[STRICTEMENT PERSONNEL] Le fauteur de paix

Donald Trump, un cynique, un goujat, une brute, mais qui cherche cependant à imposer la paix.
IL20240409190919-jamet-dominique-929x522

Pauvres « poilus », pauvres pigeons ! Dans leur naïveté, les rescapés qui sortaient, en plus ou moins bon état, mais au moins vivants, de quatre années d’enfer croyaient, ou voulaient croire, d’un côté comme de l’autre, lorsque sonnèrent enfin, le 11 novembre 1918, les clairons de l’armistice, mettant fin à ce que l’on appela pendant les vingt ans qui suivirent « la Grande Guerre », qu’ils avaient participé à « la Der des Ders ».

Grande illusion qui se brisa sur les écueils de la réalité, au fur et à mesure que le succès et la contagion du fascisme et du nazisme, d’une part, la séduction et l’imposture du bolchevisme, d’autre part, faisaient voler en éclats, avec les pactes de bonne volonté négociés par Aristide Briand, et en dépit de ses adjurations pathétiques (« Arrière les fusils, les mitrailleuses, les canons ! »), le rêve d’une Société des nations.

Rétrospectivement, la guerre de 14-18, malgré un bilan, honorable, de vingt millions de morts, fait aujourd’hui figure de modeste ébauche en regard de celle qui, vingt ans plus tard, devait lui succéder et, après avoir fait entre soixante et quatre-vingt millions de victimes, se terminer sur ce que l’on peut considérer (au choix) comme une apothéose ou une apocalypse, Hiroshima, Nagasaki et les deux cent mille civils japonais rayés le temps de deux éclairs du monde des vivants.

La crainte d'un nouveau cataclysme

Le souvenir du cataclysme, la crainte de sa répétition, dans un format encore plus grand, ont pendant quelques décennies relativement contenu la propension naturelle de l’espèce dite humaine à s’entretuer et limité jusqu’ici les innombrables conflits intervenus à l’emploi des outils de mort dits « conventionnels ». Même les guerres de Corée et du Vietnam, en dépit de leur durée et de leur violence, sont loin d’avoir atteint les scores enregistrés entre 1914 et 1918 ou de 1939 à 1945. Cependant, la crainte ne cesse de grandir que l’on voie l’homme, comme il l’a fait au long de son histoire, recourir sans discernement à toutes les armes dont il dispose, quels que soient leurs dégâts. Les derniers développements de la guerre en Ukraine ne peuvent qu’aviver cette crainte. Le temps et le renouvellement des générations (les derniers survivants de la Deuxième Guerre mondiale savent ce qu’est une guerre ; leurs héritiers, pour la plupart, n’en connaissent que la version édulcorée qu’en donnent la télévision et le cinéma), en affaiblissant le souvenir du désastre, ont contribué, comme nous avons pu le constater ces derniers mois, à éroder puis à ruiner et à disqualifier les structures que les vainqueurs de 1945 avaient fondées, à savoir l’ONU et son Conseil de sécurité, dans le vain espoir de ne pas reconstituer la situation qui avait débouché sur la Deuxième Guerre mondiale.

