Société
Le véritable débat ne devrait pas se situer sur la levée de l’anonymat ou non, mais bien sur le recours à un tiers donneur lui-même. C’est bien là que se situe le mal originel si l’on peut dire.
La fin des temps est proche. « Anéantissement biologique », « hécatombe du vivant », « extinction de masse » : pour Sandrine Rousseau, le monde s’apprête à disparaître dans l’indifférence des puissants.
Si on accepte massivement des transgenres dans le sport, ce seront les garçons qui gagneront chez les garçons, et les garçons (devenus filles) qui gagneront chez les filles.
Le soir, les hommes retrouvent le chemin du café, jouent aux cartes et au jacquet, les femmes tricotent ou brodent avant la veillée.
Depuis quelques années, la tension monte entre les militantes intersectionnelles et leurs consœurs universalistes.
Boulevard Voltaire s’est rendu dans le Tarn-et-Garonne pour voir si les Montalbanais pensent qu’« un homme peut être enceint ».
Les sujets sociétaux sont toujours si opportuns pour occuper le débat médiatique, à l’heure des factures qui s’envolent, des pénuries qui s’annoncent, de la submersion migratoire, du chaos sécuritaire et d’une diplomatie aussi hasardeuse qu’explosive !
Quelle est cette génération qui, sous les intimidations d’un monde normé, a donné naissance à Sandrine Rousseau, Caroline De Haas, les Femen et toutes sortes de spéciwomen calibrées à l’identique ?
Mai 68 avait vu les universités s’enflammer pour mettre fin à la non-mixité des établissements. À peine soixante ans plus tard, les voilà qui s’écharpent dans l’autre sens.
La semaine dernière, l’affiche représentant un homme enceint a fait le tour des réseaux sociaux et suscité une nouvelle polémique autour du Planning familial. Cette
On ne peut pas changer d’avis tout le temps sur des sujets comme la souveraineté énergétique, la décarbonation de notre énergie, qui engagent la France pour le siècle et qui, concernant la prolifération des éoliennes, empoisonnent la vie des Français…
Ils sont nés après la Seconde Guerre mondiale. Dans les années soixante, on les appelait les baby-boomers, lorsque la France passait le cap des 50
La voilà, la cause cachée, indicible, euphémisée au possible : les incivilités. Derrière le mot abstrait, une litanie d’agressions…
On y voit assis sur un canapé un couple : la femme porte une barbe et l’homme est « enceint ».
D’après les plans d’aménagement, le nouveau quartier au cœur du 18e arrondissement de Paris possède tous les arguments pour attirer de nombreux habitants.
Vous refusez cette opprobre collective, que vous vivez comme une double peine : vous avez dû, votre vie durant, ramer à contre-courant, et vous êtes à présent solidairement cloués au pilori .
Pourquoi ai-je le sentiment qu’entre Sempé et nous, un gouffre s’est creusé ? Que s’est-il passé ?
C’est la seule association confessionnelle identifiable dans ce clip, sans doute parce qu’elle incarne aux yeux de Bruxelles le futur de l’Europe ?
Crêpage de chignon jubilatoire en vue entre féministes et progressistes. Jeanne, accusée du crime d’hérésie, l’a été comme, de nos jours, beaucoup qui s’élèvent contre le totalitarisme LGBT.
Tout est symbolique de notre société déliquescente dans cette pitoyable histoire.
Beaucoup d’avis convergent : les hauts dirigeants sont en train de sacrifier les besoins opérationnels de l’armée de l’air à la sacrosainte doctrine inclusive.
Ce que les opposants à cette loi craignaient est donc en train de se réaliser. Désormais, le désir individualiste des adultes prime sur l’intérêt supérieur de l’enfant.
Et si, dans le cœur assez abject des activistes en peau de lapin, ne brûlait que rien d’autre que la haine de ce qui, sans être forcément bourgeois, est élégant ?
Ces exactions semblent s’inscrire dans un climat de christianophobie de plus en plus prégnant en France.
« Ce qu’il manque, comme hélas souvent en France, ce ne sont pas des textes mais leur application », confie David Lisnard.
Qui a entendu parler de cette dégradation? Si on avait trouvé une tranche de jambon devant une mosquée, BFM TV aurait fait une édition spéciale. Là, rien, à part un entrefilet dans la presse régionale.
À Avignon, les soignants du service « court séjour » ont décidé d’entamer une grève illimitée.
