puy du Fou s’insurge contre « l’arrêté liberticide » du Ministère de la culture qui, « sous la pression de la CGT-Spectacle », menace l’existence même du Puy du Fou.
En n’accordant de statut qu’aux gens qui comprennent vite et bien, la société technologique n’a rien prévu pour les imbéciles.
Il ne faut jamais se réjouir trop vite.
La frontière entre le vandalisme protestataire et le terrorisme peut être ténue.
Ce ne sont pas les supporters qu’il faut rééduquer. C’est la société toute entière à qui il faut donner une vision plus haute, plus noble. Et ce n’est pas le football qui y changera grand-chose.
C’est de lui qu’est la phrase : « traitez vos adversaires de fascistes, pendant qu’ils se justifieront, vous pourrez leur porter de nouveaux coups. »
On projette la création du « tribunal criminel » qui composé seulement de magistrats jugera les crimes punis jusqu’à vingt ans.
Comme il est mineur, son patronyme, on ne le connaîtra pas. Son prénom non plus, d’ailleurs.
Plus rien ne devrait nous étonner ni même nous scandaliser dans une société qui depuis des décennies cultive le culte de la médiocrité.
Pour se faire mousser, certaines personnalités peu scrupuleuses bidonnent leur CV et s’attribuent généreusement des diplômes ou des titres qu’elles n’ont jamais obtenus ni mérités.
Dans l’histoire du Venezuela et des pays d’Amérique du Sud, l’armée s’est parfois comportée en agent du changement lorsque les choses allaient mal et que les dirigeants n’étaient plus en mesure de servir leur peuple.
Le président de la République a réaffirmé sa volonté de faire construire de nouvelles places de prison.
En cette Journée de la femme, l’UNEF a sorti une campagne de presse visant à demander la fin de l’omerta sur les violences faites aux femmes.
Ce samedi, sous l’impulsion de Christian Vanneste, a lieu l’université d’hiver de la Droite libre, une association de réflexion à la fois patriote, libérale et conservatrice.
Gobee.bike jette l’éponge et abandonne son activité en France. Les raisons principales invoquées par la mediasphère : « Des dégradations, de la casse et de la malveillance de la part de certains usagers. »
Il ne s’agit plus seulement d’accepter le différent, le marginal (voire l’obscène), mais de le glorifier. Nous sommes entrés dans une société de l’anormal (qui n’a pas de norme).

Sur la scène de Bobino, ce sont les trois dames Bachelot, Schiappa et El Khomri qui récitaient Les Monologues du vagin.
Gabrielle Cluzel estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien.
Désormais, de Simone de Beauvoir à Caroline De Haas, le féminisme est un féminisme bourgeois.
Mais pourquoi n’y a-t-il pas de candidates transgenres à l’élection de Miss France ? La question taraude Daphné Bürki, l’animatrice d’Europe 1 – la radio qui ne rate jamais une occasion de perdre encore un peu plus d’auditeurs.
Pas la peine de se donner bonne conscience à l’occasion d’une journée par an. Nous pourrions nous contenter de remettre à la une leurs plus récentes contributions. Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
Quelques tentatives de sauvegarde contre la prolifération d’emprunts lexicaux à l’anglais avaient été lancées naguère, avec le résultat que l’on constate.
Faire plaisir aux femmes, c’est bien, faire plaisir à tous, c’est mieux !
Le député LREM Adrien Morenas vient de publier dans les colonnes du Monde une tribune justifiant l’installation des compteurs Linky. Son adversaire politique dans le Vaucluse Hervé de Lépinau l’accuse d’être totalement sorti de son rôle.
Jean-Paul Gaultier a plaidé pour que des personnes transgenres participent au concours de Miss France. Geneviève de Fontenay réagit vivement au micro de Boulevard Voltaire.
Le ministre de la Culture a annoncé un plan pour l’éducation aux médias, en trois volets.
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