Société
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Les gauches sociétales, américaine et française, ne cesseront de jouer les pompiers pyromanes…
Qu’est-ce que la loi Avia ? Un bâillon, une muselière à la presse, une entrave à la libre expression.
Certains chrétiens se félicitent que leur religion ne se confonde plus avec le pouvoir. Je pense, au contraire, que la privatisation de la foi lui est fatale.
Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.
Alors qu’elle avait déjà fait un don de quatre millions de dollars à des associations dédiées à l’aide aux enfants noirs, les fabricants de ces briques invasives ont interrompu, durant 24 heures, la promotion de leurs voitures de police avec ses mini-policiers très méchants.
Les émeutes qui secouent les États-Unis depuis le meurtre d’un voyou par un policier qui ne vaut pas mieux sont sans rapport avec le racisme.
Réouverture tant attendue des restaurants oblige, notre voyage culturel s’invite à table cette semaine.
De tout temps, la question de la famille ne repose pas sur le sentiment de l’amour, mais plutôt sur celui de la communauté d’intérêts.
Il y a cinq ans, maintenant, nous étions tous sommés d’être Charlie. On embrassait la police, on fraternisait dans les carrefours, plus rien ne serait comme avant…
Les petits Blancs de bonne famille peuvent s’agenouiller autant qu’ils veulent : l’insoluble question raciale, qui empoisonne le pays depuis toujours, ne peut qu’évoluer vers toujours plus de tensions, de communautarisme et de décohésion.
Le drame, c’est qu’à force d’expliquer à nos Français « de branche » que tous leurs malheurs venaient de la malveillance de leurs compatriotes « de souche », les uns ont fini par se croire victimes des racistes, alors que les autres étaient poussés à le devenir peu ou prou.
Alors même que l’antiracisme est devenu obsessionnel dans un pays qui ignorait les races, on assiste à un double mouvement fondé sur une transposition de la situation américaine.
Rien qu’une infortune discrète en France périphérique.
Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.
Il regarde une dernière fois son zinc fatigué et ne peut éviter les douleurs éreintées, les mollets grossis, les poumons encrassés.
Nous nous glorifions sans cesse d’avoir aboli la peine de mort. On a inventé la peine de vivre. Une trouvaille de la modernité.
Il suffit d’une étincelle pour embraser la plus grande nation au monde.
Mais pourquoi Michel Onfray entend-il poser les jalons d’une réconciliation (méta)politique entre la gauche sociale et la droite nationale, non sans difficultés, à l’image de son dernier débat avec l’éditorialiste Éric Zemmour sur CNews ?
Donc, les restaurants vont rouvrir, avec la phase 2 du déconfinement. Une table sur deux ou trois, le masque pour circuler, les serveurs encagoulés, les mains gantées et le gel en tartine. Miam !
Et pourquoi pas, aussi, une distribution de tétines pour tout le monde ?
D’un côté, des enfants dociles et craintifs, qui frémissent dès que les gendarmes les somment de s’arrêter au bord de la route. De l’autre, des enfants mal élevés qui crachent et jurent, voire bien pire, à la première contrariété.
Ce plastique honni jusqu’à l’apparition d’un méchant virus qui renvoie la pollution aux oubliettes de l’Histoire.
École, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé a de quoi décourager d’apprendre et d’acheter…
Conscientes que bien des stéréotypes obsolètes et blessants sont véhiculés par la terminologie propre au jeu d’échecs, les instances dirigeantes se sont réunies et ont décidé de ce qui suit.
Si les évêques continuent de mettre voix, mitres et crosses au placard, le troupeau des fidèles va se disperser faute de bergers, les maires feront de leurs églises des salles de spectacle…
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Les gauches sociétales, américaine et française, ne cesseront de jouer les pompiers pyromanes…
Qu’est-ce que la loi Avia ? Un bâillon, une muselière à la presse, une entrave à la libre expression.
Certains chrétiens se félicitent que leur religion ne se confonde plus avec le pouvoir. Je pense, au contraire, que la privatisation de la foi lui est fatale.
Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.
Alors qu’elle avait déjà fait un don de quatre millions de dollars à des associations dédiées à l’aide aux enfants noirs, les fabricants de ces briques invasives ont interrompu, durant 24 heures, la promotion de leurs voitures de police avec ses mini-policiers très méchants.
Les émeutes qui secouent les États-Unis depuis le meurtre d’un voyou par un policier qui ne vaut pas mieux sont sans rapport avec le racisme.
Réouverture tant attendue des restaurants oblige, notre voyage culturel s’invite à table cette semaine.
De tout temps, la question de la famille ne repose pas sur le sentiment de l’amour, mais plutôt sur celui de la communauté d’intérêts.
Il y a cinq ans, maintenant, nous étions tous sommés d’être Charlie. On embrassait la police, on fraternisait dans les carrefours, plus rien ne serait comme avant…
Les petits Blancs de bonne famille peuvent s’agenouiller autant qu’ils veulent : l’insoluble question raciale, qui empoisonne le pays depuis toujours, ne peut qu’évoluer vers toujours plus de tensions, de communautarisme et de décohésion.
Le drame, c’est qu’à force d’expliquer à nos Français « de branche » que tous leurs malheurs venaient de la malveillance de leurs compatriotes « de souche », les uns ont fini par se croire victimes des racistes, alors que les autres étaient poussés à le devenir peu ou prou.
Alors même que l’antiracisme est devenu obsessionnel dans un pays qui ignorait les races, on assiste à un double mouvement fondé sur une transposition de la situation américaine.
Rien qu’une infortune discrète en France périphérique.
Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.
Il regarde une dernière fois son zinc fatigué et ne peut éviter les douleurs éreintées, les mollets grossis, les poumons encrassés.
Nous nous glorifions sans cesse d’avoir aboli la peine de mort. On a inventé la peine de vivre. Une trouvaille de la modernité.
Il suffit d’une étincelle pour embraser la plus grande nation au monde.
Mais pourquoi Michel Onfray entend-il poser les jalons d’une réconciliation (méta)politique entre la gauche sociale et la droite nationale, non sans difficultés, à l’image de son dernier débat avec l’éditorialiste Éric Zemmour sur CNews ?
Donc, les restaurants vont rouvrir, avec la phase 2 du déconfinement. Une table sur deux ou trois, le masque pour circuler, les serveurs encagoulés, les mains gantées et le gel en tartine. Miam !
Et pourquoi pas, aussi, une distribution de tétines pour tout le monde ?
D’un côté, des enfants dociles et craintifs, qui frémissent dès que les gendarmes les somment de s’arrêter au bord de la route. De l’autre, des enfants mal élevés qui crachent et jurent, voire bien pire, à la première contrariété.
Ce plastique honni jusqu’à l’apparition d’un méchant virus qui renvoie la pollution aux oubliettes de l’Histoire.
École, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé a de quoi décourager d’apprendre et d’acheter…
Conscientes que bien des stéréotypes obsolètes et blessants sont véhiculés par la terminologie propre au jeu d’échecs, les instances dirigeantes se sont réunies et ont décidé de ce qui suit.
Si les évêques continuent de mettre voix, mitres et crosses au placard, le troupeau des fidèles va se disperser faute de bergers, les maires feront de leurs églises des salles de spectacle…