Tribune

Contrairement au vocabulaire largement employé par les écologistes, l’eau ne se consomme pas. Elle circule.

Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.

À l’instar de nombreux autres services publics de l’État tels notre police, nos armées, nos écoles ou nos hôpitaux, notre système carcéral est désormais à bout de souffle.

Ces violences manifestent le mépris de la loi, de l’ordre public, de l’autorité mais aussi du respect d’autrui. C’est l’annonce du retour au chaos et à la barbarie.

S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.

Les métropolitains n’en ont pas toujours suffisamment conscience. Nous disposons du deuxième domaine maritime mondial et, depuis des décennies, rien n’a été réellement entrepris pour le valoriser et même le connaître.

La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.

C’est curieux que les écologistes le défendent mordicus car le loup est un destructeur de biodiversité. Il s’attaque à tout et sans aucun discernement

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité

Alors oui, il y a un problème de contrôle de l’immigration en France, mais une fois qu’on a dit ça, on fait quoi ? Une fois qu’on a posé le bon diagnostic, on fait quoi ?

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.

L’Ukraine représente à son paroxysme la vassalité de la France à la politique américaine.

Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?

Ce bouleversement arrive au pire moment pour la police nationale.

Durant quatre heures, les différents intervenants ont échangé sur ces sujets. Pas un n’a rappelé le contexte de montée de l’islamisme en Europe…

La situation est-elle toujours maîtrisée ou est-elle à la merci d’une nouvelle provocation qui nourrira l’engrenage de la guerre ?

On criera évidemment à la machination de la toujours méchante extrême droite.

Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.

Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…

Les gesticulations guerrières ne riment à rien, pas plus que la croyance dans la pérennité de ce modèle d’organisation européenne : l’Histoire est un cimetière d’empires.

Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !

Prétendre que l’on devrait la paix en Europe à une construction européenne d’inspiration marchande et ultralibérale constitue une supercherie supplémentaire.

Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.

Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.

Comment ne pas voir dans cette opération une amorce de remplacement de population qui peut engendrer le pire ?

Contrairement au vocabulaire largement employé par les écologistes, l’eau ne se consomme pas. Elle circule.

Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.

À l’instar de nombreux autres services publics de l’État tels notre police, nos armées, nos écoles ou nos hôpitaux, notre système carcéral est désormais à bout de souffle.

Ces violences manifestent le mépris de la loi, de l’ordre public, de l’autorité mais aussi du respect d’autrui. C’est l’annonce du retour au chaos et à la barbarie.

S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.

Les métropolitains n’en ont pas toujours suffisamment conscience. Nous disposons du deuxième domaine maritime mondial et, depuis des décennies, rien n’a été réellement entrepris pour le valoriser et même le connaître.

La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.

C’est curieux que les écologistes le défendent mordicus car le loup est un destructeur de biodiversité. Il s’attaque à tout et sans aucun discernement

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité

Alors oui, il y a un problème de contrôle de l’immigration en France, mais une fois qu’on a dit ça, on fait quoi ? Une fois qu’on a posé le bon diagnostic, on fait quoi ?

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.

L’Ukraine représente à son paroxysme la vassalité de la France à la politique américaine.

Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?

Ce bouleversement arrive au pire moment pour la police nationale.

Durant quatre heures, les différents intervenants ont échangé sur ces sujets. Pas un n’a rappelé le contexte de montée de l’islamisme en Europe…

La situation est-elle toujours maîtrisée ou est-elle à la merci d’une nouvelle provocation qui nourrira l’engrenage de la guerre ?

On criera évidemment à la machination de la toujours méchante extrême droite.

Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.

Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…

Les gesticulations guerrières ne riment à rien, pas plus que la croyance dans la pérennité de ce modèle d’organisation européenne : l’Histoire est un cimetière d’empires.

Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !

Prétendre que l’on devrait la paix en Europe à une construction européenne d’inspiration marchande et ultralibérale constitue une supercherie supplémentaire.

Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.

Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.

Comment ne pas voir dans cette opération une amorce de remplacement de population qui peut engendrer le pire ?
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