Union Européenne
Voilà le rythme vertigineux de l’invasion à laquelle doit faire face l’Italie.
Emmanuel Macron vient de se dévoiler.
Les peuples d’Europe n’ont pas dit leur dernier mot.
L’État français ne se contente pas de faillir à ses devoirs vis-à-vis de ses propres citoyens, il viole aussi gravement ses obligations européennes.
Les Grecs sont à nouveau surendettés.
Monsieur le Maire de la Napoule n’a qu’à aller se rhabiller, la laïcité en France ne s’appliquera qu’aux employés qui y consentiront.
Ce n’est pas parce que certaines maladies ont pratiquement disparu qu’il faudrait baisser les bras. C’est même tout le contraire.
Beata Szydło évoque le fait qu’on ne peut pas laisser se produire des situations où des gens enlèvent à d’autres le droit de vivre.
À la faveur d’une crise migratoire qui ne cesse de s’accentuer semble émerger une nouvelle Union européenne, profondément divisée.
Il arrive que l’histoire repasse parfois les plats.
Depuis sept mois déjà, les habitants du Rif marocain manifestent quasi quotidiennement contre le régime qui, selon eux, les a abandonnés.
La CJUE se moque du monde qui n’est pas le sien, éthéré et tranquille dans la ouate du droit.
Les travaillistes retrouvent du poil de la bête.
En première analyse, le profil de monsieur Ikken semble étonnant.
Lundi, le ministre annonçait le NON définitif de son pays à la politique de relocalisation.
Nos amis britanniques ont montré dans l’Histoire que, face à la terreur totalitaire, ils savaient être pragmatiques et pionniers.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.
La civilisation européenne, nous la revendiquons, nous la chérissons, nous voulons la mettre en valeur et nous voulons la protéger.
La propagande, c’est mieux quand ça commence tôt.
L’économie britannique se porte au mieux. Le chômage est au plus bas depuis 1975.
Un curieux retour au calme, après le conte de fées présidentiel, s’est emparé des écrans de télévision.
À lire vos menaces contre la Pologne, il semblerait que vous reprochiez à ce pays d’allier pratiques de dumping social et violation des principes de l’UE.
En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ».
Le pays grondera s’il applique le taux uniforme à l’impôt sur le revenu.
Menacée par la Commission puis par le Parlement européen si elle persistait dans son refus d’accueillir son quota de « migrants », la Pologne a fait savoir qu’elle ne céderait pas.
La moralisation de la vie politique, c’était un engagement fort de l’équipe en place, mais qui a déjà beaucoup de plomb dans l’aile…
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
Notre cher Président Macron disait hier encore : « C’est la jeunesse européenne qui a été attaquée »
Voilà le rythme vertigineux de l’invasion à laquelle doit faire face l’Italie.
Emmanuel Macron vient de se dévoiler.
Les peuples d’Europe n’ont pas dit leur dernier mot.
L’État français ne se contente pas de faillir à ses devoirs vis-à-vis de ses propres citoyens, il viole aussi gravement ses obligations européennes.
Les Grecs sont à nouveau surendettés.
Monsieur le Maire de la Napoule n’a qu’à aller se rhabiller, la laïcité en France ne s’appliquera qu’aux employés qui y consentiront.
Ce n’est pas parce que certaines maladies ont pratiquement disparu qu’il faudrait baisser les bras. C’est même tout le contraire.
Beata Szydło évoque le fait qu’on ne peut pas laisser se produire des situations où des gens enlèvent à d’autres le droit de vivre.
À la faveur d’une crise migratoire qui ne cesse de s’accentuer semble émerger une nouvelle Union européenne, profondément divisée.
Il arrive que l’histoire repasse parfois les plats.
Depuis sept mois déjà, les habitants du Rif marocain manifestent quasi quotidiennement contre le régime qui, selon eux, les a abandonnés.
La CJUE se moque du monde qui n’est pas le sien, éthéré et tranquille dans la ouate du droit.
Les travaillistes retrouvent du poil de la bête.
En première analyse, le profil de monsieur Ikken semble étonnant.
Lundi, le ministre annonçait le NON définitif de son pays à la politique de relocalisation.
Nos amis britanniques ont montré dans l’Histoire que, face à la terreur totalitaire, ils savaient être pragmatiques et pionniers.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.
La civilisation européenne, nous la revendiquons, nous la chérissons, nous voulons la mettre en valeur et nous voulons la protéger.
La propagande, c’est mieux quand ça commence tôt.
L’économie britannique se porte au mieux. Le chômage est au plus bas depuis 1975.
Un curieux retour au calme, après le conte de fées présidentiel, s’est emparé des écrans de télévision.
À lire vos menaces contre la Pologne, il semblerait que vous reprochiez à ce pays d’allier pratiques de dumping social et violation des principes de l’UE.
En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ».
Le pays grondera s’il applique le taux uniforme à l’impôt sur le revenu.
Menacée par la Commission puis par le Parlement européen si elle persistait dans son refus d’accueillir son quota de « migrants », la Pologne a fait savoir qu’elle ne céderait pas.
La moralisation de la vie politique, c’était un engagement fort de l’équipe en place, mais qui a déjà beaucoup de plomb dans l’aile…
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
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