[Satire à vue] Enfin une poupée Barbie transgenre !
Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
Rien ne la distingue de la poupée Barbie habituelle, mais la direction de la maison Mattel nous certifie que celle-ci est transgenre. Nous la croyons sur parole. Créé à l'image de l'actrice-activiste LGBT Laverne Cox, le jouet présente un visage plus ou moins ressemblant au modèle original. Seule similitude constatée à ce jour, mais ne chipotons pas, le cadeau enchantera les enfants effarés par les stéréotypes. Devant les parents émerveillés viendra le moment du déshabillage... Suspense... Qu'y a-t-il, tout en haut de ces longues jambes effilées ? La déception sera grande pour l'ensemble de la famille. Identique aux versions précédentes, il n'y aura rien. Sniff ! À quoi bon transgenrer s'il s'agit de nous offrir ce spectacle désolant d'un espace neutre dépourvu de tout signe progressiste. Un petit oiseau façon coucou suisse surgissant de l'entre-jambes eût amusé petits et grands ! Et donné l'heure !
Le slalom entre les stéréotypes de la firme Mattel est en soi un spectacle réjouissant. Le consommateur de s'interroger : l'aspect le plus ludique de cette avalanche de nouveaux modèles ne réside-t-il pas dans ces contorsions infinies destinées à séduire la mouvance woke ? Le directeur du marketing de la société n'est-il pas plus amusant que les jouets qu'il promeut ?
Récidivistes en diable, les torturés du wokisme proposaient, en 2019, une gamme d'olibrius non genrée. Pas très Ken, assez peu Barbie, indécise, parfois indécis quant à la nature de son mariage. Un François Hollande miniature était attendu en vain... Ne sachant plus comment échapper aux foudres des minorités, les dirigeants de Mattel mirent sur le marché d'improbables modèles paraissant destinés à la clientèle hospitalière. Une poupée Barbie sur chaise roulante, une unijambiste avec prothèse, une autre sans cheveux et enfin - clou du spectacle – un Ken atteint de vitiligo (perte de couleur de peau). La version avec peste bubonique ou toute autre maladie ludique manquait à l'appel.
L'actrice transgenre à l'origine de cette innovation invisible espère - allez savoir pourquoi - « que les enfants de toutes les identités de genre pourront regarder cette Barbie et rêver ». Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
Jany Leroy
Chroniqueur à BVoltaire, auteur pour la télévision (Stéphane Collaro, Bêbête show, Jean-Luc Delarue...)
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26 commentaires
Un internaute parle plus bas d’une « Barbie Pouffiasse », un copain de mon fils avait inventé un « Ken Bois de Boulogne ».
Toujours pertinent et hilarant, Monsieur Leroy !
Hélas, comme il le souligne régulièrement dans ses chroniques,nous sommes tombés bien bas dans la bêtise…le parti du rire
désamorce malgré tout la déprime et fait un bien fou !
L’éducation par le jouet, ben voyons
mondialisme = destruction morale, destruction physique, instauration du chaos généralisé.
Après les transgenres à quand la trans-connerie ?
Elle est déjà là et bien là.
Les conneries de l’infime minorité semblent prendre le dessus sur l’immense majorité.
Jusqu’où allons-nous laisser-faire ???…
ou une grosse partie des media s’en empare pour nous détourner des vrais problèmes
tant que nous serons gouvernés par des incapables et des nuls nous subirons ce lavage de cerveau
Dans le genre woke, j’ai découvert hier qu’étaient organisées à Sion, la capitale suisse des Alpes, les SEC, des compétitions « mixes » de, accrochez-vous, trottinettes électriques, si, si !
Le tout avec un Tralala égal à celui des courses automobiles polluantes.
J’ai cherché à savoir si les « trans » étaient invités à participer, je n’ai pas eu de réponse, « on » n’avait pas prévu la question dans le manuel woke des réponses prémâchées.
Petit à petit on va toucher le fond.
Je crois hélas que nous y sommes déjà…
Je me souviens du sketch des Inconnus « Barbie Pouffiasse ». Hilarants et visionnaires, ils n’auraient pourtant jamais imaginé qu’on ait un jour une barbie trans….La réalité dépasse de très loin la fiction.
De toute façon, avec le grand remplacement, ils peuvent oublier leur barbie transgenre. Les musulmans n’acheteront jamais de telles horreurs à leurs filles. Le progressisme ne passera pas chez ces populations qui vont bientôt dominer. Y’a t’il déjà une Barbie burka ? Ça va faire un carton !
Que la névrose de quelques individus se transforme en phénomène de société soit incompréhensible, c’est une chose. Mais, que les tourments qui agitent ces malheureux soient exploités par des gens sans scrupules flairant une opportunité de business supplémentaire, ça, c’en est une autre.
Pauvre monde devenu FOU
Un Jany Leroy une fois encore en grande forme.
J’ai adoré : « Un petit oiseau façon coucou suisse surgissant de l’entre-jambes eût amusé petits et grands ! Et donné l’heure ! ». J’en ris encore.
Quant au « François Hollande en miniature » que j’attends avec impatience, j’espère qu’il sera affublé d’un casque de scooter …
Le jeu de Go avec ce mouvement continue !
A quand le jour où nous perdons la partie ?
Quand est-ce qu’un haut dirigeant méritera ce nom de DIRIGEANT et tordra le bras à cette mouvance ?
Il y a eu, au nom de la diversité, d’autres types de barbie lancés a grand renfort de publicité qui ont fait un « flop! ».
Quels sont les tarés qui oseront offrir cet objet à un gamin ?
sans doute aucun parent ne l’offrira, par contre il y aura toujours des collectionneurs mais ça n’enrichira pas la firme Mattel. tout cela finira dans la vraie vie et dans la vie des barbies par un gros flop, je l’espère car on a d’autres préoccupations à gérer.
Pourquoi pas une poupée non genrée modulable avec un kit d’organes amovibles permettant des changements de sexe au gré de l’humeur du moment ?
Avec le célèbre » Monsieur Patate », on a déjà un peu ça !
Très bonne proposition.
Bravo.
Mais il faudra une double garde-robe.