[Sondage] Une cohabitation avec Jordan Bardella est-elle souhaitable ?

bardella

Au lendemain de la motion de rejet du projet de la loi Immigration défendue par Gérald Darmanin, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, était l'invité d'Apolline de Malherbe sur BFM TV. À cette occasion, il a appelé à une dissolution de l'Assemblée nationale et s'est déclaré prêt, si une majorité Rassemblement national venait à sortir des urnes, à assumer les fonctions de Premier ministre. Alors, dans cette hypothèse...

Ce sondage a été clôturé. Voici les résultats.

2055 lecteurs ont répondu au sondage.

1259   61 %   OUI

  703   34 %   NON

    93     5 %    Ne se prononce pas

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 23/12/2023 à 10:59.

Vos commentaires

78 commentaires

    • Et encore ? Il faudrait au minimum que cette coalition de gouvernement soit suffisemment forte, articulée sur un leadership incontestable et un programme commun solidement étayé, négocié et validé. Avec un accord de candidature unique à l’élection présidentielle suivante. Et même comme ça les risques seraient encore importants.

  1. Le problème du RN, par rapport à l’accession au pouvoir est cornélien comme disent les gens lettrés, ou comme disaient les paysans, « un bâton merdeux » que tu ne sais par quel bout le saisir. En effet, s’ils n’y vont pas, ils vont passer pour des « dégonflés » et laisser la place aux autres, alors adieu 2027, s’ils y vont ce sera l’occasion de pouvoir démontrer qu’ils « en ont » en appliquant les termes de la cinquième république qui dit et ce n’est possible qu’en cas de cohabitation, (à condition qu’en face ils appliquent les mêmes règles): « le gouvernement, DÉTERMINE et CONDUIT la politique de la nation ». Malgré toutes les chausses trappes, que ne manqueront pas de mettre tous les opposants, dont le but n’est pas la défense de la France, mais de leurs intérêts. D’autre part, s’ils attendent les présidentielles pour accéder au pouvoir, je suis persuadé qu’il y aurait un tel « foutoir », manifs, émeutes, consensus des oppositions sur le refus de passer le pouvoir et les clés de Matignon au RN, au nom du sauvetage de la RÉPUBLIQUE, en un mot INGOUVERNABLE et crise politique majeure, si non plus!……

  2. Rappelons-nous 86. Mitterand a choisi Chirac comme 1er ministre pour mieux le torpiller et lui faire perdre les élections de 88. Jospin a subi le même sort en 2002. Le même scénario est en projet à l’Elysée. Si le RN accepte Matignon en 24, il est sûr qu’il perdra alors les élections en 27.

  3. Pour votre sondage , Avec qui Bardella est il censé cohabiter ? je trouve cette question trop imprécise pour y répondre .

  4. Quel programme ? Avec quels ministres ? Quelle majorité ? Sur la base de quelles alliances ? Avec l’appui du seul RN, même à 180 députés que pourra t il faire ?

  5. Je crains que le RN ne soit pas la solution .Le RN est en fait la créature de Macron. Il l’a choisi comme adversaire en le diabolisant. Le résultat était connu d’ avance .Moi Macron ou le déluge . Par contre MLP se sentant adulée ne sait plus ou elle demeure. Un jour elle est à droite le lendemain elle ratisse à gauche :elle veut plaire ! Un politique doit avoir une ligne, un projet et s’y tenir. C’est la différence entre un homme (ou femme)d’état et des politicards.

    • Si le RN est la créature de Macron , alors ce dernier a bien fait puisque c ‘est la macronie qui fait caracoler le RN en tête et loin devant les autres !

  6. Sautons sur l’occasion, sinon en trois ans de plus Macron va détruire ce qu’il reste de la France, de la Nation et laminer les français.

      • Lors de la cohabitation Chirac -Jospin, c’est tout de même Jospin qui a gouverné. Maintenant, il faut dire que Macron qui a l’appui des mondialistes, est assez vicieux et machiavélique pour entraver les décisions de Bardella ; à Bardella d’être plus malin et pugnace !

  7. Rappelons ici que le premier ministre reçois les directives du chef de l’état et les fais appliquer dans leur sens. Le rôle de Bardella serait d’avaler des couleuvres envoyés par la gauche et du chef de l’état.

    • Pas dans un gouvernement de cohabitation, c’est le gouvernement qui détermine et conduit la politique de la nation. Par contre le président et les oppositions peuvent lui rendre la tache difficile et je crois qu’ils ne s’en priveront pas, ce qui se comprend, quand on voit que leurs intérêts passent avant ceux de la France!

  8. Bardella et le RN…fervents partisans de la guerre contre la Russie, taiseux sur les suppressions de libertés comme le pass, pour le maintien dans l’UE, volonté d’abreuver les français d’aides en tout genre alors qu’on a 3000 milliards de déttes… Ce sera comme avec Melloni (elle va faire rentrer 452000 migrants d’ici 2025 / source france info) ; il se couchera lui et les autres dès sa prise de pouvoir. Pourtant la problématique est claire : soit on quitte l’UE, l’Otan, l’Euro ; soit on se soumet aux intérêts anglo saxons pour arriver à un état de type dystopique mais bien réel…Mais on y est déjà. Les français ont peur des efforts que demande le fait de recouvrer sa liberté ; ils préfèrent se faire materner et abandonner toute autonomie. On y est aussi.

  9. Je ne crois plus au RN ! Ils sont dans le renoncement permanent de leur philosophie. JB libéré du carcan du parti serait peut-être moins laxiste. Notre pays a besoin de détermination sans faille, compte tenu de l’accération de ce qui s’y passe. Ce n’est certes pas en affirmant que l’islam est compatible avec la République, entre autres. Tout le monde le sait, il n’y a dans ce pays qu’une personne apte à ramener la paix civile.

  10. Jordan Bardella mettra un peu d’ordre dans le foutoir Français qui en a urgemment besoin, à commencer par la « nouvelle France » migrante et droguante !

    • Jordan Bardella se couchera comme les autres car il n’a pas la stature ni les supports nécessaires. Dans trente ans peut être après avoir appris et aiguisé ses « armes » avec des Poutine.

  11. Sans opinion. La cohabitation est l’interprétation mitterrandienne de la Constitution. La majorité présidentielle perd les élections et le Président reste en place, soit pour ne rien faire, soit pour mettre des bâtons dans les roues du gouvernement. Les résultats sont catastrophiques dans tous les cas. Se souvenir de 1986-1988 (les politiques libérales ont été éradiquées dès 1988-89), 1993-1995 (Balladur et Mitterrand se sont entendus pour continuer de suivre les injonctions européennes, donc la décadence de la France) et 1997-2002, avec la catastrophe jospinienne ( fin de la dstruction de l’Éducation nationale, 35 heures, alignement de la France sur les décisions allemandes, adhésion à l’€, etc.).
    L’interprétation gaullienne est fidèle à l’esprit de la Constitution : le Président perd, il s’en va et le peuple tranche le débat. Point à la ligne.

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