On laissera aux historiens du futur (si futur il y a) le soin de rechercher les origines et les responsables de la guerre déclenchée par la Russie, le 24 février 2022. S’il n’est pas douteux que Poutine fut l’agresseur, ils partageront les torts plus équitablement que ne le font nos médias et nos dirigeants entre le maître du Kremlin, les Ukrainiens et l’Occident. Étant donné ce que sont, depuis mille ans, les relations difficiles, orageuses, belliqueuses mais également religieuses, culturelles, politiques et biologiques entre ce que l’on appelait autrefois les Grands-Russes et leurs frères slaves, on devrait comprendre que la récente amputation d’une partie historiquement constituante de son territoire est quelque chose d’aussi douloureux à l’échelle de l’Empire russe que le fut, pour la France, la perte de l’Alsace-Moselle en 1871. Le patriotisme, le nationalisme, le désir de récupérer la province perdue ne sont pas différents chez le président russe de ce qu’ils étaient chez Poincaré, Clemenceau ou Barrès. Ils ne pouvaient qu’être condamnés dans un monde qui n’est plus le même et qui prétend, alors qu’il est toujours dominé par la ruse et la force, n’être régi que par le droit international et celui des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Qui aurait prédit, il y a trois ans, que la guerre d’Ukraine durerait encore trois ans plus tard et que la Russie serait privée de la victoire facile qu’elle escomptait par l’intervention massive des pays de l’Union européenne, des États membres de l’OTAN, et notamment des États-Unis ? Sans donner à l’Ukraine les moyens de vaincre, cette assistance lui a permis de résister. Sans aller jusqu’à empêcher la Russie de remettre la main sur les portions de l’Ukraine qu’elle estimait lui appartenir, elle l’a jusqu’à présent empêchée d’aller plus loin et de triompher de la résistance héroïque d’un peuple galvanisé par un président-comédien devenu un héros national.

L’élection de Donald Trump et sa volonté d’arrêter l’effusion de sang et de désengager son pays du bourbier où son prédécesseur démocrate l’avait enlisé a, du jour au lendemain, changé la donne. Le traitement que le nouveau président de la première puissance mondiale a infligé au malheureux Volodimyr Zelensky est indigne et a légitimement indigné le monde, mais certains donneurs de leçons et professeurs de morale surjouent l’indignation.

Un instant de paix ?

Donald Trump s’est révélé, sous les yeux du monde stupéfait, fidèle et égal à lui-même. À ses promesses. À son image. À sa méthode. Un cynique, un goujat, un brutal, pour ne pas dire une brute. En même temps, la seule personne au monde à la fois capable et désireuse d’arrêter le carnage, de proposer à la Russie une solution honorable qui lui permettrait de réintégrer le concert des nations en la libérant de l’influence chinoise et d’imposer à l’Ukraine exsangue, sacrifiée sur l’autel de la paix, une paix humiliante qui la sauverait de l’anéantissement. Pas trace de sentiment dans le marché proposé aux belligérants. L’Amérique de Trump n’est plus celle qui intervenait bénévolement aux côtés des démocraties en 1917. Moins, encore, celle qui, après sa victoire de 1945, finançait la reconstruction de l’Europe qu’elle avait surabondamment bombardée. Elle entend, ô scandale, se faire payer à proportion des services qu’elle a rendus et mettre chacun devant ses responsabilités et en face de la réalité.

Les actuels dirigeants de l’Europe, si le terme de « dirigeants » est bien le bon, n’ont pas manqué de stigmatiser, au nom de la vertu et des bonnes manières, le fauteur de paix. Émerveillés de leur propre courage, cherchant dans la surenchère la popularité qui leur manque, prisonniers de leurs rodomontades et, pour certains, croyant compenser par l’injure, la menace et la caricature leur manque de crédibilité, ils se lancent et nous lancent sur une voie aussi dangereuse à terme qu’irréaliste dans l’immédiat. Au moment même où Trump veut et va vers l’apaisement, les vingt-sept, ou la plupart des vingt-sept, entraînés par M. Macron et Mme von der Leyen, le premier espérant retrouver une légitimité perdue, la seconde s’arrogeant une légitimité que ne lui confère aucun texte, sont sommés de se rallier à une politique dite d’économie de guerre dont ils n’ont pas les moyens, dont ne veulent pas les peuples et qui est supposée nous permettre de faire jeu égal avec la Russie, à la roulette atomique et sur le champ de bataille conventionnel d’ici cinq à dix ans, au prix du marasme économique et de la tension internationale. C’est ce qu’on appelait, à la veille de la Première Guerre mondiale et dans les années 1930, applaudie par les « marchands de canons », les militaires, les experts, les philosophes du petit écran et les foudres de guerre, la course aux armements. Nous savons à quoi elle a mené, nous devinons où elle nous mènerait. En attendant le pire, devons-nous nous satisfaire du sursis de cinq à dix ans qui nous est accordé ? Un instant de paix, disait Giraudoux dans La guerre de Troie n’aura pas lieu, c’est toujours bon à prendre.

