Société
La France, championne de la redistribution, n’en finit pas de redistribuer. Pour quel résultat ?

Après la banlieue, le chaos gagnera la capitale. C’est ainsi.

Ce qu’on a fait subir à nos anciens – à savoir, essentiellement, la privation des liens familiaux, l’interdiction d’aller et venir, le non-respect de leur consentement -, on ne l’impose plus aux délinquants et parfois pas même aux criminels.

L’auteur n’a pas de mots assez durs pour critiquer notre système de classes préparatoires aux grandes écoles, puis de grandes écoles…

Ce qui se passe dans les hôpitaux ou dans les cabinets médicaux de ville n’est, hélas, que le reflet de l’évolution sociale actuelle que la crise du Covid ne fait qu’amplifier.

Nous étions aussi fiers de notre « système de santé » que de notre armée, et il est maintenant clair qu’il est débordé et que la médecine française est en péril.

Va-t-on enfin dire aux gens qu’ils sont responsables de leur santé ?

J’ai à peine le temps de me dire que je ne leur confierais pas les clefs de ma maison pour refaire mon isolation que je pense aussitôt que là, dans ce sas devenu piège ou souricière, je suis une victime toute trouvée, facile.
La race reprenait des couleurs avec un nouveau racisme – on n’ose pas dire repeint à neuf – appelé racialisme.

Cette « mission » véhicule des relents de tromperies, de bêtise, de mercantilisme, d’idéologie « soixante-huit tarée », de démagogie, d’incohérence.

En fait, dès que vous remettez un tant soit peu en question la doxa officielle, vous êtes complotiste.
Tous le savent : ils et elles sont des cibles.

Il convient donc de mener de profondes réformes : d’abord rétablir l’ordre dans l’éducation, ensuite reconstituer le tissu industriel qui fait tant défaut à la France.

Se contenter de peser le pour et le contre du télétravail reviendrait donc à survoler les mutations en cours et les questions à se poser, notamment en matière de flexibilité.

Eh oui, parce qu’on en est là, à fêter l’avènement de la plus belle machine à décérébrer inventée depuis l’aube de l’humanité : la tété-réalité.

Pourquoi donc avoir confiné, si c’est pour déconfiner un mois après sans résultat tangibles ?
L’histoire est glauque et se passe au Québec.
Si une déconstruction est nécessaire, déconstruisons les mythes imaginés par des minorités qui se cachent derrière de fallacieux prétextes pour tenter d’imposer leurs modes de vie et de pensée.

On se souvient du célèbre dessin de Caran d’Ache, « Un dîner en famille »…
Vouloir imposer la mixité sociale sans arrêter l’immigration de masse ne résoudra rien.

L’intégration commence par un prénom, la volonté de s’assimiler à une nation, de prendre racine dans son Histoire pour mériter d’y vivre et d’y grandir. Avec fierté, oserais-je ?

À l’issue du confinement, l’Europe manque de presque tout. De présence d’esprit, principalement. Le Britannique en tire la conclusion qui s’impose : c’est nain porte quoi.

C’est l’histoire d’une paumée partie à la dérive, de cinq pieds nickelés en mal d’aventure et d’un tireur de ficelles, tranquillement retiré en Malaisie, dans le rôle du gourou.

Qu’en France, un petit garçon d’origine étrangère s’interroge sur l’existence du prénom Pierre en dit long sur son degré d’assimilation.

C’est le visionnage d’un film racontant un exercice de simulation de pandémie mondiale réalisé le 18 octobre 2019 qui a décidé le fondateur du Puy

Les écoles européennes sont financées et indirectement gérées par la Commission européenne.

Chaque matin, je suis émerveillée par le souci que beaucoup ont pour les minorités souffrantes dont les femmes sont l’emblème historique.

Lorsque l’Occident chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraire à la fierté et à l’honneur qui les animent.
La France, championne de la redistribution, n’en finit pas de redistribuer. Pour quel résultat ?

Après la banlieue, le chaos gagnera la capitale. C’est ainsi.

Ce qu’on a fait subir à nos anciens – à savoir, essentiellement, la privation des liens familiaux, l’interdiction d’aller et venir, le non-respect de leur consentement -, on ne l’impose plus aux délinquants et parfois pas même aux criminels.

L’auteur n’a pas de mots assez durs pour critiquer notre système de classes préparatoires aux grandes écoles, puis de grandes écoles…

Ce qui se passe dans les hôpitaux ou dans les cabinets médicaux de ville n’est, hélas, que le reflet de l’évolution sociale actuelle que la crise du Covid ne fait qu’amplifier.

Nous étions aussi fiers de notre « système de santé » que de notre armée, et il est maintenant clair qu’il est débordé et que la médecine française est en péril.

Va-t-on enfin dire aux gens qu’ils sont responsables de leur santé ?

J’ai à peine le temps de me dire que je ne leur confierais pas les clefs de ma maison pour refaire mon isolation que je pense aussitôt que là, dans ce sas devenu piège ou souricière, je suis une victime toute trouvée, facile.
La race reprenait des couleurs avec un nouveau racisme – on n’ose pas dire repeint à neuf – appelé racialisme.

Cette « mission » véhicule des relents de tromperies, de bêtise, de mercantilisme, d’idéologie « soixante-huit tarée », de démagogie, d’incohérence.

En fait, dès que vous remettez un tant soit peu en question la doxa officielle, vous êtes complotiste.
Tous le savent : ils et elles sont des cibles.

Il convient donc de mener de profondes réformes : d’abord rétablir l’ordre dans l’éducation, ensuite reconstituer le tissu industriel qui fait tant défaut à la France.

Se contenter de peser le pour et le contre du télétravail reviendrait donc à survoler les mutations en cours et les questions à se poser, notamment en matière de flexibilité.

Eh oui, parce qu’on en est là, à fêter l’avènement de la plus belle machine à décérébrer inventée depuis l’aube de l’humanité : la tété-réalité.

Pourquoi donc avoir confiné, si c’est pour déconfiner un mois après sans résultat tangibles ?
L’histoire est glauque et se passe au Québec.
Si une déconstruction est nécessaire, déconstruisons les mythes imaginés par des minorités qui se cachent derrière de fallacieux prétextes pour tenter d’imposer leurs modes de vie et de pensée.

On se souvient du célèbre dessin de Caran d’Ache, « Un dîner en famille »…
Vouloir imposer la mixité sociale sans arrêter l’immigration de masse ne résoudra rien.

L’intégration commence par un prénom, la volonté de s’assimiler à une nation, de prendre racine dans son Histoire pour mériter d’y vivre et d’y grandir. Avec fierté, oserais-je ?

À l’issue du confinement, l’Europe manque de presque tout. De présence d’esprit, principalement. Le Britannique en tire la conclusion qui s’impose : c’est nain porte quoi.

C’est l’histoire d’une paumée partie à la dérive, de cinq pieds nickelés en mal d’aventure et d’un tireur de ficelles, tranquillement retiré en Malaisie, dans le rôle du gourou.

Qu’en France, un petit garçon d’origine étrangère s’interroge sur l’existence du prénom Pierre en dit long sur son degré d’assimilation.

C’est le visionnage d’un film racontant un exercice de simulation de pandémie mondiale réalisé le 18 octobre 2019 qui a décidé le fondateur du Puy

Les écoles européennes sont financées et indirectement gérées par la Commission européenne.

Chaque matin, je suis émerveillée par le souci que beaucoup ont pour les minorités souffrantes dont les femmes sont l’emblème historique.

Lorsque l’Occident chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraire à la fierté et à l’honneur qui les animent.
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