[Satire à vue] Lâchez-lui l’utérus que diable !
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Lorsque RTL qualifie un livre de « drôle », « piquant » et « au vitriol », il y a de fortes raisons de s'attendre à une quelconque rebellitude imbibée de sucrerie mondialiste. À la surprise générale, le pensum de la féministe Fiona Schmidt n'a pas été proclamé « dérangeant » et « transgressif ». La déception se lit sur le visage du lecteur car la cause défendue par l'auteur mérite de prendre les armes pour lutter à ses côtés.
Le titre de son brûlot révolutionnaire expose clairement la nature de sa revendication : Lâchez-nous l'utérus ! (Hachette Pratique). Le cri de la victime déchire la nuit dans laquelle était plongé RTL. Le temps du réveil est venu. « En finir avec la charge maternelle » complète l'injonction exprimée sur la couverture. La militante est en proie aux attaques d'un vieux monde qui l'accuse de ne jamais avoir souhaité enfanter.
De toutes parts, la culpabilisation se fait oppressante. À la boulangerie, chez la crémière, dans les salons et les familles, des index se pointent vers la pauvresse. « Mais comment se fait-il ? Mais pourquoi ? Mais comment ? » En lieu et place de bravos et de médailles, l'individu moyen se montre dubitatif et interrogateur. La dame se targue au lieu de déplorer et devient ainsi la bête curieuse d'un monde prévu pour s'auto-régénérer. « On voit le visage des gens se fermer un peu. On voit un peu de pitié sur le visage », déclare la militante au micro de Flavie Flament. Les lampadaires s'éteignent sur son passage, les commerçants tirent les rideaux de fer de leur boutique dès son arrivée. Oui, mesdames-messieurs, la femme qui ne veut pas d'enfant est marquée au fer rouge de la bien-pensance réactionnaire.
L'écrivain confesse à l'animatrice : « Depuis mon enfance, ça pose un problème à tout le monde sauf à mes parents. » Dans les années 80, papa et maman Schmidt ont cédé sous la pression du consensus et mis au monde la petite Fiona. Dès ses premières années, celle-ci s'insurgeait contre ce climat conformiste qui avait peut-être contribué à son existence... Pas de perpétuation biologique, pas de consensus. Sans consensus, pas de Fiona Scmhidt, pas de livre, pas de plaintes. Quelle est cette génération qui, sous les intimidations d'un monde normé, a donné naissance à Sandrine Rousseau, Caroline De Haas, les Femen et toutes sortes de spéciwomen calibrées à l'identique ?
Dans un prochain livre, Fiona Schmidt déconstruira l'idée selon laquelle une naissance est un heureux événement. Depuis des millénaires, le nouveau-né semble exprimer un mécontentement. Victime d'un stéréotype, il ne braille que pour se mettre à l'unisson de ses congénères. Un retour dans l'utérus suivi d'une projection d'un congrès EELV mettra un terme à ce réflexe conditionné.
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27 commentaires
Je voulais avoir une fille. Et elle s’appelle Fiona-Ethel comme son arrière-grand-mère Ecossaise !
Ces femmes qui n’assument pas leur rôle, non, leur mission sacrée, me laisse parfaitement de marbre le plus glacial, et ce n’est pas madame Gabrielle Clusel qui me démentira. aussi je leur laisse leur « mon corps m’appartient, c’est mon choix’, ces gens ne savent pas que nos corps n’appartiennent qu’aux Dieux et que nous sommes tous locataires provisoire de nos corps, et que nos âmes nous jugerons sur nos actions.
Cela rejoint mon commentaire de l’article précédent ! « Nul n’a demandé à naitre » !
Chacun est libre de considérer, qu’enfanter est jeter un Innocent dans la Fosse aux lions…
Je ne prends pas parti, j’essaie de raisonner…
Un livre sur un non-sujet
Cette femme ne veut pas d’enfant ?
Et alors, on s’en contrefiche. Elle se pose en victime uniquement pour surfer sur l’air du temps et vendre.
Ces gens font bcp de bruit, mais ne représentent qu’eux même, c’est à dire pas grand chose…
Un pourcentage infime de notre société, qui n’a aucune représentativité, nous continuons à faire des enfants, moins qu’à époque c’est vrai.
