[SANTÉ] Effets indésirables : fallait-il vraiment vacciner contre le Covid ?

Pour beaucoup, le Covid-19 est déjà un lointain souvenir ou une surprise diagnostique devant un gros rhume. Toutefois, parmi les 200.000 Français qui ont signalé à la pharmacovigilance des effets indésirables des vaccins - souvent brefs, il est vrai -, certains leur imputent une infirmité quotidienne persistante telle que thrombose, myocardite ou péricardite séquellaires, ainsi que des neuropathies évolutives.
On est légitimement interpellé par l’apparition d’une pathologie, quelques heures après une administration médicamenteuse, mais la succession de deux faits ne signe pas forcément un lien de causalité entre eux, contrairement au coq Chantecler qui s'imaginait, par son chant, faire se lever le soleil.
Le pot de terre contre le pot de fer
Ce qui constitue un premier problème pour une recherche en responsabilité juridique, surtout quand une clause d’irresponsabilité d’éventuels effets secondaires du vaccin - ou, plus précisément, de transfert de charge de la réparation de la responsabilité du laboratoire vers les États - a été conclue avec les fabricants, surtout sous l’égide de Mme von der Leyen dont la transparence n’est pas la vertu cardinale.
Alors, pour ceux qui se battent, aujourd’hui, pour faire reconnaître un responsable à leur état, c’est le pot de terre contre le pot de fer. L’Office national d'indemnisation des accidents médicaux, éventuel payeur en dernier ressort, n’économise pas les moyens du contribuable pour jouer de toutes les expertises et contre-expertises face à des plaignants, eux, plus démunis, même aidés par des associations.
Bénéfices/risques ?
Il est communément admis, par ailleurs, que les vaccins qu’on nous a imposés (157 millions d’injections, en France) ont sauvé des vies. Mais combien ? L’Organisation mondiale de la santé estime que la vaccination contre le Covid-19 a permis, entre 2020 et 2023, d’éviter un peu plus d’un million de décès en Europe (dont 96 % de personnes de plus de 60 ans). Ce ratio de 1/700 justifiait-il une vaccination générale, et surtout celles de millions de mineurs qui ne risquaient pas grand-chose ? Peut-être pas, mais il est plus facile de critiquer quand on connaît la fin du film...
Ce qui pose le deuxième problème des dégâts collatéraux individuels « acceptables » au regard des intérêts d’une collectivité. Si les 7 % de pertes de militaires tolérés en manœuvre ne sont qu’une vieille rumeur, on sait que les ponts noirs routiers ne sont considérés comme accidentogènes, et alors restructurés en conséquence, qu’après analyse du nombre d'accidents, de blessés et de morts, et de l’évaluation économique des vies potentiellement sauvées. En matière médicale, et étant supposés parfaitement connus les bénéfices et les risques d’un traitement préventif d’une masse de population, quelle proportion de dégâts est-elle acceptable ? « Moralement ou politiquement ? », c’est toute la question.
On le sent, beaucoup d’eau passera encore sous les ponts avant que trouvent un terrain d’entente les complotistes compulsifs, d’un côté, et ceux qui trouvent que ministres et administrations ont tout fait bien comme il fallait, de l’autre.

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51 commentaires
La vaccination contre le covid19 a permis d’éviter entre 2020 et 2023 un peu plus de 1million de décès? Et de 2023 à aujourd’hui et jusqu’à dans une dizaine d’années, combien de décès à imputer à cette hystérie vaccinatoire?
Depuis cette époque, dans mon quotidien de presse, je n’ai jamais vu la rubrique nécrologique aussi fournie.
Le hasard, sans doute.
Consultez Euromomo, le site de la mortalité en Europe.
Rien ne justifiera jamais cette folie, cette dictature covidiste.
« Un clause d’irresponsabilité » exigée par les labos pour que, en cas d’effets secondaires, ce soit l’Etat qui paye, c’est à dire, nous. Cela en dit long sur l’incertitude de leur « pseudo » vaccin. A eux, les sous, à l’Etat de régler la note grâce aux contribuables qui avaient, en plus, l’obligation de se faire vacciner. Une farce qui fait encore rire jaune.
Je pense que l’on est en dessous de la vérité avec des pathologies lourdes, voire mortelles, déclarées dans les mois qui ont suivi, j’ai de nombreux exemples proches. Si c’était à refaire, je ne le ferais pas, et je ne suis pas anti-vax mais contre celui-ci, oui. Mais je vais passer pour un complotiste, non, je suis réaliste et observateur.
Véran, cachez ce saint qu’on ne saurait trop voir
Le diable se cache dans les détails…
Article insipide indigne de BD VOLTAIRE.
A vous lire on comprend que vous êtes pro-vaccins ! Au contraire, Bd Voltaire s’honore en donnant la parole aux victimes de ce scandale !
