Société

Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».

Il est des latitudes où le témoignage d’une femme vaut deux fois moins que celui d’un homme. Bénissons le ciel que ce ne soit pas le cas en Occident. Mais créer une disproportion inversée ne serait pas plus juste.

Enfants suicidaires, enfants violents : ils ne sont que le triste miroir des défaillances des adultes et des fractures de notre société.

Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.

La présidente de la Manif Pour Tous dénonce les projets de reconnaissance qui vont être imposés aux états et risquent de démultiplier le trafic lié à la GPA.

Du foulard scout au foulard islamique, cohabitent deux jeunesses d’un même pays qui renie son identité, submergé par le relativisme et le multiculturalisme.

La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture.

Redonnons à notre jeunesse un patrimoine à défendre, donnons-lui des raisons de se battre.

Un nouveau concept, inspiré des avant-gardistes d’Iran et d’Afghanistan, est apparu, porté aux nues par les maires écologistes de la NUPES et les hijabeuses sportives : le burkini.
En voyant dans cette « pluie d’amendes » impayées une nouvelle forme de l’acharnement de la police, Mediapart prend peut-être le problème à l’envers.

Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.

Voyant la pression s’accumuler, l’établissement a rétropédalé et l’image a été retirée le lendemain.

Face à cette succession de faits, la voie était libre pour Andréa Furet, qui n’est autre que l’héroïne du téléfilm Il est elle, et qui avait déjà annoncé au JDD, en novembre dernier : « Ce serait bien d’avoir une femme trans à Miss France. Je tenterai… »

Pour ou contre le port d’un étui pénien dans l’espace public ? La question amuse les réseaux sociaux depuis qu’un Papou d’opérette a lancé sa revendication sur Twitter.
Pourquoi faudrait-il davantage s’inquiéter de l’autorisation du port du burkini à Grenoble, alors que Rennes l’autorise depuis juin 2018 ?

On découvre ainsi que la fondation soutient l’association Alliance citoyenne, à l’origine des revendications concernant le port du burkini dans les piscines municipales à Grenoble et du port du hijab pour les footballeuses…

Cette actualité n’est autre qu’une victoire parmi d’autres pour les lobbies LGBT.

L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.

Martial Lanoir est affublé de toutes sortes de qualificatifs, jetés pêle-mêle sans liens entre eux, et dont la pertinence est parfois contestable : militant d’extrême droite, complotiste, raciste, antisémite… L’objectif étant, par l’approximation avec laquelle ces termes sont utilisés, d’en faire des équivalences interchangeables.

Finalement, ces « danses de l’Europe » sont bien à l’image de ce qu’est devenue l’Europe de Bruxelles aujourd’hui : du grand n’importe quoi expérimental, inclusif et largement ouvert à tous.

Alors, qui peuvent bien être ces 26 % de partisans du « maillot couvrant » que l’on mettrait « par pudeur ou pour ne pas s’exposer au soleil » ?

Pour qu’il y ait guerre civile, toutefois, il faut qu’il y ait deux camps qui combattent. Les restrictions auxquelles sont soumis les policiers ainsi que la passivité des Français font plutôt penser à une lente soumission.

La violence y est d’une affligeante banalité tandis que les tirs de kalachnikov comme les cris des guetteurs rythment les jours et les semaines des habitants comme le faisaient, jadis, les cloches de nos églises.

La liste NUPES est-elle celle qui « sera aux manettes dans dix ans »? C’est à nous de faire en sorte que non.

Le Petit Robert participe, sciemment ou non, au combat des minorités agissantes qui ne se contentent pas de vouloir être respectées – ce qui serait légitime – mais font pression pour imposer leurs normes.

Qu’importe la négation de la réalité, qu’importe la subversion de la maternité, Chesterton avait prédit : « Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 »…

Il fallait s’y attendre : c’est la suite logique du changement du titre Dix petits nègres d’Agatha Christie en « Ils étaient dix », survenu le 26 août 2020.

Ainsi le voile est-il le bienvenu chez nous, mais pas chez les autres. Parce qu’on le porterait « en responsabilité », sans doute ?

Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».

Il est des latitudes où le témoignage d’une femme vaut deux fois moins que celui d’un homme. Bénissons le ciel que ce ne soit pas le cas en Occident. Mais créer une disproportion inversée ne serait pas plus juste.

Enfants suicidaires, enfants violents : ils ne sont que le triste miroir des défaillances des adultes et des fractures de notre société.

Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.

La présidente de la Manif Pour Tous dénonce les projets de reconnaissance qui vont être imposés aux états et risquent de démultiplier le trafic lié à la GPA.

Du foulard scout au foulard islamique, cohabitent deux jeunesses d’un même pays qui renie son identité, submergé par le relativisme et le multiculturalisme.

La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture.

Redonnons à notre jeunesse un patrimoine à défendre, donnons-lui des raisons de se battre.

Un nouveau concept, inspiré des avant-gardistes d’Iran et d’Afghanistan, est apparu, porté aux nues par les maires écologistes de la NUPES et les hijabeuses sportives : le burkini.
En voyant dans cette « pluie d’amendes » impayées une nouvelle forme de l’acharnement de la police, Mediapart prend peut-être le problème à l’envers.

Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.

Voyant la pression s’accumuler, l’établissement a rétropédalé et l’image a été retirée le lendemain.

Face à cette succession de faits, la voie était libre pour Andréa Furet, qui n’est autre que l’héroïne du téléfilm Il est elle, et qui avait déjà annoncé au JDD, en novembre dernier : « Ce serait bien d’avoir une femme trans à Miss France. Je tenterai… »

Pour ou contre le port d’un étui pénien dans l’espace public ? La question amuse les réseaux sociaux depuis qu’un Papou d’opérette a lancé sa revendication sur Twitter.
Pourquoi faudrait-il davantage s’inquiéter de l’autorisation du port du burkini à Grenoble, alors que Rennes l’autorise depuis juin 2018 ?

On découvre ainsi que la fondation soutient l’association Alliance citoyenne, à l’origine des revendications concernant le port du burkini dans les piscines municipales à Grenoble et du port du hijab pour les footballeuses…

Cette actualité n’est autre qu’une victoire parmi d’autres pour les lobbies LGBT.

L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.

Martial Lanoir est affublé de toutes sortes de qualificatifs, jetés pêle-mêle sans liens entre eux, et dont la pertinence est parfois contestable : militant d’extrême droite, complotiste, raciste, antisémite… L’objectif étant, par l’approximation avec laquelle ces termes sont utilisés, d’en faire des équivalences interchangeables.

Finalement, ces « danses de l’Europe » sont bien à l’image de ce qu’est devenue l’Europe de Bruxelles aujourd’hui : du grand n’importe quoi expérimental, inclusif et largement ouvert à tous.

Alors, qui peuvent bien être ces 26 % de partisans du « maillot couvrant » que l’on mettrait « par pudeur ou pour ne pas s’exposer au soleil » ?

Pour qu’il y ait guerre civile, toutefois, il faut qu’il y ait deux camps qui combattent. Les restrictions auxquelles sont soumis les policiers ainsi que la passivité des Français font plutôt penser à une lente soumission.

La violence y est d’une affligeante banalité tandis que les tirs de kalachnikov comme les cris des guetteurs rythment les jours et les semaines des habitants comme le faisaient, jadis, les cloches de nos églises.

La liste NUPES est-elle celle qui « sera aux manettes dans dix ans »? C’est à nous de faire en sorte que non.

Le Petit Robert participe, sciemment ou non, au combat des minorités agissantes qui ne se contentent pas de vouloir être respectées – ce qui serait légitime – mais font pression pour imposer leurs normes.

Qu’importe la négation de la réalité, qu’importe la subversion de la maternité, Chesterton avait prédit : « Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 »…

Il fallait s’y attendre : c’est la suite logique du changement du titre Dix petits nègres d’Agatha Christie en « Ils étaient dix », survenu le 26 août 2020.

Ainsi le voile est-il le bienvenu chez nous, mais pas chez les autres. Parce qu’on le porterait « en responsabilité », sans doute ?
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