La réalité de ce genre de personnages est que la plupart d’entre eux, pour ne pas dire la totalité, souffre de troubles psychologiques et s’en libère par l’expression de leur malaise.
Souvenez vous des paroles de Ch Chaplin, dans le discours du dictateur, film du même nom…
« Ces gens se libèrent de leurs propres démons en asservissant les autres… » (ou à peu près)
Exactement ce que font les Rousseau et autres excitées, en voulant nous refiler leurs problèmes.
Des gens sans importance.
Mais on s’en tape du destin de son utérus…Insupportable de nous imposer ce genre de bouquin…
que certaines femmes ne se » sentent » pas la fibre maternelle, soit, qu’elles ne ressentent pas l’envie de donner la vie, soit, malheureusement ce sont les mêmes qui une fois leur » carrière » terminée, se retrouvent seule et souvent sans conjoint permanent, et qui considèrent que les neuveux, les nièces, ou les enfants des copines seraient bienvenus de passer distraire leur solitude – j’en connais un paquet ! Alors là je leur dis qu’elles assument leur choix jusqu’au bout – Les enfants des autres avec ou sans liens de filiation n’ont pas vocation à remplir le vide de la vie de celles qui n’en ont pas voulu !
Selon vous il faudrait faire des enfants pour ne pas être seul(e) au moment de la vieillesse? C’est un peu court comme argumentation.
Ces neofeministes ultra vieilliront, comme tout le monde, et au bout du chemin, dans la solitude de leur mouroir, elles pleureront des larmes de sang pour n’avoir pas voulu des enfants et petits enfants qui rendent douce la vieillesse. Pour avoir cru mieux profiter de la vie sans enfant, c’est avec un cœur glacé qu’elle verront venir la mort.
La peur de mourir, la même qui fait que l’on court se faire piquer avec n’importe quoi et que l’on avale des kilos d’amalgames chimiques. De toutes les manières peur ou pas ça se termine par la mort, alors le mieux c’est d’en profiter jusqu’au bout avec ce que l’on aime, les enfants pour certains, les amis ( les vrais pas les faux culs) pour d’autres, ou solitaire, laissons chacun choisir son type d’existence.
Je ne comprends tojours pas pourquoi certains ne peuvent pas coucher avec une personne du même sexe, trans ou pas, ou choisir de ne pas avoir d’enfant sans se croire obligés de mettre toute la planète au courant.
peut être pour le plaisir « d’emm…er ceux qui pensent autrement », selon le modèle récemment mis sur la place publique par un certain président, c’est devenu un truc à la mode, les wokistes et autres néo-sectes dégenrées, déconstruites etc…. adorent « emme…le monde »
que ces êtres en errance fassent ce qu’ils veulent de leur vie, de leur corps, de leurs idées, mais qu’ils cessent de nous envahir avec leurs mal-êtres..
Je respecte leurs choix, qu’ils nous respectent en retour et se taisent.
Ils ont compris déjà qu’ils ne risquent rien car ceux qu’ils emm…. sont en général des gens paisibles et non-violents et ensuite qu’à force de marteler leur idéologie (surtout à l’école), les gens finissent par penser comme eux. Qui remettrait en cause le « mariage des homosexuels » en 2022 ?
vraisemblablement parce que,
« non, les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux ».
oblige à rappeler, comme l’a fait Brassens, qu’il existe d’autres possibilités de vivre en harmonie avec soit même et que ces dernières ne sont pas meilleures ou pires que la norme (établie comment et par qui ?).
Tout le monde sait que nous n’avons pas voulu venir au monde, mais l’autrice, apparemment, conteste ce fait, avant même la grossesse de sa mère !! Bref il y a une solution pour celle qui est mal dans sa peau : « le suicide ».
Du Cioran dans le texte, mais Cioran ne s’est pas suicidé.
et si on laissait ces « âmes en peine », ces « dérangées », dans leur mal-vivre, dans leurs élucubrations vulgaires ??? au lieu de parler d’elles, même en termes peu élogieux, parler d’elles c’est les flatter, les grandir. Et moi, perso, je m’en moque éperdument de leurs idées de génies malfaisantes, de leurs positions politiques, écologiques, féministes, arrivistes etc… laissons ces belliqueuses patauger dans leur mauvaise humeur, ne les regardons plus.