Picture of Dominique Jamet
Dominique Jamet
Journaliste et écrivain Président de l'UNC (Union nationale Citoyenne)

Vos commentaires

131 commentaires

  1. Il faut arrêter de s’indigner du traitement de zelinsky par TRUMP. C’est du brutal certes mais il avait besoin d’un électrochoc pour le ramener sur terre après l’intense intoxication qu’il avait subie de la part des Européens et en particulier de tous les média occidentaux qui lui ont fait croire qu’il pouvait vaincre la Russie. Sans l’aide des Américains l’Ukraine aurait été vaincue depuis longtemps mais il n’était pas question d’acculer Poutine à utiliser une arme nucléaire tactique. Donc l’issue prévue depuis le début était ce front quasiment gelé. Il est temps d’arrêter ce massacre inutile et de mettre les égos au placard.

    • Si les Américains et les Européens avaient fourni les armements promis au moment requis, il y a belle lurette que les Russes auraient été fixés loin en deçà des lignes actuelles. Mais la volonté volonté d’un Scholz, mais la trouille d’humilier Poutine, la peur de l’effondrement de la Russie (vous comprenez, les ogives tombant aux mains des Bouriates ou des Tchetchènes !). USA et Otan ont fait semblant d’aider, fourguant – essentiellement – du matériel quasi périmé, leur volonté était que l’Ukraine ne s’écroule pas, mais surtout pas qu’elle puisse bouter les russkofs hos d’Ukraine. Trop peur de l’incontrôlable Poutine, capable de déclencher le feu nucléaire pour ne pas survivre à l’h, mais de m…umiliation ! Quant à Trump : fauteur de paix ? Fouteur, oui, mais de m…

  2. Parmi quelques vérités disséminées dans votre texte, beaucoup de mensonges, de contre-vérités et désinformation indignes d’un brillant journaliste comme vous.Ceci montre que même chez des gens réputés réfléchis et intelligents la doxa du moment embrumé largement leurs esprits. A revoir de votre part, toute l’histoire de la Russie depuis la Rus de Kiev et en plus particulier celle de l’Ukraine depuis la première révolution dite orange et les exactions meurtrières commises avec l’aide de l’Occident par les gouvernements successifs et assassins de Kiev. Peut être alors vous comprendrez mieux le pourquoi de l’opération militaire spéciale de Moscou.

    • Tout à fait d’accord avec vous..il y a ceux qui suivent et  » argumentent » la doxa imposée.. au mépris de l’histoire et dans leur haine influencée de poutine et Trump,et puis il y a ceux qui connaissent bien la vraie histoire..tel M Patrick Sinclair dont j’invite tout le monde a lire les commentaires forts justes dans ces lignes..

  3. Quand le nôtre , auquel nous pourrions donner les mêmes qualificatifs , ne nous parle que de guerre depuis 7 ans bientôt.

  4. Une bonne fois pour toutes:où, quand , comment le Président Poutin a-t-il dit: »l’opération militaire spéciale qui abusivement est appelée guerre par les occidentaux, durera trois jours après avoir avoir « capturé » Kiev »? A la connaissance de tout à chacun aujourd’hui, les buts de l’OMS étaient triple: Sécurité de la Russie, dénazification des »bandéristes », destruction de l’armée ukrainienne par une stratégie d’attrition, donc la conquête du terrain est secondaire; ce qui conduit à protéger la population russophone de l’Ukraine selon l’article 50 ,ce me semble, de la Charte des N.U, il suffit de se reporter aux analyses pertinentes du Colonel
    Jacques Baud

  5. Au travers de ces réunions au sommet de l’UE ++ Otan – – sans fin on voit bien la manœuvre entre Von der Leyen et Macron , la première s’apprêtant à laisser sa place au second quand il sera arrivé au terme de son deuxième mandat ! Macron président à vie de l’UE ??? Un cauchemar!!

