[SANTÉ] Angoisse pour les labos : avec Trump, fin des changements de sexe

« Je vais signer un décret interdisant les opérations de changement de sexe sur les mineurs, nous allons enquêter sur les laboratoires qui ont gagné des millions en abusant d'eux et nous allons approuver une loi qui dit qu'il n'y a que deux genres : masculin et féminin » : il n'aura pas fallu attendre longtemps... Dans les heures qui ont suivi son élection, Donald Trump donne le ton et renverse la donne. Les États-Unis sont submergés par la vague wokiste : plus d'un million d'individus s'identifient comme transgenres et près de 9.000 opérations transgenres sont effectuées, chaque année. Le sujet fracture le pays : ces derniers mois, plus de la moitié des États américains s'organisaient pour protéger les mineurs contre les traitements de changement de sexe des mineurs contre une administration Biden ultra-progressiste.
Les États-Unis, théâtre des expérimentations de genre du Dr Money
L'idéologie du genre (« gender studies », aux États-Unis), qui considère que l'identité sexuelle de l'être humain dépend de son « ressenti », a pris racine à partir des années 50, en Amérique. Elle s'est concrétisée à coups de bistouri d'un certain professeur John Money qui, en 1966, passe de la théorie à la pratique. Sous prétexte de remédier à une circoncision ratée, le psychologue et sexologue prive le malheureux petit Bruce Reimer, 22 mois, de ses organes génitaux et encourage ses parents à l'éduquer « en tant que fille ». Un drame pour le jeune homme qui n'acceptera jamais sa transition forcée, repassera sur le billard à l'âge de 15 ans pour retrouver son identité masculine et finira par se suicider à l'âge de 38 ans en laissant un livre pour raconter son histoire. À la suite du Dr Money, d'autres penseurs américains, et en particulier la féministe radicale Judith Butler, œuvrent sans relâche pour faire entrer la théorie du genre dans les cerveaux américains. L'essor du mouvement LGBT et ses multiples déclinaisons puis l'action du mouvement woke feront le reste, précipitant des individus de plus en plus jeunes dans des traitements de transition. Selon les estimations du Williams Institute, un « centre de recherche LGBTQ+ » de l’UCLA Law, en 2022, il y avait dans le pays « 300.000 jeunes âgés de 13 à 17 ans se déclarant transgenres ».
Abigail Shrier et Matt Walsh, lanceurs d'alerte
Face à cette déferlante, en 2020, Abigail Shrier, journaliste au Wall Street Journal, publie une enquête journalistique - Dommages irréversibles, comment le phénomène transgenre séduit les adolescentes (Éd. le cherche midi, en VF) - qui alerte sur les méthodes d'une « stratégie militante mêlant lobbying, réseaux sociaux et intimidation, le rôle actif des collèges et universités ainsi que la détresse des parents ». L'ouvrage, d'abord blacklisté et retiré des ventes Amazon, finira par connaître un succès retentissant. D'autres influenceurs comme Matt Walsh, dans son documentaire What is a woman?, apportent leur pierre dans la lutte contre l'activisme trans.
Des États réagissent et adoptent des législations pour mettre à l'abri les mineurs contre les traitements médicaux hormonaux et chirurgicaux de transition. Le bras de fer juridique et législatif s'engage contre le gouvernement de Joe Biden qui se targue d'avoir nommé la première femme trans au poste de secrétaire à la Santé, Rachel Lévine. À l'été 2024, son ministère de la Santé, sous couvert d'interdiction des discriminations fondées sur l'identité de genre, publie l'« Affordable Care Act » qui oblige corps médical et assureurs à accepter les traitements des transgenre et fait échec aux législations protectrices des États. Au même moment, Elon Musk, l'homme qui a juré « détruire le virus woke » - drame familial oblige -, entre en campagne aux côtés de Donald Trump...
RACHEL LEVINE pic.twitter.com/ldCekt1EpK
— PsychoCichlidSlayer (@TGBClayCreation) November 14, 2024
C'est dans ce contexte tendu que Donald Trump, mi-novembre, détaille son plan pour « arrêter les mutilations chimiques et émotionnelles de la jeunesse : interdiction des bloqueurs de puberté et des interventions chirurgicales de changement de genre chez les mineurs ; fin de la propagande pour le changement de genre par les agences fédérales ; fin de la propagande dans les écoles sur le sujet ! » Un programme ultra ambitieux à côté duquel nos timides propositions de loi françaises déposées au Sénat et à l'Assemblée nationale font pâle figure. Donald Trump, lui, s'attaque aux racines du mal : l'endoctrinement des jeunes cerveaux.
Énorme !
Donald #Trump a « un plan pour arrêter les mutilations chimiques et émotionnelles de la jeunesse » ! (cf vidéo ⤵️)
- « Interdiction des bloqueurs de puberté et des interventions chirurgicales de changement de genre chez les mineurs » !
