Terrorisme
Dans une note confidentielle adressée, dimanche dernier, aux préfets, le ministre de l’Intérieur a appelé à des « mesures de vigilance accrues » contre des actions terroristes visant notre pays, dans le cadre du « djihad individuel ».
« Sentinelle » a des synonymes, tels « guetteur » ou « factionnaire », ce qui suggère plutôt une attitude passive. Est-ce le nombre ou l’armement de guerre, très mal adapté, qui peut dissuader un individu déterminé ?
Selon plusieurs sources, une femme aurait été décapitée, un homme égorgé.
Après l’attentat islamiste de Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame de l’Assomption, au micro de Boulevard Voltaire,
Christian Estrosi annonce la fermeture des églises à Nice. Jusqu’à quand ? Et par contagion, ne va-t-on pas décider, c’est plus prudent, d’étendre cette mesure à tout le pays ?
Un nouvel attentat islamiste a eu lieu, le 29 octobre, à Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame.
Un nouvel attentat islamiste a eu lieu, le 29 octobre, à Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame.
Un nouvel attentat islamiste a eu lieu, le 29 octobre, à Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame.
À lire le texte complet du décret, c’est plus à la nébuleuse islamiste radicale de Barakacity et à son président Idriss Sihamedi, fiché S, que s’attaque le ministre de l’Intérieur.
Il risque jusqu’à sept ans de prison pour apologie du terrorisme et provocation à commettre un acte terroriste.
Depuis le samedi 24 octobre, et à la suite des déclarations d’Emmanuel Macron sur les caricatures de Mahomet, les appels au boycott des produits français
Qu’il est choquant de lire, surtout quand l’auteur est un magistrat, qu’un contexte devrait moduler la liberté d’expression.
Parler de séparatisme islamiste constitue un leurre, voire un contresens.
Par-dessus la foule des invités, comme sur une coupe glacée, le bon sirop de République vient tout édulcorer et parfumer…
Robert Ménard a fait afficher des caricatures de Mahomet de Charlie Hebdo dans sa ville de Béziers, en hommage à l’enseignant Samuel Paty.
Jérémie Bréaud, le maire LR de Bron, près de Lyon, a été menacé de décapitation par des tags découverts dans plusieurs lieux de la commune.
Samuel Paty n’est pas mort pour des caricatures, Samuel Paty est mort pour la liberté.
La liberté d’expression absolue n’existe pas en droit français. Croire le contraire est illusoire.
Ce billet iconoclaste dit sans doute tout haut ce que d’autres pensent tout bas.
Le lien pourtant limpide entre le djihadisme et les écoles chrétiennes échappa à cette foule inculte, dont ne tardèrent pas à fuser cris et sifflements.
Selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, ces derniers ont « manifestement lancé une fatwa » contre Samuel Paty.
Dans une note confidentielle adressée, dimanche dernier, aux préfets, le ministre de l’Intérieur a appelé à des « mesures de vigilance accrues » contre des actions terroristes visant notre pays, dans le cadre du « djihad individuel ».
« Sentinelle » a des synonymes, tels « guetteur » ou « factionnaire », ce qui suggère plutôt une attitude passive. Est-ce le nombre ou l’armement de guerre, très mal adapté, qui peut dissuader un individu déterminé ?
Selon plusieurs sources, une femme aurait été décapitée, un homme égorgé.
Après l’attentat islamiste de Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame de l’Assomption, au micro de Boulevard Voltaire,
Christian Estrosi annonce la fermeture des églises à Nice. Jusqu’à quand ? Et par contagion, ne va-t-on pas décider, c’est plus prudent, d’étendre cette mesure à tout le pays ?
Un nouvel attentat islamiste a eu lieu, le 29 octobre, à Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame.
Un nouvel attentat islamiste a eu lieu, le 29 octobre, à Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame.
Un nouvel attentat islamiste a eu lieu, le 29 octobre, à Nice, où trois personnes ont été tuées à l’arme blanche, à la basilique Notre-Dame.
À lire le texte complet du décret, c’est plus à la nébuleuse islamiste radicale de Barakacity et à son président Idriss Sihamedi, fiché S, que s’attaque le ministre de l’Intérieur.
Il risque jusqu’à sept ans de prison pour apologie du terrorisme et provocation à commettre un acte terroriste.
Depuis le samedi 24 octobre, et à la suite des déclarations d’Emmanuel Macron sur les caricatures de Mahomet, les appels au boycott des produits français
Qu’il est choquant de lire, surtout quand l’auteur est un magistrat, qu’un contexte devrait moduler la liberté d’expression.
Parler de séparatisme islamiste constitue un leurre, voire un contresens.
Par-dessus la foule des invités, comme sur une coupe glacée, le bon sirop de République vient tout édulcorer et parfumer…
Robert Ménard a fait afficher des caricatures de Mahomet de Charlie Hebdo dans sa ville de Béziers, en hommage à l’enseignant Samuel Paty.
Jérémie Bréaud, le maire LR de Bron, près de Lyon, a été menacé de décapitation par des tags découverts dans plusieurs lieux de la commune.
Samuel Paty n’est pas mort pour des caricatures, Samuel Paty est mort pour la liberté.
La liberté d’expression absolue n’existe pas en droit français. Croire le contraire est illusoire.
Ce billet iconoclaste dit sans doute tout haut ce que d’autres pensent tout bas.
Le lien pourtant limpide entre le djihadisme et les écoles chrétiennes échappa à cette foule inculte, dont ne tardèrent pas à fuser cris et sifflements.
Selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, ces derniers ont « manifestement lancé une fatwa » contre Samuel Paty.
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