Société
Ils s’appellent Alina, Lola ou Franck et défilent à la manière de mannequins sur un tapis rouge comme à un défilé de mode.
Les réseaux sociaux ont permis à de médiocres citoyens de se révéler et de faire de leur surabondance une fierté au lieu qu’elle soit une indignité.

L’euphorie règne en apparence sur les marchés…
Écrire, c’est choisir des mots. Ce n’est jamais neutre.
Merci Monseigneur !
Comment ne pas comprendre la grande colère des gardiens de prison ?
« Attaquée à l’extérieur, rongée de l’intérieur par une crise morale qui lui fait renier son identité, notre pays, la France, est tenue de réussir à se reprendre. »
Il doit faire avant l’été des propositions pour « développer l’accès des migrants aux arts et à la culture ».
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.
Le client doit pouvoir croire que payer est une option, que l’achat est un hobby comme un autre, qui ne mérite ni réflexion ni contrainte.
Les scènes de sexe non simulées dans les films ne sont désormais plus interdites aux mineurs.
Lundi 22 janvier, dans « 28 Minutes », sur Arte, Élisabeth Quin jubilait en annonçant, comme première rubrique, « Un chef indien contre Trump »…
« La droite ne peut pas être que conservatrice. Encore une fois, elle doit être pragmatique avec un objectif de puissance. »
Saluons les infatigables énergies qui s’acharnent à répéter les mêmes arguments, avec talent, tous les sept ans, à ceux qui ne visent rien d’autre que leur sur-moi, leur moi et leur sous-moi.
La rupture avec « l’ancien monde » promise par M. Macron est en fait cosmétique. Ainsi, son gouvernement a instauré huit nouvelles taxes en huit mois.
Le désir d’enfant devient une donnée infiniment relative qui est soumise pour sa concrétisation à des éléments qui pèsent davantage que le bonheur de la procréation elle-même.
Ne peuvent s’en sortir que les privilégiés, ceux dont les parents vont de diverses manières compenser par des sorties, des lectures, des cours particuliers, des manuels échangés sous le manteau entre amis.
Une banderole résume le haut niveau intellectuel de ces amoureux farouches de la liberté.
« Au fur et à mesure que les hommes deviennent de plus en plus paresseux, intellectuellement parlant, les machines deviennent de plus en plus intelligentes. »
Le sondage c’est la pensée-magazine, à courte vue, le prêt-à-penser qui se base sur une vague impression non sur une analyse.
Quel regard portons-nous sur la femme, pilier central de la société ?
L’élection de M. Macron nous a révélé que les partis politiques n’étaient plus que des coquilles vides depuis des lustres.
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
Il a souvent été prétendu que les sociétés tombaient du côté vers lequel elles penchaient. C’est vers le vide que la nôtre incline.
« Les faits étant assez peu « vivre ensemble », ce n’est pas sans faire de vagues. »
Étrange émission que celle d’Élise Lucet sur les mystères de l’industrie laitière française !
Pas encore nés, en voie de fabrication ou encore trop petits pour s’exprimer, un jour viendra où ils demanderont des comptes.
Après l’actrice Catherine Deneuve et notre consœur Élisabeth Lévy, entre autres femmes de tête, c’est au tour de Brigitte Bardot (qu’on ne présente plus) de libérer la parole quant au retour du nouvel ordre moral.
Ils s’appellent Alina, Lola ou Franck et défilent à la manière de mannequins sur un tapis rouge comme à un défilé de mode.
Les réseaux sociaux ont permis à de médiocres citoyens de se révéler et de faire de leur surabondance une fierté au lieu qu’elle soit une indignité.

L’euphorie règne en apparence sur les marchés…
Écrire, c’est choisir des mots. Ce n’est jamais neutre.
Merci Monseigneur !
Comment ne pas comprendre la grande colère des gardiens de prison ?
« Attaquée à l’extérieur, rongée de l’intérieur par une crise morale qui lui fait renier son identité, notre pays, la France, est tenue de réussir à se reprendre. »
Il doit faire avant l’été des propositions pour « développer l’accès des migrants aux arts et à la culture ».
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.
Le client doit pouvoir croire que payer est une option, que l’achat est un hobby comme un autre, qui ne mérite ni réflexion ni contrainte.
Les scènes de sexe non simulées dans les films ne sont désormais plus interdites aux mineurs.
Lundi 22 janvier, dans « 28 Minutes », sur Arte, Élisabeth Quin jubilait en annonçant, comme première rubrique, « Un chef indien contre Trump »…
« La droite ne peut pas être que conservatrice. Encore une fois, elle doit être pragmatique avec un objectif de puissance. »
Saluons les infatigables énergies qui s’acharnent à répéter les mêmes arguments, avec talent, tous les sept ans, à ceux qui ne visent rien d’autre que leur sur-moi, leur moi et leur sous-moi.
La rupture avec « l’ancien monde » promise par M. Macron est en fait cosmétique. Ainsi, son gouvernement a instauré huit nouvelles taxes en huit mois.
Le désir d’enfant devient une donnée infiniment relative qui est soumise pour sa concrétisation à des éléments qui pèsent davantage que le bonheur de la procréation elle-même.
Ne peuvent s’en sortir que les privilégiés, ceux dont les parents vont de diverses manières compenser par des sorties, des lectures, des cours particuliers, des manuels échangés sous le manteau entre amis.
Une banderole résume le haut niveau intellectuel de ces amoureux farouches de la liberté.
« Au fur et à mesure que les hommes deviennent de plus en plus paresseux, intellectuellement parlant, les machines deviennent de plus en plus intelligentes. »
Le sondage c’est la pensée-magazine, à courte vue, le prêt-à-penser qui se base sur une vague impression non sur une analyse.
Quel regard portons-nous sur la femme, pilier central de la société ?
L’élection de M. Macron nous a révélé que les partis politiques n’étaient plus que des coquilles vides depuis des lustres.
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
Il a souvent été prétendu que les sociétés tombaient du côté vers lequel elles penchaient. C’est vers le vide que la nôtre incline.
« Les faits étant assez peu « vivre ensemble », ce n’est pas sans faire de vagues. »
Étrange émission que celle d’Élise Lucet sur les mystères de l’industrie laitière française !
Pas encore nés, en voie de fabrication ou encore trop petits pour s’exprimer, un jour viendra où ils demanderont des comptes.
Après l’actrice Catherine Deneuve et notre consœur Élisabeth Lévy, entre autres femmes de tête, c’est au tour de Brigitte Bardot (qu’on ne présente plus) de libérer la parole quant au retour du nouvel ordre moral.
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