Société
La sacralisation de la violence qui culmine dans la figure du djihadiste constitue une des sources de cette sous-culture. Elle n’est pas la seule.
Ils sont onze policiers à avoir mis fin à leur jour rien que pour le mois de janvier 2022. Des chiffres en hausse constante démontrant au minimum un sérieux malaise.
Dans certaines écoles, la fête des Mères est devenue « fête de tous ceux qu’on aime » : peut-on applaudir tout ce qui met en péril nos habitudes, nos relations, les rites qui permettent le fonctionnement de notre société ?
Les organisateurs se défendent de pratiquer une forme de discrimination inversée et assurent tenir à ces répartitions afin de garantir des espaces dédiés pour « s’organiser afin de trouver le meilleur moyen d’abolir les discriminations vécues ».
Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.
Une audace qui n’a évidemment pas été relevée par les médias, ceux-ci préférant souligner cette expression de l’artiste : « La France, ce pays exotique et paradoxal, rempli de gens heureux… qui adorent être malheureux. »
Chacun a sa place, unique et irremplaçable. C’est dans l’ordre naturel des choses.
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
Comme Joyeux Noël, bonne fête Maman, de souhait innocent, deviendra bientôt marqueur politique suspect
L’ambiance américaine de la fin des années 1980 et début des années 1990 (non encore « wokisée » ou soumise au politiquement correct) semble avoir façonné cette génération.
Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
Signe visible de l’islamisation de la France, les chantiers de mosquées se multiplient dans l’Hexagone. On en compterait près de 2.500 aujourd’hui.
Le témoignage d’Adélaïde, dans Valeurs actuelles, ne pouvait pas laisser indifférent Boulevard Voltaire.
La tuerie de masse de mardi, au Texas, déclenche chez les commentateurs attitrés la même réaction pavlovienne, cartésienne et typiquement nationale : interdire les armes résoudrait le problème.
L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.
Les enseignants qui ne se résignent pas et luttent à contre-courant, sanctionnant les fautes d’orthographe, faisant apprendre des règles par cœur, avec des exercices répétitifs, sont rappelés à l’ordre par leur hiérarchie.
Tout cela sert l’idéologie appelée « antispéciste », forgée par des militants pour servir la cause de la libération animale.
Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».
Il est des latitudes où le témoignage d’une femme vaut deux fois moins que celui d’un homme. Bénissons le ciel que ce ne soit pas le cas en Occident. Mais créer une disproportion inversée ne serait pas plus juste.
Enfants suicidaires, enfants violents : ils ne sont que le triste miroir des défaillances des adultes et des fractures de notre société.
Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.
La présidente de la Manif Pour Tous dénonce les projets de reconnaissance qui vont être imposés aux états et risquent de démultiplier le trafic lié à la GPA.
Du foulard scout au foulard islamique, cohabitent deux jeunesses d’un même pays qui renie son identité, submergé par le relativisme et le multiculturalisme.
La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture.
Redonnons à notre jeunesse un patrimoine à défendre, donnons-lui des raisons de se battre.
Un nouveau concept, inspiré des avant-gardistes d’Iran et d’Afghanistan, est apparu, porté aux nues par les maires écologistes de la NUPES et les hijabeuses sportives : le burkini.
En voyant dans cette « pluie d’amendes » impayées une nouvelle forme de l’acharnement de la police, Mediapart prend peut-être le problème à l’envers.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.
La sacralisation de la violence qui culmine dans la figure du djihadiste constitue une des sources de cette sous-culture. Elle n’est pas la seule.
Ils sont onze policiers à avoir mis fin à leur jour rien que pour le mois de janvier 2022. Des chiffres en hausse constante démontrant au minimum un sérieux malaise.
Dans certaines écoles, la fête des Mères est devenue « fête de tous ceux qu’on aime » : peut-on applaudir tout ce qui met en péril nos habitudes, nos relations, les rites qui permettent le fonctionnement de notre société ?
Les organisateurs se défendent de pratiquer une forme de discrimination inversée et assurent tenir à ces répartitions afin de garantir des espaces dédiés pour « s’organiser afin de trouver le meilleur moyen d’abolir les discriminations vécues ».
Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.
Une audace qui n’a évidemment pas été relevée par les médias, ceux-ci préférant souligner cette expression de l’artiste : « La France, ce pays exotique et paradoxal, rempli de gens heureux… qui adorent être malheureux. »
Chacun a sa place, unique et irremplaçable. C’est dans l’ordre naturel des choses.
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
Comme Joyeux Noël, bonne fête Maman, de souhait innocent, deviendra bientôt marqueur politique suspect
L’ambiance américaine de la fin des années 1980 et début des années 1990 (non encore « wokisée » ou soumise au politiquement correct) semble avoir façonné cette génération.
Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
Signe visible de l’islamisation de la France, les chantiers de mosquées se multiplient dans l’Hexagone. On en compterait près de 2.500 aujourd’hui.
Le témoignage d’Adélaïde, dans Valeurs actuelles, ne pouvait pas laisser indifférent Boulevard Voltaire.
La tuerie de masse de mardi, au Texas, déclenche chez les commentateurs attitrés la même réaction pavlovienne, cartésienne et typiquement nationale : interdire les armes résoudrait le problème.
L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.
Les enseignants qui ne se résignent pas et luttent à contre-courant, sanctionnant les fautes d’orthographe, faisant apprendre des règles par cœur, avec des exercices répétitifs, sont rappelés à l’ordre par leur hiérarchie.
Tout cela sert l’idéologie appelée « antispéciste », forgée par des militants pour servir la cause de la libération animale.
Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».
Il est des latitudes où le témoignage d’une femme vaut deux fois moins que celui d’un homme. Bénissons le ciel que ce ne soit pas le cas en Occident. Mais créer une disproportion inversée ne serait pas plus juste.
Enfants suicidaires, enfants violents : ils ne sont que le triste miroir des défaillances des adultes et des fractures de notre société.
Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.
La présidente de la Manif Pour Tous dénonce les projets de reconnaissance qui vont être imposés aux états et risquent de démultiplier le trafic lié à la GPA.
Du foulard scout au foulard islamique, cohabitent deux jeunesses d’un même pays qui renie son identité, submergé par le relativisme et le multiculturalisme.
La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture.
Redonnons à notre jeunesse un patrimoine à défendre, donnons-lui des raisons de se battre.
Un nouveau concept, inspiré des avant-gardistes d’Iran et d’Afghanistan, est apparu, porté aux nues par les maires écologistes de la NUPES et les hijabeuses sportives : le burkini.
En voyant dans cette « pluie d’amendes » impayées une nouvelle forme de l’acharnement de la police, Mediapart prend peut-être le problème à l’envers.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.