[Satire à vue] Retraite : la pénibilité de Sandrine Rousseau en question

Un argument supplémentaire vient alourdir le dossier de la réforme des retraites. Sur le plateau de LCI, Sandrine Rousseau l'affirme sans détour : « Plus on travaille, plus on émet de carbone. 2.500 études dans le monde le démontrent. » Plus on fait d'études sur les émissions de carbone, plus le climat se dégrade. La démonstration est implacable. Le travail tue la planète, réchauffe la banquise et la ferveur de Sandrine Rousseau. L'urgence écologique implique de cesser toute activité avant d'avoir atteint l'âge de la retraite. L'heure venue, brisé par quarante ans de farniente, le citoyen pourrait faire valoir son droit d'exercer un métier. Pas trop vite. En douceur. À 85 ans, le nouveau venu dans l'univers professionnel serait préparé à un effort mesuré. « La réduction du temps de travail est une mesure écologique », renchérit la militante EELV. Des interviews limités à 30 secondes viendront illustrer l'engagement de la militante dans ce combat. Quatre phrases tout au plus, après quoi, les projecteurs seront éteints, les micros coupés. Carbone oblige.
Sandrine Rousseau : "Plus on travaille, plus on émet du carbone"
Plus Sandrine Rousseau parle, plus elle émet du carbone : pour l'écologie, pour la planète, qu'elle garde son carbone !src : LCI pic.twitter.com/JrDUqP6qaM
— Gilbert Collard (@GilbertCollard) January 17, 2023
Décidément sur tous les fronts, la déjà regrettée Sandrine Rousseau évoque la pénibilité des vibrations « pour les personnes qui sont sur un marteau-piqueur toute la journée ». L'appel est vibrant. Elle insiste : « Quand on est sur une vibration toute la journée, on a quand même le droit de ne pas finir à 64 ans. » La pertinence du propos égare ses admirateurs inconditionnels. Au fait, de quel genre parlons-nous ? Une femme, un homme ? Tant de questions sans réponse laissent sur leur faim celles z'et ceux engagés dans le combat pour l'égalité des sexes.
Au terme de l'interview, la pénibilité de Sandrine Rousseau range le journaliste du côté des manifestants. Trop peu évoquée lors des débats à l'Assemblée nationale, l'épreuve vient aggraver la difficile carrière du personnel confronté à des labeurs physiques. Vers un amendement Rousseau ? L'idée est à creuser.

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44 commentaires
la pénibilité que nous impose Sandrine va-t-elle revaloriser nos retraites ?
Le problème avec Sandrine, c’est qu’en plus du carbone, elle émet aussi une très grosse quantité de conneries
La classe politique est décidément descendue bien bas…!
toujours le mot pour rire la Sandrine ! en même temps on se demande si elle est normal !
C’est effectivement une question qu’il est possible de seposer
On est mieux assis que debout, couché qu’assis, et mort que couché. C’est un proverbe chinois que Sandrine doit faire sienne, en prônant sans doute la paix des cimetières. Le gouvernement va aller au-delà de ses voeux avec la loi sur l’euthanasie.
Je ne comprends pas que l’on rapporte les propos de cette dame …Hallucinant !
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J’approuve totalement votre propos , sauf le mot « à la mode d’jeuns » : » hallucinant » que je trouve sorti de sa vraie définition. De mon temps » (génération latinisée avant 68), on aurait dit plus élégamment et conformément au dictionnaire: « Ahurissant », « atterrant », « effarant », » alarmant », « inqualifiable », etc…
Toujours un peux plus à l’ouest la Sandrine. Je me demande si faire un recueil de ses divagations ne ferait pas un « best-seller » comique.
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Plus elle parle, plus elle émet du carbone….elle le sait ?
La pénibilité , on en a une idée juste en écoutant Sandrine Rousseau !
Mais comment cette illuminée a t elle pu arriver à l’assemblée nationale ?
Le fait qu’elle soit à l’Assemblée ne me surprend pas, tant cette noble institution est devenue un ramassi de bons à rien et inaptes à tout. Le danger chez cette « haut perché » c’est qu’elle soit enseignante, avec des responsabilités universitaires.
Le fait d’écouter Sandrine Rousseau est il compté dans la pénibilité, cette femme m’évoque la citation de Courteline : » pour avoir une conversation distinguée, se rappeler de n’ouvrir la bouche que quand on n’a rien à dire »!
Pour bien faire, il conviendrait de commencer sa vie « active » par la retraite. On en profiterait beaucoup plus . Puis viendrait le temps du travail, vers 60 ans, ce qui résoudrait le problème du travail des seniors.
Le critère de pénibilité devrait bénéficier à tous ceux qui ont subi les interventions médiatiques de Sandrine Rousseau, qui constituent une nuisance grave susceptible d’entraîner de sérieux désordres mentaux.
Ce genre de personnage pollue la sphère médiatique (audio-visuel et écrite), pollue la recherche et l’enseignement … A la limite tout cela n’aurait aucune importance sauf dans le détournement de nos impôts, mais surtout, surtout, surtout dans l’endoctrinement de nos enfants qui étant confronté en permanence aux idées « c…es » de ces personnages à tous les niveaux se trouvent souvent à minima dans l’indécision, à maxima dans la révolte. (Stratégie de la mante religieuse)
Ces individus ont très bien intégré que les contraintes de la vie « moderne, hyper technologique », ne permet pas aux parents de pouvoir tout déminer des mauvaises influences de ces personnages.
Autant dire la difficulté à admettre la parole et l’influence de ce genre d’individu. Je préfère m’arrêter là avant de passer les limites de l’irrespect imposé par la charte … Vous avez bien compris que si la moutarde vient à manquer dans les rayons … elle s’accumule ailleurs … :-( Qu’on se le dise en Macronie !!!!
Elle insiste : « Quand on est sur une vibration toute la journée, on a quand même le droit de ne pas finir à 64 ans. » …
Est ce que son « déconstruit » la fait suffisamment « vibrer » ? Pourrait-on se poser la question de savoir s’il serait possible de la « débrancher » pour éviter un surplus d’activité psychopathologique récurent qui « déconstruit » toute ses « sorties » qu’elles soient « vibrantes » ou pas ! …
Stop ! ! ! …
La sottise à cette hauteur – politique et universitaire – me fait franchement honte en tant que Français vis à vis des étrangers.
J’approuve totalement votre propos , sauf le mot « à la mode d’jeuns » : » hallucinant » que je trouve sorti de sa vraie définition. De mon temps » (génération latinisée avant 68), on aurait dit plus élégamment et conformément au dictionnaire: « Ahurissant », « atterrant », « effarant », » alarmant », « inqualifiable », etc…
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