Union Européenne
Épuisé physiquement, débordé administrativement et désespéré irrémédiablement, un agriculteur met fin à ses jours toutes les 48 heures.
Ça va « barder » dans le secteur bancaire…
L’économie nationale s’étiole à vue d’œil : le PIB de 2016 par habitant (seul significatif) est revenu au niveau de 2008 (en € constants !).
C’est un nationalisme lisse, propre sur lui et « fréquentable » que nos deux gentlemen veulent initier.
On sait que pendant la ruée vers l’or, ceux qui se sont vraiment enrichis, ce sont les marchands de pioches !
Ce n’est pas, hélas, la fin de l’anti-saga européenne du Rafale français…
Qu’ils trouvent la mort à la guerre qu’ils ont choisi de mener est sans doute la seule solution pour éviter qu’ils ne viennent se la donner ici.
Emmanuel Macron a fait son offrande au mondialisme en chantant la gloire de l’UE le 26 septembre.
Les États n’étant plus à même de jouer le rôle de rempart, le cadre régional apparaît comme le cocon permettant de se protéger de la globalisation.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
En ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire.
Emmanuel Macron a la solution : on va fabriquer un peuple européen.
L’Europe ne peut se limiter au domaine du rêve ou du pari.
Le travailleur français se trouve pris en tenaille entre un grand patronat antinational et le dumping social des pays est-européens de l’Union européenne
Emmanuel Macron s’est affirmé en Sorbonne comme un parfait et très orthodoxe théologien de l’Européisme.
Au défi allemand, Emmanuel Macron répond par l’offensive, prenant le risque de se découvrir et d’effrayer ses interlocuteurs.
S’agissant des migrants, on peut en effet parler de crise, mais surtout pour les peuples européens !
Alors que Marine Le Pen promet une « refondation historique » de son parti, Robert Ménard invite la présidente du Front National à tout mettre sur la table.
Depuis 2007, le secteur a connu une croissance de 278 %.
Face à lui, les deux partis libéraux-libertaires font pâle figure.
Pour le Conseil de l’Europe, la procédure visant à déterminer l’âge de celui qui affirme être mineur « ne doit pas être imposée ».
Ainsi va la France d’aujourd’hui, qui préfère les migrants à Colbert !
Le Brexit est une chance pour la France, ne serait-ce que pour la langue française.
Le président de la Commission veut proposer, pour lutter contre les flux de « migrants », la création de « voies de migration légales » !
La France et le Royaume Uni devront rapidement réfléchir à leur destin commun, bien plus qu’avec l’Allemagne.
28 % seulement des électeurs du FN sont favorables à la sortie de la zone euro.
Le scandale sanitaire de la semaine s’appelle glyphosate, plus connu des jardiniers et agriculteurs sous le nom de Roundup.
Les bombes laissées par le gouvernement Valls interdiront les bonnes nouvelles sur le déficit public.
Épuisé physiquement, débordé administrativement et désespéré irrémédiablement, un agriculteur met fin à ses jours toutes les 48 heures.
Ça va « barder » dans le secteur bancaire…
L’économie nationale s’étiole à vue d’œil : le PIB de 2016 par habitant (seul significatif) est revenu au niveau de 2008 (en € constants !).
C’est un nationalisme lisse, propre sur lui et « fréquentable » que nos deux gentlemen veulent initier.
On sait que pendant la ruée vers l’or, ceux qui se sont vraiment enrichis, ce sont les marchands de pioches !
Ce n’est pas, hélas, la fin de l’anti-saga européenne du Rafale français…
Qu’ils trouvent la mort à la guerre qu’ils ont choisi de mener est sans doute la seule solution pour éviter qu’ils ne viennent se la donner ici.
Emmanuel Macron a fait son offrande au mondialisme en chantant la gloire de l’UE le 26 septembre.
Les États n’étant plus à même de jouer le rôle de rempart, le cadre régional apparaît comme le cocon permettant de se protéger de la globalisation.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
En ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire.
Emmanuel Macron a la solution : on va fabriquer un peuple européen.
L’Europe ne peut se limiter au domaine du rêve ou du pari.
Le travailleur français se trouve pris en tenaille entre un grand patronat antinational et le dumping social des pays est-européens de l’Union européenne
Emmanuel Macron s’est affirmé en Sorbonne comme un parfait et très orthodoxe théologien de l’Européisme.
Au défi allemand, Emmanuel Macron répond par l’offensive, prenant le risque de se découvrir et d’effrayer ses interlocuteurs.
S’agissant des migrants, on peut en effet parler de crise, mais surtout pour les peuples européens !
Alors que Marine Le Pen promet une « refondation historique » de son parti, Robert Ménard invite la présidente du Front National à tout mettre sur la table.
Depuis 2007, le secteur a connu une croissance de 278 %.
Face à lui, les deux partis libéraux-libertaires font pâle figure.
Pour le Conseil de l’Europe, la procédure visant à déterminer l’âge de celui qui affirme être mineur « ne doit pas être imposée ».
Ainsi va la France d’aujourd’hui, qui préfère les migrants à Colbert !
Le Brexit est une chance pour la France, ne serait-ce que pour la langue française.
Le président de la Commission veut proposer, pour lutter contre les flux de « migrants », la création de « voies de migration légales » !
La France et le Royaume Uni devront rapidement réfléchir à leur destin commun, bien plus qu’avec l’Allemagne.
28 % seulement des électeurs du FN sont favorables à la sortie de la zone euro.
Le scandale sanitaire de la semaine s’appelle glyphosate, plus connu des jardiniers et agriculteurs sous le nom de Roundup.
Les bombes laissées par le gouvernement Valls interdiront les bonnes nouvelles sur le déficit public.
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