Comment en est-on « arrivé là » ? … Le délire anti-biodiversité ET « Dame nature » pour les plus radicalisés ( hommes et femmes ) peut nous faire craindre que le fond n’est pas encore atteint … Le pire se passe au niveau scolaire car ces lobbys agissants se sont introduit dans les classes des « tout petits » …
vous posez la question: »Quelle est cette génération qui, sous les intimidations d’un monde normé, a donné naissance à Sandrine Rousseau, Caroline De Haas, les Femen et toutes sortes de spéciwomen calibrées à l’identique ? » … Vous oubliez Alice coffin dans la liste des « nominées » … Certaines ont même des « fonctions » qui laisse pantois quand à leur potentielle dangerosité d’action compte tenu de leur idéologie. Un « parcours personnel de vie » peut effectivement être « traumatisant » mais ces personnes sont en train de « déconstruire » la société française … Il faut vite qu’elles aillent aider les femmes afghanes qui n’ont même pas le droit d’aller dans la rue pour « réclamer » le droit d’instruction … Qu’elles aillent aussi accompagner l’équipe de France de football au Qatar en novembre prochain pour « réclamer » que les droits humains soient respectés … ces « girouettes » sont à minima pitoyables ! ! ! … Leur existence doit être sacrément « déconstruite » pour qu’elles en soient arrivées là …
Cher Jany, vous auriez dû commencer par dire que cette illuminée était née dans les années 80. Du coup, je ne serais pas allé jusqu’au bout de votre article mais c’eût été dommage.
Avant sa logorrhée sur la maternité, elle s’était essayée à la cuisine avec des recettes de connasse (c’est le titre de son essai). Je dois dire qu’en matière de connasse, elle en impose.
C’est son choix .Pour ma part j’ai souvent constaté que ces femmes qui ne voulaient pas d’enfants pour profiter de la vie s’imaginaient que les neveux et nièces devaient s’en occuper quand elles ne pouvaient plus s’assumer seules passé un certain âge .Alors mesdames je respecte votre choix mais assumez vous seules jusqu’au bout .Nos enfants ne vous doivent rien.
Je pense que c’est un choix qui la regarde personnellement et qu’elle n’est pas obligée de faire partager dans un livre ni d’inscrire dans une lutte féministe contre une tendance de la société qu’elle qualifie de réactionnaire . Mais une fois dit cela, je comprend qu’elle pense que sa personne lui appartient et je trouve certains commentaires bien sévères concernant la personne , citoyenne et libre de ses choix ! les commentateurs qui affirment qu’elle ne devrait pas profiter de ses nièces et neveux parce qu’elle a voulu une vie d’ égoïste vont un peu trop loin . Sans parler de l’affectif , je rappellerais que la société fait appelle à ces » égoïstes » pour cotiser et payer plus d’impôts pour les personnes qui ont fait le choix d’avoir des enfants en nombre . La République française ne se limite pas aux familles , clans et communautés mais elle fait largement appelle aux personnes seules pour participer à la solidarité nationale et les familles devraient en retour avoir au moins un semblant de reconnaissance !
Heureusement que Julien Rochedy a raillé,combattu avec brio,esprit, le wokisme affligeant et stupide de cette néo-féminisme .Un débat Youtube sur sa chaîne,entre les deux est anthologique à regarder:)
Ce qu’on lit sur le visage de Fiona c’est de l’aigreur,du mépris,de la misandrie.C’est du même acabit que Typhaine D,Victoire Tuaillon, Pauline Harmange:des néo-marxistes incultes de l’air du temps ,qui font honte à la gent féminine.Bénéficiant d’un gauchisme médiatique idiot utile à leurs causes dévoyées….
Typhaine D est particulièrement insupportable et imbue d’elle même.Elle joue de la victimisation et les néo-féministes de la nupes demandent du soutien face aux attaques qu’elle subirait (sic)On marche sur la tête…
Quand on voit qu’elle ne respecte même pas ses contradicteurs ,dans un débat au sujet de l’écriture inclusive.Une tête à claques comme Fiona:elles pleuront toutes seules…
D’accord pour vos commentaires … Mais tout comme en présence d’un « sale gosse » comment faites-vous pour qu’il arrête de « tout casser » ? A quel moment vous lui dites « Stop » et que faites-vous pour qu’il ne recommence pas ? La société français doit se poser les mêmes questions vis à vis de ces « activistes déconstruits » …