Souvenir 14-18
Pour une chaîne publique, prendre sciemment comme exemple emblématique des poilus un soldat violent et violeur est révoltant.
Rien qu’à Verdun, 80.000 soldats sur les 300.000 morts sont portés disparus. Il reste à les retrouver et les identifier. Mission impossible ?
Déjà surveillé depuis le printemps 1917, le député de la Sarthe est pris « la main dans le sac ».
En ce jeudi 3 janvier, de nombreux journaux de la presse quotidienne nationale et régionale reviennent, dans leurs unes, sur deux affaires qui vont connaître un certain retentissement.
Comme toute déflagration, la Grande Guerre fut pour les chercheurs et les scientifiques une occasion de se surpasser.
C’est tout à la gloire et à l’honneur des scénaristes et dessinateurs de faire revivre ce personnage attachant.
Leur sacrifice n’a pas été vain et un siècle ou presque après la fin de la guerre, nous leur devons beaucoup.
Il y a cent ans, le 11 septembre 1917, mourait Georges Guynemer. Qu’en reste-t-il au-delà de quelques rues portant son nom ?
Le naufrage du Lusitania, coulé par le U-20 en mai 1915, provoque la colère du président Woodrow Wilson.
La version la plus probable est que Guynemer a été tué en combat.
Au début du mois d’août 1917, les Allemands reprennent des forces et tentent de contrecarrer l’offensive alliée lancée en juillet.
Les pupilles de la nation ne sont pas des enfants assistés : ce sont des enfants envers qui la nation a contracté une dette sacrée.
Selon les récits de l’époque, la foule ovationne avec enthousiasme les drapeaux en haillon des unités qui défilent…
Il y a tout juste cent ans, les Américains débarquaient et défilaient à Paris.
Les parlementaires mobilisés ont profité du vide juridique qui leur était accordé pour privilégier le mandat parlementaire au détriment des tranchées
Ce ne sont pas moins de 3.000 jeunes soldats qui, lundi 18 juin 1917, défilent dans le magnifique cadre du Jardin des Tuileries, sous un soleil de plomb.
Les Midinettes sont ces jeunes ouvrières et vendeuses dans la couture parisienne qui se contentent, à midi, d’un repas sommaire…
C’est vraiment la guerre sur tous les fronts… Il reste plus de 560 jours à tenir avant l’armistice.
Le cortège de personnalités se rend à la statue de Lafayette, place du Carrousel, saluée par la foule en liesse aux balcons et le long des trottoirs…
100.000 morts, blessés, disparus et prisonniers côté français, et 80.000 côté allemand.
Le nombre des victimes parle de lui-même et résulte des erreurs militaires évidentes…
Pour une chaîne publique, prendre sciemment comme exemple emblématique des poilus un soldat violent et violeur est révoltant.
Rien qu’à Verdun, 80.000 soldats sur les 300.000 morts sont portés disparus. Il reste à les retrouver et les identifier. Mission impossible ?
Déjà surveillé depuis le printemps 1917, le député de la Sarthe est pris « la main dans le sac ».
En ce jeudi 3 janvier, de nombreux journaux de la presse quotidienne nationale et régionale reviennent, dans leurs unes, sur deux affaires qui vont connaître un certain retentissement.
Comme toute déflagration, la Grande Guerre fut pour les chercheurs et les scientifiques une occasion de se surpasser.
C’est tout à la gloire et à l’honneur des scénaristes et dessinateurs de faire revivre ce personnage attachant.
Leur sacrifice n’a pas été vain et un siècle ou presque après la fin de la guerre, nous leur devons beaucoup.
Il y a cent ans, le 11 septembre 1917, mourait Georges Guynemer. Qu’en reste-t-il au-delà de quelques rues portant son nom ?
Le naufrage du Lusitania, coulé par le U-20 en mai 1915, provoque la colère du président Woodrow Wilson.
La version la plus probable est que Guynemer a été tué en combat.
Au début du mois d’août 1917, les Allemands reprennent des forces et tentent de contrecarrer l’offensive alliée lancée en juillet.
Les pupilles de la nation ne sont pas des enfants assistés : ce sont des enfants envers qui la nation a contracté une dette sacrée.
Selon les récits de l’époque, la foule ovationne avec enthousiasme les drapeaux en haillon des unités qui défilent…
Il y a tout juste cent ans, les Américains débarquaient et défilaient à Paris.
Les parlementaires mobilisés ont profité du vide juridique qui leur était accordé pour privilégier le mandat parlementaire au détriment des tranchées
Ce ne sont pas moins de 3.000 jeunes soldats qui, lundi 18 juin 1917, défilent dans le magnifique cadre du Jardin des Tuileries, sous un soleil de plomb.
Les Midinettes sont ces jeunes ouvrières et vendeuses dans la couture parisienne qui se contentent, à midi, d’un repas sommaire…
C’est vraiment la guerre sur tous les fronts… Il reste plus de 560 jours à tenir avant l’armistice.
Le cortège de personnalités se rend à la statue de Lafayette, place du Carrousel, saluée par la foule en liesse aux balcons et le long des trottoirs…
100.000 morts, blessés, disparus et prisonniers côté français, et 80.000 côté allemand.
Le nombre des victimes parle de lui-même et résulte des erreurs militaires évidentes…
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