Renaud l’avait pourtant chanté : « La mer, c’est dégueulasse, les poissons baisent dedans. »
Le véritable débat ne devrait pas se situer sur la levée de l’anonymat ou non, mais bien sur le recours à un tiers donneur lui-même. C’est bien là que se situe le mal originel si l’on peut dire.
La fin des temps est proche. « Anéantissement biologique », « hécatombe du vivant », « extinction de masse » : pour Sandrine Rousseau, le monde s’apprête à disparaître dans l’indifférence des puissants.
Si on accepte massivement des transgenres dans le sport, ce seront les garçons qui gagneront chez les garçons, et les garçons (devenus filles) qui gagneront chez les filles.
Le soir, les hommes retrouvent le chemin du café, jouent aux cartes et au jacquet, les femmes tricotent ou brodent avant la veillée.
Depuis quelques années, la tension monte entre les militantes intersectionnelles et leurs consœurs universalistes.
Boulevard Voltaire s’est rendu dans le Tarn-et-Garonne pour voir si les Montalbanais pensent qu’« un homme peut être enceint ».
Les sujets sociétaux sont toujours si opportuns pour occuper le débat médiatique, à l’heure des factures qui s’envolent, des pénuries qui s’annoncent, de la submersion migratoire, du chaos sécuritaire et d’une diplomatie aussi hasardeuse qu’explosive !
Quelle est cette génération qui, sous les intimidations d’un monde normé, a donné naissance à Sandrine Rousseau, Caroline De Haas, les Femen et toutes sortes de spéciwomen calibrées à l’identique ?
Mai 68 avait vu les universités s’enflammer pour mettre fin à la non-mixité des établissements. À peine soixante ans plus tard, les voilà qui s’écharpent dans l’autre sens.
La semaine dernière, l’affiche représentant un homme enceint a fait le tour des réseaux sociaux et suscité une nouvelle polémique autour du Planning familial. Cette
On ne peut pas changer d’avis tout le temps sur des sujets comme la souveraineté énergétique, la décarbonation de notre énergie, qui engagent la France pour le siècle et qui, concernant la prolifération des éoliennes, empoisonnent la vie des Français…
Ils sont nés après la Seconde Guerre mondiale. Dans les années soixante, on les appelait les baby-boomers, lorsque la France passait le cap des 50
La voilà, la cause cachée, indicible, euphémisée au possible : les incivilités. Derrière le mot abstrait, une litanie d’agressions…
On y voit assis sur un canapé un couple : la femme porte une barbe et l’homme est « enceint ».
D’après les plans d’aménagement, le nouveau quartier au cœur du 18e arrondissement de Paris possède tous les arguments pour attirer de nombreux habitants.
Vous refusez cette opprobre collective, que vous vivez comme une double peine : vous avez dû, votre vie durant, ramer à contre-courant, et vous êtes à présent solidairement cloués au pilori .
Pourquoi ai-je le sentiment qu’entre Sempé et nous, un gouffre s’est creusé ? Que s’est-il passé ?
C’est la seule association confessionnelle identifiable dans ce clip, sans doute parce qu’elle incarne aux yeux de Bruxelles le futur de l’Europe ?
Crêpage de chignon jubilatoire en vue entre féministes et progressistes. Jeanne, accusée du crime d’hérésie, l’a été comme, de nos jours, beaucoup qui s’élèvent contre le totalitarisme LGBT.
Tout est symbolique de notre société déliquescente dans cette pitoyable histoire.
Beaucoup d’avis convergent : les hauts dirigeants sont en train de sacrifier les besoins opérationnels de l’armée de l’air à la sacrosainte doctrine inclusive.
Ce que les opposants à cette loi craignaient est donc en train de se réaliser. Désormais, le désir individualiste des adultes prime sur l’intérêt supérieur de l’enfant.
Et si, dans le cœur assez abject des activistes en peau de lapin, ne brûlait que rien d’autre que la haine de ce qui, sans être forcément bourgeois, est élégant ?
Ces exactions semblent s’inscrire dans un climat de christianophobie de plus en plus prégnant en France.
« Ce qu’il manque, comme hélas souvent en France, ce ne sont pas des textes mais leur application », confie David Lisnard.
Qui a entendu parler de cette dégradation? Si on avait trouvé une tranche de jambon devant une mosquée, BFM TV aurait fait une édition spéciale. Là, rien, à part un entrefilet dans la presse régionale.
À Avignon, les soignants du service « court séjour » ont décidé d’entamer une grève illimitée.
Renaud l’avait pourtant chanté : « La mer, c’est dégueulasse, les poissons baisent dedans. »