Société
La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.
Au regard des critères actuels, Beauvoir était assurément une lesbienne honteuse, femme soumise aux exigences d’un mâle blanc crasseux, sale représentant du patriarcat qui s’adonnait au droit de cuissage contre promesse d’un avenir littéraire.
On installe ainsi une surveillance universelle où même le parfait citoyen vertueux sera tracé à tout moment et pour nombre de ses actes courants, dans la rue, dans les commerces, lors de manifestations…
Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.
Les pays européens semblent basculer les uns après les autres dans la soumission aux injonctions de minorités conduisant à des mesures les plus absurdes les unes que les autres.
Dans un rapport de SOS Homophobie de 2006, on pouvait lire ceci : « Être gay ou lesbienne en banlieue, est-ce plus difficile qu’ailleurs ?
Est-il encore permis de dénoncer le monde totalitaire qui se prépare avec ce qu’il sera permis de penser et ce qui sera litigieux ou interdit ?
Plus de cent ans et il leur reste quelques dents.
En somme, cette proposition de loi vient serrer la vis autour des actions radicales des activistes.
Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.
Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.
Le sergent Hartman se dit en voyant ça qu’il aurait mieux fait de crever dans les rizières du Vietnam plutôt que d’arriver jusque-là pour entendre ça.
La radio d’État entend mettre en lumière la « dénativité », en quelque sorte. Une dernière ligne droite, dans un Avent sans Dieu, avant un Noël laïc, sans crèche, sans Sainte Famille (ni famille tout court)…
Pour se consoler, les joueurs de Scrabble vont pouvoir utiliser des gros mots de remplacement, je veux dire des mots à grosses lettres : dysphorie, par exemple, ou psychiatriser, vaccinodrome…
C’est devenu le traditionnel cadeau de fin d’année des cheminots de la SNCF.
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
D’autres questions, d’ailleurs, auraient pu être abordées : pourquoi si peu de femmes en première ligne dans les combats ? Où est la parité devant la souffrance et la mort ?
Un peuple frigorifié, atomisé, autrement dit devenu incapable de la moindre réaction, de la moindre révolte.
Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.
Immersion en banlieue avec notre journaliste Jordan Florentin quelques heures avant le match France-Maroc : qui soutient qui ?
L’opacité autour du phénomène des trans est de mise. Les inquiétudes des parents systématiquement écartées sous prétexte d’être « instrumentalisées par des mouvements réactionnaires ».
Drapées dans leurs drapeaux algériens et marocains, les trois « splendides » laissent là le spectateur, abasourdi par tous ces qualificatifs, après lui avoir largement fait comprendre qu’il n’était chez lui que par sursis.
Le tourmenté climatique clamant sur tous les toits qu’il ne souhaitait pas avoir d’enfants verra ainsi son vœu exaucé.
Il faut être aveugle pour ne pas voir l’ensauvagement de notre société.
Une pente glissante vers une société mortifère où l’on préfère manifestement légiférer sur le bien mourir plutôt que sur
La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.
« Ce règlement, s’il était adopté, aboutirait à obliger les États à entériner les trafics d’enfants de toutes sortes qui pourraient avoir été validés dans un État de l’Union européenne. »
La ligne Paris-Limoges avait été le symbole de l’essor de la puissance française, elle est aujourd’hui une nouvelle manifestation de son déclin. Et l’élection de la gare de Limoges comme plus belle gare de France, cette année, n’y a rien changé.
La raison se confond avec la déraison, le vrai avec le faux, le bien avec le mal. Il faut rendre hommage à tous les lanceurs d’alerte qui dénoncent cette situation.
Au regard des critères actuels, Beauvoir était assurément une lesbienne honteuse, femme soumise aux exigences d’un mâle blanc crasseux, sale représentant du patriarcat qui s’adonnait au droit de cuissage contre promesse d’un avenir littéraire.
On installe ainsi une surveillance universelle où même le parfait citoyen vertueux sera tracé à tout moment et pour nombre de ses actes courants, dans la rue, dans les commerces, lors de manifestations…
Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.
Les pays européens semblent basculer les uns après les autres dans la soumission aux injonctions de minorités conduisant à des mesures les plus absurdes les unes que les autres.
Dans un rapport de SOS Homophobie de 2006, on pouvait lire ceci : « Être gay ou lesbienne en banlieue, est-ce plus difficile qu’ailleurs ?
Est-il encore permis de dénoncer le monde totalitaire qui se prépare avec ce qu’il sera permis de penser et ce qui sera litigieux ou interdit ?
Plus de cent ans et il leur reste quelques dents.
En somme, cette proposition de loi vient serrer la vis autour des actions radicales des activistes.
Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.
Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.
Le sergent Hartman se dit en voyant ça qu’il aurait mieux fait de crever dans les rizières du Vietnam plutôt que d’arriver jusque-là pour entendre ça.
La radio d’État entend mettre en lumière la « dénativité », en quelque sorte. Une dernière ligne droite, dans un Avent sans Dieu, avant un Noël laïc, sans crèche, sans Sainte Famille (ni famille tout court)…
Pour se consoler, les joueurs de Scrabble vont pouvoir utiliser des gros mots de remplacement, je veux dire des mots à grosses lettres : dysphorie, par exemple, ou psychiatriser, vaccinodrome…
C’est devenu le traditionnel cadeau de fin d’année des cheminots de la SNCF.
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
D’autres questions, d’ailleurs, auraient pu être abordées : pourquoi si peu de femmes en première ligne dans les combats ? Où est la parité devant la souffrance et la mort ?
Un peuple frigorifié, atomisé, autrement dit devenu incapable de la moindre réaction, de la moindre révolte.
Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.
Immersion en banlieue avec notre journaliste Jordan Florentin quelques heures avant le match France-Maroc : qui soutient qui ?
L’opacité autour du phénomène des trans est de mise. Les inquiétudes des parents systématiquement écartées sous prétexte d’être « instrumentalisées par des mouvements réactionnaires ».
Drapées dans leurs drapeaux algériens et marocains, les trois « splendides » laissent là le spectateur, abasourdi par tous ces qualificatifs, après lui avoir largement fait comprendre qu’il n’était chez lui que par sursis.
Le tourmenté climatique clamant sur tous les toits qu’il ne souhaitait pas avoir d’enfants verra ainsi son vœu exaucé.
Il faut être aveugle pour ne pas voir l’ensauvagement de notre société.
Une pente glissante vers une société mortifère où l’on préfère manifestement légiférer sur le bien mourir plutôt que sur
La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.
« Ce règlement, s’il était adopté, aboutirait à obliger les États à entériner les trafics d’enfants de toutes sortes qui pourraient avoir été validés dans un État de l’Union européenne. »
La ligne Paris-Limoges avait été le symbole de l’essor de la puissance française, elle est aujourd’hui une nouvelle manifestation de son déclin. Et l’élection de la gare de Limoges comme plus belle gare de France, cette année, n’y a rien changé.