  6. Avant de déclarer de telles injures sur le Président élu des USA vous auriez dû Monsieur Jamet prendre la peine de regarder la scène qui a duré près de 50 minutes dans le bureau oval et non pas seulement les 5 dernières minutes données gracieusement par toutes les télévisions. Ces 5 dernières minutes ont d’ailleurs commencé par une injure ordurière prononcée par le comédien président ukrainien à l’encontre des Présidents et Vice Présidents des USA qui venaient de proposer et s’apprêtaient à signer un accord d’investissement basé sur l’exploitation de terres rares au bénéfice de la reconstruction de l’Ukraine. Imaginez-vous le Général De Gaulle proférer une injure au moment où les USA étaient venus proposer le plan Marshal après la deuxième guerre mondiale ?

  7. Consternant, cet article ! M. Jamet, renseignez vous sur les instigateurs de la guerre de 14-18, Eric Branca en parle mieux que vous ! »L’ami américain » n’a jamais été un philanthrope, Trump l’illustre une fois de plus ! Il donne un coup de balais salutaire, mais j’attends qu’il reconnaisse que son pays a souvent été manipulateur, en particulier pour la France, ce dont le Général De Gaulle n’a jamais été dupe !

  8. « L’Amérique de Trump n’est plus celle qui intervenait bénévolement aux côtés des démocraties en 1917… ».
    Ola ola monsieur Jamet, retour sur l’Histoire :
    – lors des deux dernières guerres mondiales les gouvernements américains voulaient restés neutres dans ces conflits outre-Atlantique. Ils ne sont intervenus qu’après avoir été agressés :
    – 7 mai 1915 : Lusitania, paquebot transatlantique britannique, coulé par un sous-marin allemand (mort de 128 américains)
    – dès le 1° février 1917 : rompant leur promesse, les allemands coulent plusieurs navires « neutres »
    Les américains ne sont donc entrés en guerre qu’en 1917, soit trois ans après le débout de celle-ci
    – idem en décembre 1941 après l’attaque de Pearl Harbor
    – Plan Marshall : Américains plus intéressés de redresser l’Allemagne que la France. D’ailleurs celle-ci n’est pas invitée à la conférence de Yalta
    – à l’issue de la guerre les USA récupèrent plusieurs ingénieurs allemands ayant participé à la conception des V2 pour les faire travailler à la NASA. Sympa pour tous les soldats américains morts sur les plages de Normandie et ailleurs. Je leur rends hommage (« si les ricains n’étaient pas là… ») car je fais la différence entre le peuple américain et leurs gouvernements successifs qui ne connaissent qu’une chose : leurs intérêts.

    • à Lodevus: Tout ce que vous rappelez, Monsieur Jamet, le connaît aussi bien que vous. Il n’a pas voulu faire le tour des événements qui ont poussé les Etats-Unis à intervenir, voilà comme je comprends la chose. Votre conclusion : ils ne connaissent qu’une chose, leurs intérêts. On aimerait bien aussi que Macron, notre éolienne, brasseuse de vent, s’occupe de nos intérêts mais apparemment la France n’est pas sa tasse de thé. Notre pays est trop petit sans doute pour ses ambitions démesurées. Il se voue donc à l’INTERNATIONAL!!!

  9. Terriblement désabusé et anxiogène Monsieur Jamet, mais des vérités si impeccablement énoncées !
    J’ai peur de la vanité de cette Europe que nous avons, et aurons, à subir.
    « Emerveillés de leur propre courage » à se caresser le dos et s’embrasser. Un théâtre.

  10. Quelle virulence dans la description du fameux Trump. Des mots qui sortent chez les gens en situation de fureur et d’impuissance. La violence de Trump est une violence verbale et physique, oui, mais celle de Biden était sournoise et hypocrite…Je rappelle que dans son mandat, il n’aimait pas les armes et empêchait les Américains d’en posséder, mais il armait l’Ukraine pour que les Ukrainiens en possèdent, belle hypocrisie.
    Avec Donald, on est tout de suite fixé, une baffe et puis on s’assied pour évoquer la question en cours. C’est une méthode, l’autre étant le salon pour discuter et puis un bon sale coup dans le dos !