Je ne me suis pas faite vacciner, non pas parce que je serais « anti-vax » (ce que je ne suis pas du tout), mais contre ce vaccin-là uniquement, « mis au point » en un an au lieu de dix ; on ne me fera jamais croire qu’à la fois son efficacité et son innocuité ne pouvaient être garanties en si peu de temps. Par ailleurs, je fais partie de ceux qui ont toujours pensé que le Professeur R. avait raison. Je l’ai écouté à de nombreuses reprises, et tout ce qu’il disait ne pouvait que sembler logique. Enfin, comment un professeur de médecine avait pu être mondialement reconnu comme il l’a été, et comme par hasard, du jour au lendemain, être traité comme le pire des charlatans ? C’était parfaitement stupide (pour ne pas dire plus).
Tout à fait d’accord avec vous, J’ai pris ce qui est la base de l’hydroxychloroquine contre le paludisme, lorsque j’étais soldat en afrique, j’ai 84 ans, jamais un problème, ni mes camarades non plus.
Je ne vois pas comment on peut compter les personnes qui, grâce aux vaccins, ne sont pas mortes et auraient dû mourrir ? Les vaccins étant par définition, préventifs et non curatifs ? Quant aux effets secondaires…Beaucoup de signalements n’ont jamais abouti donc non comptabilisés. Heureusement, on commence, avec beaucoup de mal à lever le voile.
C’est à dire…qu’avoir Olivier Véran comme avocat…n’est pas forcément une bonne affaire !
article bienvenu, mais tardif et – hélas, trois hélas – beaucoup trop tiède pour ne pas dire timoré. Sans injection massive de vérité, d’objectivité et d’honnêteté intellectuelle, le grand malade que nous sommes
ne s’en sortira pas . Allez cher Dr. encore un effort ! Un peu de courage…
Quelle est l’utilité de cet article ? Aux USA, les coupables et les procés se déroulent normalement
Après ma première injection (astra zenecca qui a d’ailleurs disparu de la circulation), j’ai fait un ictus amnésique de plusieurs heures ……. (je ne voulais pas me faire vacciner, mais rappelez-vous, on devait présenter partout son certificat de vaccination, donc j’ai fait comme tout le monde).
Non pas comme tout le monde, personnellement j’ai bien vécu sans pass et je ne suis pas la seule et j’ai beaucoup de peine pour ceux qui ont réellement été obligés de se vacciner (boulot EHPAD…) et n’ont pu trouver de parade.
Moi de même. Pas de vaccin, pas de pass. J’ai continué de vivre de la même manière. Il faut dire qu’habiter la campagne, ça a du bon. De plus, je me suis trouvé au contact de 6 personnes de mon entourage( dont mon épouse , l’une de mes filles et son compagnon, dûment vaccinées tous les deux par obligation professionnelle) atteintes du covid. Aucun effet indésirable , pas même un rhume.
Lorsque j’ai révélé ceci à mon médecin traitant lors d’une visite de routine, celle-ci m’a jeté un regard sceptique, comme si j’étais un phénomène de foire, un extra-terrestre ou un affabulateur. J’en ai profité pour enfoncer un peu plus le clou en lui révélant que je ne me faisais pas vacciner contre la grippe saisonnière qui ne m’ a jamais affecté et que la gastro-entérite m’était totalement inconnue.
Ma femme développait un cancer du sein deux mois après la deuxième injection d’Astra zénéca.
Précision : les substances injectées NE SONT PAS DES VACCINS, au sens biologique et juridique du terme. Ces sont des substances nouvelles nommées ARN messager : une copie d’une portion de l’ADN d’ un ou plusieurs gènes d’un organisme biologique. On est dans le génie génétique . Les vaccins eux sont une substance active active e à pathogénicité atténuée obtenue d’une forme tuée ou affaiblie du micro-organisme pathogène, ou par une de ses toxines qui stimule les défense immunitaires (anticorps). Les ARN messagers ont été administrés, eux, sans que soient respectés les protocoles (très longs) pour vérifier l’absence de réactions dangereuses (primum non nocere). On a shunté la pharmacovigilance ! Un procès s’impose
Cette histoire du vaccin qui « aurait empeché des millions de morts » se rapproche de celle du gars qui avait accroché plein de clochettes aux arbre son verger. « Pourquoi tu as mis des clochettes ? », demande son voisin. « Pour éviter les girafes. » répond-il. « Mais, il n’y a pas de girafes, par ici » . « Ben oui, c’est parce que j’ai mis des clochettes. »… j’ai connu des gens vaccinés 3 fois qui on failli y rester et, dans un couple de personnes très âgées vivant sous le même toit et ayant refusé le vaccin, l’un hospitalisé 3 semaines dans un état grave tandis que le conjoint n’a jamais rien eu…
Les deux vrais problèmes sont les suivants : premièrement, faire croire au public en l’absence d’effets indésirables alors qu’ils auraient été connus et répertoriés au moment de la mise en place du pass sanitaire.
Deuxièmement l’obligation vaccinale généralisée tout en en connaissant les risques et en sachant que la moyenne d’âge des personnes supposées décédées du Covid se situaient aux alentours des 80 ans.
Des risques sanitaires graves et inutiles et des atteintes aux libertés individuelles ont donc été commis avec cette crise Covid, et nous attendons tous que justice soit faite en évitant pour ce faire de piocher une fois de plus dans le porte-monnaie des contribuables.