Tribune

Une fois de plus, passées l’émotion et les déclarations tonitruantes des responsables de l’ordre public, rien n’a changé et rien ne changera vraisemblablement avant longtemps.

On ne peut donc pas ici faire de reproches à la France, d’autant que dans le cadre de ces OPEX, des soldats de notre pays sont morts en Afrique pour des causes souvent éloignées des problématiques prioritaires des Français.

L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.

Mes vœux pour la France ne sont pas de simples vœux mais une détermination, ils appellent à l’action…

Mon sentiment est que l’État n’agit pas contre la hausse des prix, mais à la suite d’une hausse des prix que les majorités au pouvoir depuis 2012 ont elles-mêmes provoquée par leurs décisions nationales et européennes.

Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.

« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.

Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.

Désormais, la priorité est à la refondation plutôt qu’à la déconstruction.

Comment apporter à notre jeunesse de France un regard mûr sur l’amour humain si nous nous abaissons sans cesse à un champ lexical grossier, choquant, subversif et vulgaire ?

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.

Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…

Il apparaît nécessaire de créer une commission interparlementaire chargée de juger le délit d’opinion ou de langage du parlementaire.

Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

Le 6 décembre, un collectif de viticulteurs de Gironde appelle à manifester à Bordeaux « pour un plan social », à savoir l’arrachage volontaire et subventionné de 15.000 hectares de vignes, sur les 110.000 que compte la Gironde.

Ni la pauvreté ni l’immigration ne fabriquent de la violence autant que la déconstruction et l’affaiblissement des esprits.

Le trafic de stupéfiants en France est une des activités criminelles les plus prospères.

Comptant moins de moins en sur les forces de l’ordre et sur la justice pour assurer leur protection, nombreux sont ceux qui font désormais le choix de se préparer au pire.

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

C’est compliqué de sauver la planète avec des politiques de gribouille.

En visite au salon du « Made in France » le jeudi 10 novembre 2022, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire

Gérald Darmanin a déclaré au mois de septembre sur BFM que l’État islamique avait perdu la guerre sur le théâtre des opérations extérieures, que le risque était aujourd’hui principalement endogène et que l’on pouvait s’attendre à de nouveaux Bataclan.

Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.

La France doit réagir comme son opinion très majoritaire l’exige et cesser de diffamer un gouvernement italien qui ne fait qu’appliquer intelligemment le droit à la demande de sa nation.

Sur le cas particulier des rodéos urbains, force est de constater que leur nombre ne cesse de croître jusqu’à devenir un phénomène de société à très forte connotation sécuritaire.

Par humanisme instrumentalisé, par laxisme et crainte des ONG et de leur propagande idéologique à affronter, les gouvernements pratiquent la politique de l’autruche.

On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l’agriculture bio…

Une fois de plus, passées l’émotion et les déclarations tonitruantes des responsables de l’ordre public, rien n’a changé et rien ne changera vraisemblablement avant longtemps.

On ne peut donc pas ici faire de reproches à la France, d’autant que dans le cadre de ces OPEX, des soldats de notre pays sont morts en Afrique pour des causes souvent éloignées des problématiques prioritaires des Français.

L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.

Mes vœux pour la France ne sont pas de simples vœux mais une détermination, ils appellent à l’action…

Mon sentiment est que l’État n’agit pas contre la hausse des prix, mais à la suite d’une hausse des prix que les majorités au pouvoir depuis 2012 ont elles-mêmes provoquée par leurs décisions nationales et européennes.

Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.

« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.

Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.

Désormais, la priorité est à la refondation plutôt qu’à la déconstruction.

Comment apporter à notre jeunesse de France un regard mûr sur l’amour humain si nous nous abaissons sans cesse à un champ lexical grossier, choquant, subversif et vulgaire ?

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.

Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…

Il apparaît nécessaire de créer une commission interparlementaire chargée de juger le délit d’opinion ou de langage du parlementaire.

Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

Le 6 décembre, un collectif de viticulteurs de Gironde appelle à manifester à Bordeaux « pour un plan social », à savoir l’arrachage volontaire et subventionné de 15.000 hectares de vignes, sur les 110.000 que compte la Gironde.

Ni la pauvreté ni l’immigration ne fabriquent de la violence autant que la déconstruction et l’affaiblissement des esprits.

Le trafic de stupéfiants en France est une des activités criminelles les plus prospères.

Comptant moins de moins en sur les forces de l’ordre et sur la justice pour assurer leur protection, nombreux sont ceux qui font désormais le choix de se préparer au pire.

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

C’est compliqué de sauver la planète avec des politiques de gribouille.

En visite au salon du « Made in France » le jeudi 10 novembre 2022, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire

Gérald Darmanin a déclaré au mois de septembre sur BFM que l’État islamique avait perdu la guerre sur le théâtre des opérations extérieures, que le risque était aujourd’hui principalement endogène et que l’on pouvait s’attendre à de nouveaux Bataclan.

Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.

La France doit réagir comme son opinion très majoritaire l’exige et cesser de diffamer un gouvernement italien qui ne fait qu’appliquer intelligemment le droit à la demande de sa nation.

Sur le cas particulier des rodéos urbains, force est de constater que leur nombre ne cesse de croître jusqu’à devenir un phénomène de société à très forte connotation sécuritaire.

Par humanisme instrumentalisé, par laxisme et crainte des ONG et de leur propagande idéologique à affronter, les gouvernements pratiquent la politique de l’autruche.

On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l’agriculture bio…
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