  11. Il est vrai que Trump ne parle que de paix, alors que Maron ne parle que de guerre. Pire même : il se trompe de guerre car les victimes de petits Français, et tout particulièrement de Françaises innocentes, n’ont pas été commis par des Igor ou des Vladimir, mais plutôt par des Hassan ou des Mouloud il me semble. On se demande où vit donc celui qui est, paraît-il, le président de la France. Même Poutine constate qui sont les assassins barbares en France et lui, n’en veut pas chez lui.

  12. Trump et Poutine, ces deux « super-chiens » selon le politiquement correct occidental, vont même peut être réussir à restaurer la paix en Europe. Quel scandale ! Heureusement que nous avons Macron et Ursula van der Layen pour prêcher la guerre au nom de la démocratie

  13. Cela faisait un certain temps que les analyses de Monsieur Jamet ne me satisfaisaient guère. Je dois avouer, ici, qu’il pose avec mesure – face aux belliqueuses intentions de quelques européistes qu’il a bien voulu nommer – les raisons qui doivent motiver les responsables de s’asseoir autour d’une table pour mettre fin à un conflit qui n’a que trop duré. D’ailleurs dans tous ces « époumonages » de cris d’orfraie visant Trump, on remarquera que l’humilié (Zelensky) a subitement retourné sa veste pour finalement accepter la vision du « bourreau » comprenant qu’il en avait besoin plus qu’il ne le pensait. Et que si la fable de La Fontaine dit « qu’on a souvent besoin d’un plus petit que soi », dans cette opposition, cette fois-ci, le plus fort l’emporterait. Espérons que la raison revienne à tous ces va-t-en-guerre qui ne savent vraiment pas où ils mettent les pieds. Peut-être que nous les peuples avons une mission: celle de les pousser à écouter la voix de la paix plutôt que celle menant à une catastrophe d’un combat à plus grande échelle, chose à éviter impérativement.

  14. Le risque d’invasion par la Russie est grand, ils vont passer illégalement la frontière, 10% de leur population va venir en Europe, soit 15 millions et 1.5 millions pour la France, quel pays pourrait supporter 1.5 million d’étrangers sur son sol ? Ils vont brûler nos églises, nos cathédrales, imposer leurs moeurs et leur religion, planter des français, violer nos femmes, organiser des tueries dans les salles de spectacle, la Russie ne voudra pas reprendre ses ressortissants les plus récidivistes, le niveau scolaire va s’effondrer plombé par un afflux massif de leurs enfants non francophones, ah non j’avais oublié leur démographie est en berne et leur niveau scolaire est plus élevé que le nôtre.
    Aux armes citoyens, donner 70 milliards d’Euros à Macron et 800 Milliards à Ursula pour éviter cette hypothétique invasion dont les effets seraient insupportable. Heureux de voir que face à ce danger nos pragmatiques dirigeants se rebiffent.

  15. Que tous ces gens qui donnent des leçons de morale au grand cœur d ‘humanité et continuer ce conflit partent faire la guerre avec leur argent face au diable poutine soutenu par le méchant TRUMP ces propos deviennent pénible .Ce qui est entrain de se dessiner au niveau politique en france c’ est qu’ ‘ il y aura 2 blocs 1) les euro mondialistes wokistes immigrationnistes fiscalistes cosmopolites un aéroport est un pays 2) les conservateurs identitaires patriotes souverainistes nationaux qui ne veulent pas mourir et disparaitre .La bataille sera rude et nous aurons besoin de tout le monde dans notre camp donc grande union nationale

Commentaires fermés.

Pour ne rien rater

Les plus lus du jour

Je croyais qu’on avait réglé le problème des squats avec la dernière loi, mais non
Gabrielle Cluzel sur CNews
Lire la vidéo

Les plus lus de la semaine

Les plus lus du mois