Seine-et-Marne : deux frères poignardés dans un train entre Meaux et Paris

Brève breve

Deux frères, âgés de 23 et 28 ans, ont été blessés, ce vendredi 19 juillet, par un passager dans un train circulant entre Meaux et Paris alors qu’il arrivait en gare de Chelles (Seine-et-Marne). Les faits, survenus vers 13h45, trouveraient, selon le parquet de Meaux, « leur origine dans une altercation née d’une réflexion adressée par l’une des victimes à l’auteur, après que celui-ci avait mis les pieds sur le fauteuil ». Le frère aîné présente trois plaies aux bras et le plus jeune souffre d’une blessure au crâne consécutive à sa chute lors de l’altercation.

Le suspect en fuite

Pour l’heure, le suspect, qui a pris la fuite, est activement recherché par les forces de l’ordre. Le commissariat de Chelles-Villeparisis a été chargé de l’enquête de flagrance ouverte du chef de violences avec usage d’une arme dans un moyen de transport collectif de voyageurs.

Vos commentaires

20 commentaires

  1. Allons, allons, il ne s’agit là que d’un banal fait divers! Les deux frères ont dû manquer de respect à cette pauvre victime du colonialisme qui reposait ses pauvres pieds harassés par une errance désespérée au milieu de gens indifférents à son malheur! A sa place, n’auriez-vous pas vous aussi sorti votre couteau?

  2. Il m’est arrivé,mais c’était il y a un certain temps, j’étais jeune et je prenais le bus à l’épopque. Des pieds sur la banquette ou j’allais m’asseoir et le gars sur la banquette derrière moi. Je me suis assis sur ses pieds,il a râlé mais il a retiré ses pieds. A ne plus faire maintenant, ce passager était un indigène, actuellement on risque le couteau ou le tabassage à la descente par une bande prévenue par l’androïd malmené.

  3. Ces personnes qui mettent les pieds sur le siège en face sont odieux …et on ne peut plus rien dire ..notre France est morte.

    • C’est évident, personne ne bouge, le peuple dors ou commente, les forces de l’ordre sont muselées et la loi défend les tortionnaires. Quand le peuple s’éveillera, même en petit nombre (ils étaient combien à résister en 40 ?) là les choses changerons. N’ayez crainte vous avez encore du temps pour commenter…

  4. C’est vrai que prendre la fuite dans un
    train c’est facile , il suffit de sauter en marche ! Mais il est vrai que l’absence de courage de la population alliée à l’extrême gauche politico syndicale à la SNCF…

    • Touché coulé… mais bon ça ne va pas changer les choses, le peuple dors, commente, ou joue à l’autruche.

  5. Il serait intéressant de lâcher tous ces irresponsables qui sont aux manettes de notre pauvre pays dans la nature profonde de la France ( banlieue, transport, quelques cartiers « chauds »), sans gardes du corps comme le français moyen qui tente de survivre dans ces milieux.

  6. Ce n’est pas extraordinaire, c’est le genre de choses qui arrivent quotidiennement, je prends le train à Sevran pour aller voir un match de rugby au stade de France, un type est allongé à moitié sur la banquette, les pieds sur l’autre, quand il nous voit arriver, il se pousse un peu, puis comme nous ne pouvons pas être face à face, il se redresse et se pousse, comme ce n’est pas courant de voir ces gens-là faire preuve d’un peu d’attention pour les autres je le remercie, et le gars qui ne sait pas visiblement ce que ça veut dire est furieux, notre gabarit l’a calmé, il avait pris merci pour une insulte, on en est là.

  7. La France, sous haute autorité de Macron, devenue brésilienne. Chaque jour que Dieu fait nous apporte son lot de meurtres. Une France apaisée selon le sentimental ex-ministre de la Justice. Non pas une France bananière, mauvais esprits. Non, une France ou le chacun n’hésite plus à sortir l’arme à sa portée, une France aventurière, guerrière. Un plaisir d’impuissant, nécessité de compenser. Du sommet de la pyramide aux plus « humbles » des représentants des électeurs. J’ai dit « humble » ? Lapsus. A les écouter déformer les réalités et bon principes on en vient à être dévoyés. Ils n’ont pas vécu le passé et ne veulent surtout pas qu’il soit évoqué . Et pour cause, c’était le bonheur à coté de qui est côtoyé aujourd’hui.

  8. Dans le passé, il était d’usage d’offrir un rond de serviette et une cuillère argentés à la naissance d’un nouveau bébé. Dans certaines famille, c’est un couteau. Autre temps, autre mœurs.

  9. La macronie dans toute sa splendeur. Il suffit d’un regard, d’une remarque suite à un manque de civilité et oups on vous poignarde. Bizarre quand même que la plupart de ces manipulateurs de couteaux soit majoritairement nés ailleurs, et déséquilibrés. Perso j’en ai marre de voir pérorer les ministres, avec des « vous allez voir ce que vous allez voir », et de m’apercevoir que cela s’aggrave de jour en jour, je n’ai jamais connu une telle insécurité, jamais.

  10. Allez direction le juge compréhensif, puis la psychiatrie, comme d’hab. Sortie dans quelques mois avec l’absolution du Psychiatre.

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