- Fin de la propagande pour le… pic.twitter.com/Hb1Ds2t1SK— Florian Philippot (@f_philippot) November 14, 2024
Un véritable coup de pied dans une fourmilière bien rodée. Car le marché de la transition de genre est lucratif : estimé, selon la firme Global Market, à 1,6 milliard de dollars en 2023, avec une croissance prévisible de 11 % par an au point d'atteindre les 6 milliards en 2030. ONG, organismes publics, laboratoires pharmaceutiques et fondations privées qui prennent leur part du gâteau sont parfaitement connus. Le coup d'arrêt des pratiques devrait être un défi à la hauteur du futur ministre de la Santé, Robert Kennedy Jr., missionné par le futur président pour « faire le ménage dans le secteur de la santé ». Certains lobbys pharmaceutiques vont y perdre des plumes. La curée a déjà commencé.
Trump donne carte blanche à Robert Kennedy Jr. pour faire le ménage dans le secteur de la santé.
Réunion de crise dans l’industrie pharmaceutique, avec Pfizer en première ligne…
pic.twitter.com/ULC2mDsGS8— Tribune Populaire (@TribunePop23) November 6, 2024
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42 commentaires
C’est une très bonne mesure, qui ferra de grosses économies dans les Caisses d’Assurances Maladies Etasuniennes ! Parce que vous devez savoir, c’est qu’un changement sexe, où de genre chez une personne, couterait entre 60 milles Dollars et 70 milles Dollars ! C’est très cher et très couteux ! Hervé de Néoules !
Trump continue, comme lors de son premier mandat, à être censuré dans ce qu’il fait de bien. Aucun média mainstream ne parle de cette prise de décision anti-woke partagé par la majorité, pas plus que de ses appels tonitruants à un cesser le feu immédiat en Ukraine. Par contre, s’il avait autorisé les missiles longue-portée, il aurait eu droit à un tollé de récriminations interplanétaires, accusé, jugé, condamné, exécuté et même excommunié comme dangereux va-t’en-guerre. Ces omissions journalistiques distinguent les média d’information des média de propagande et de désinformation.
Good job Donald !
Elon Musk avait averti, Donald Trump le fait.
Mais quoi de plus normal que de protéger des enfants sur les effets irréversibles de cette transition que beaucoup regrettent lorsqu’ils sont réellement en âge de comprendre ?
Comment des parents peuvent permettre à un enfant de 5 ans à changer de sexe ?
Que dire ? ouf….
Espérons que Trump aura des balais suffisamment grands pour faire cet énorme ménage.
Enfin un homme qui a le courage de ses opinions. C’est ce qui nous manque en Europe avec une exception bien française qui est l’interdiction de toutes formes de courage.
La chirurgie esthétique ne rapportait plus assez (rappelons que Veran a muté du cardio à l’esthétique). Il est vrai que depuis l’affaire des implants mammaires, il y a eu un refroidissement dans le désir. Donc, ces soignants véreux ont trouvé un autre eldorado avec ces changements de sexe. Autant un adulte est majeur et vacciné pour choisir de faire à sa guise (à condition que ce ne soit pas payé par la Sécu, et donc par mes cotisations). Mais pour un enfant mineur, c’est totalement ignoble et abject.
En France on n’est pas à la veille de lutter contre cette absurdité vu que notre SS rembourse pour certains la totalité des « soins » à 100 % !!!!
c’est incroyable! alors que si vous vous faites soigner les dents, ou une nouvelle paire de lunettes, c’est vous qui payez le maximum! ne pensez-vous pas qu’on est dans un monde fou ?
Le monde n’est pas fou, il est mené par des fous dangereux. Retour au Moyen-Age et à la Nef des Fous, sous prétexte de progrès.
J’aime Trump et lui souhaite d’être le héros Chrétien du monde comme dit dans les prophéties Biblique. Je plussoye complètement à son interdiction de changement de sexe aux mineurs, de même il est contre l’avortement total jusqu’à la naissance du bébé, il est comme en France pas dépasser 3 mois, après c’est naissance obligatoire, 3 mois pour choisir c’est largement suffisant.
D’accord avec vous.
L’avenir des laboratoires de recherche humaine c’est la conception d’enfants hors utérus.
C’est parfaitement justifié. Il faut évidemment interdire les opérations irréversible de changement de sexe pour des adolescents.
Vivement qu’un clone de Trump apparaisse en France pour mettre un terme à toutes nos dérives
On a Zemmour
On peut espérer que d’ici 10-15 ans nous prendrons le même chemin.
Hélas, bien trop tard pour 1 voire 2 générations sacrifiées sur l’autel de l’idéologie woke !
Et voilà un homme logique. Il serait temps que l’on prenne exemple en France, cette France où l’on n’arrive pas à soigner de vrais pathologies et où des patients meurent faute d’être pris à temps en charge dans les services d’urgence. C’est d’autant plus aberrant que ces traitements soient, pour certains, pris en charge en France, que la dysphorie de genre n’est sont pas considérée comme une pathologie ; au contraire, ceux qui traitent ces gens de « malades » risquent même d’être traduits en justice. Alors pourquoi ces changements de sexe sont pris en charge par l’Assurance Maladie s’il ne s’agit pas de maladies ? Une fois de plus, on marche sur la tête.
Dr Money ou … docteur Jekyll ? Hélas, aux USA il a fait des émules, mais pas que !! Quant à Judith Butler, comment être « féministe » et prôner qu’il n’existe pas de genre ?