Société
Voir le Premier ministre transformé en chef de rayon, égrenant péniblement ce que les Français sont autorisés à acheter, ou pas, n’aide pas pour asseoir sa légitimité ni sa crédibilité.
Les opposants à la chasse à courre n’ont pas hésité, dès le début, à nous montrer du doigt et à accuser nos chiens.
Avec le second confinement, on assiste à une grande confusion dans la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement : beaucoup de contradictions et
Aujourd’hui, chez nous, c’est la « novaction » qui règne : on ne se contente plus de signifier le contraire de ce que l’on dit, on agit à l’inverse de ce qui devrait être logiquement fait.
Marie de Hennezel est psychologue clinicienne et écrivain. Dans son dernier ouvrage, L’Adieu interdit, elle livre ses réflexions sur cette « folie hygiéniste » propre
Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…
Comment obtempérer quand la déraison est au pouvoir ?
Donc, les livres ne sont pas « essentiels »…
On leur interdit de vivre, ils doivent se contenter de survivre.
Fonctionnant à l’auto-allumage, ils ne sont pas moins dangereux que les professionnels estampillés djihad.
Il y a effectivement de quoi.
Virginie Gautier est la mère d’un des policiers mis en cause dans l’affaire Adama Traoré.
Des conducteurs de bus de la RATP ont appelé à retirer des flancs de leur véhicule une publicité pour le film Borat.
On y apprend, notamment, qu’un grand nombre d’éducateurs sportifs seraient fichés S.
Si peu de précautions dans la civilisation du « principe de précaution »…
Tareq Oubrou met le doigt là où ça fait mal, soit le déficit théologique frappant l’islam depuis des siècles, réalité que nombre de musulmans ont du mal à admettre…
La terre, les morts… Tout cela vous a des relents barrésiens suspects.
Il semble que, aussi bien dans le monde enseignant, qui a longtemps plié l’échine, que dans la population, les discours lénifiants ne prennent plus guère.
François-Xavier Bellamy, député LR au Parlement européen, revient sur l’attentat islamiste de Nice : « Aujourd’hui, les mots ne suffisent plus. Il n’y a pas
Emmanuel Macron s’est joué de nous.
On est loin du tableau de Gabrielle d’Estrées.
Emmanuel Macron a annoncé, le 28 octobre, la mise en place d’un reconfinement généralisé sur l’ensemble du territoire français pour endiguer la propagation du Covid-19. Réaction
À la veille du nouveau confinement annoncé par Emmanuel Macron, le Docteur Bertrand Legrand fait le point sur la situation sanitaire. Selon lui, « On a
Le corbillard SUV aura ses pneus crevés. Seules les funérailles en grandes pompes à vélo seront tolérées par Anne Hidalgo.
Le coronavirus fait des ravages. Dans les poumons, certes, mais aussi dans les têtes.
Le droit au mauvais goût et celui de déplaire doivent être inaliénables.
Profitant de la confusion régnant durant l’intervention des pompiers sur cette scène d’accident spectaculaire, des « jeunes » se sont permis de fouiller la voiture accidentée.
La délation du rétif au confinement ou le regard assassin au distrait sans masque sont des signes troublants qui, pour le coup, devraient rappeler de mauvais souvenirs. Il est vrai que la notion même de couvre-feu y invite.
Voir le Premier ministre transformé en chef de rayon, égrenant péniblement ce que les Français sont autorisés à acheter, ou pas, n’aide pas pour asseoir sa légitimité ni sa crédibilité.
Les opposants à la chasse à courre n’ont pas hésité, dès le début, à nous montrer du doigt et à accuser nos chiens.
Avec le second confinement, on assiste à une grande confusion dans la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement : beaucoup de contradictions et
Aujourd’hui, chez nous, c’est la « novaction » qui règne : on ne se contente plus de signifier le contraire de ce que l’on dit, on agit à l’inverse de ce qui devrait être logiquement fait.
Marie de Hennezel est psychologue clinicienne et écrivain. Dans son dernier ouvrage, L’Adieu interdit, elle livre ses réflexions sur cette « folie hygiéniste » propre
Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…
Comment obtempérer quand la déraison est au pouvoir ?
Donc, les livres ne sont pas « essentiels »…
On leur interdit de vivre, ils doivent se contenter de survivre.
Fonctionnant à l’auto-allumage, ils ne sont pas moins dangereux que les professionnels estampillés djihad.
Il y a effectivement de quoi.
Virginie Gautier est la mère d’un des policiers mis en cause dans l’affaire Adama Traoré.
Des conducteurs de bus de la RATP ont appelé à retirer des flancs de leur véhicule une publicité pour le film Borat.
On y apprend, notamment, qu’un grand nombre d’éducateurs sportifs seraient fichés S.
Si peu de précautions dans la civilisation du « principe de précaution »…
Tareq Oubrou met le doigt là où ça fait mal, soit le déficit théologique frappant l’islam depuis des siècles, réalité que nombre de musulmans ont du mal à admettre…
La terre, les morts… Tout cela vous a des relents barrésiens suspects.
Il semble que, aussi bien dans le monde enseignant, qui a longtemps plié l’échine, que dans la population, les discours lénifiants ne prennent plus guère.
François-Xavier Bellamy, député LR au Parlement européen, revient sur l’attentat islamiste de Nice : « Aujourd’hui, les mots ne suffisent plus. Il n’y a pas
Emmanuel Macron s’est joué de nous.
On est loin du tableau de Gabrielle d’Estrées.
Emmanuel Macron a annoncé, le 28 octobre, la mise en place d’un reconfinement généralisé sur l’ensemble du territoire français pour endiguer la propagation du Covid-19. Réaction
À la veille du nouveau confinement annoncé par Emmanuel Macron, le Docteur Bertrand Legrand fait le point sur la situation sanitaire. Selon lui, « On a
Le corbillard SUV aura ses pneus crevés. Seules les funérailles en grandes pompes à vélo seront tolérées par Anne Hidalgo.
Le coronavirus fait des ravages. Dans les poumons, certes, mais aussi dans les têtes.
Le droit au mauvais goût et celui de déplaire doivent être inaliénables.
Profitant de la confusion régnant durant l’intervention des pompiers sur cette scène d’accident spectaculaire, des « jeunes » se sont permis de fouiller la voiture accidentée.
La délation du rétif au confinement ou le regard assassin au distrait sans masque sont des signes troublants qui, pour le coup, devraient rappeler de mauvais souvenirs. Il est vrai que la notion même de couvre-feu y invite.
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